Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
ZOOM 51
Après le foisonnement d’images fortes du numéro 50, l’opus 51 de ZOOM, paru en mars 1978 paraît beaucoup plus sage
La photo de couverture était signée Richard Shaefer, photographe new-yorkais déjà présenté dans le n° 36 du magazine.
Ensuite, on pouvait découvrir un portfolio de photos en noir et blanc signéesd’une jeune photographe âgée alors de 27 ans et nommée GLADYS. Depuis, elle est devenue mondialement célèbre, mais on sentait déjà à l’époque qu’elle avait un regard très personnel sur le monde.
Il y avait aussi une suite de photos de Deborah Turbeville tirées d’un travail pour le magazine Vogue. Née en 1938, l’artiste n’est plus à présenter.
Par contre, je n’ai pu retrouver trace de Christian HERMET dont les quelques photos présentées par un article d’Antoine de Caunes étaient pourtant prometteuses.
Enfin, une photo de Yoshi Imamura, pour l’atmosphère très violente qui se dégage de ces deux plans juxtaposés dont on ne peut éviter le rapprochement, et qui crée le malaise.
Le malaise, dites-vous ? moi, carrément l'horreur ! Presque un plaidoyer contre l'excision.
Bonne journée.
C'est étrange, je ne pensais pas à l'excision ( peut-être à cause des ciseaux et non pas d'une lame de rasoir). Non, je pensais plus à un avortement sauvage, un peu comme dans la scène du "Ruban blanc" où le médecin du village pratique un avortement sur sa fille enceinte de lui-même. Cela n'enlève, je vous l'accorde, à l'horreur de l'image.