Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
ZOOM n° 125, Sexe et fantasmes n° 2, ( 2ème partie)
Magnifiques photographies de NAKAGAWA :
Sur la première, l’artiste guide notre œil des lèvres pulpeuses, au téton entraperçu dans un minuscule triangle de tissu, au sexe nu dans la pénombre.
La seconde image est un chef d’œuvre d’érotisme. Suivons le chemin de notre regard : tout part du relief du tendon du cou dont la ligne se prolonge entre les deux seins, s’incurve jusqu’au nombril puis, naturellement, suit son cours jusqu’au sexe entrouvert dont la lèvre indécente semble comme un appel au plaisir… Une image d’une indicible beauté.
La troisième photo est tout aussi sensuelle, mais dans un autre registre : La délicatesse des motifs floraux de la lampe vient en complément de la croupe offerte. L’ensemble baigne dans une lumière ocre propice aux plaisirs de la chair.
Trois photographies peintes à la main de Michael RUSS ( photographe allemand)
Photographies de Bernard CORVAISIER. Extrait de l’article de Catherine Clemenson qui préfaçait le portfolio : « Bâillonnés, étouffés, à demi engloutis, c’est l’insupportable jaillissement de l’être qu’on a voulu discipliner en vous, et vous êtes restés immobiles et dignes, comme à jamais repliés sur vos douleurs. La mort est là, comme un fard indélébile à vos paupières, elle est aux commissures de vos lèvres, elle est sous vos aisselles, entre vos cuisses, elles au creux de vos draps »
Pour en terminer avec ce numéro spécial, quelques clichés en noir et blanc de Tal BOAZ « La nudité matérialise notre vérité. Quand les gens enlèvent leurs vêtements, une part de mensonge part avec eux. »
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