Dans cette mini galerie, Giovanna Casotto nous montre son cul, et il faut reconnaître que l'envers vaut l'endroit !
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Dans cette mini galerie, Giovanna Casotto nous montre son cul, et il faut reconnaître que l'envers vaut l'endroit !
La trêve des confiseurs étant passée ainsi que votre insatiable appétit de chocolat, je peux donc vous proposer ce tableau de Stu Mead daté de 2003 et intitulé "Chocolate dumpings "(littéralement "décharges de chocolat")
C'est à ma connaissance le tableau le plus trash de Stu Mead. Cette fois, je me garderai bien de vous livrer une "lecture"de la scène. Juste une remarque cependant : dans les tableaux précédents, la gamine était toujours passive ou indifférente, alors que cette fois que ce soit par sa main posée sur l'épaule et surtout par la langue qu'elle mêle complaisamment à celle de son baiseur, elle participe vraiment à l'action.
Rappel du premier article : Giovanna CASOTTO, # 1
Après avoir pris connaissance des méthodes de travail de Giovanna Casotto, voici une deuxième série de dessins où Giovanna se caresse, ou pour parle plus trivialement, se branle !
La gravure s'intitule "Sailor" (marin). Je reconnais que pour le coup, on ne peut pas vraiment parler de transgression d'interdit. Il s'agit plutôt d'un classique du sexe d'escale : le matelot et la putain. Stu Mead y adjoint un tiers, gringalet voyeur et masturbateur, qui revisite le thème.
Giovanna Casotto est née en août 1962 à Desio, petite ville italienne de Lombardie, au nord de Milan. Illustratrice, photographe, dessinatrice et auteure de BD, elle est la première artiste italienne à consacrer l'intégrité de son œuvre à l'érotisme. Autre particularité, dans ses photos, dessins et bandes dessinées, elle est son propre modèle et se met elle-même en scène. Pour ce premier article, je vous propose une série d'images qui alternent autoportraits et dessins pour bien montrer combien ces deux expressions artistiques sont pour Giovanna Casotto indissociables, tant elles se mourrissent l'une de l'autre...
Le tableau de 2005 a pour titre "View" terme générique dont le sens va de "vue" en tant que scène, spectacle à "examen", voire "avis, opinion". On constate que chacune des acceptions du mot pourrait donner sens au tableau.
Encore une fois, c'est l'ambiguïté du comportement des protagonistes qui pose question. On peut légitimement penser que l'homme assis dans le fauteuil est le père de la gamine. Quoique... Et la gamine qui, culotte baissée, lui présente son cul, dans quel but? Pour une inspection hygiénique ? Une quête d'approbation ? Et pourquoi tourne-t-elle la tête derrière elle, on a l'impression qu'elle demande quelque chose... Ces tableaux sont terribles et très dérangeants car ils remuent beaucoup de choses enfouies dans notre inconscient collectif
Le tableau est intitulé tout simplement "Breakfast"
Breakfast pour la gamine qui sirote sa tasse de thé avec une apparente complète indifférence, breakfast aussi pour la femme qui lui lèche le cul ! (sont-elles parentes ? Sa mère ? Une tante ? ou n'est-elle qu'en pension chez ce couple de bourgeois très conventionnels ?). Le comique de la scène réside évidemment dans le geste réprobateur de l'homme en costume qui semble choqué par le comportement de la gamine allongée sur la table (on peut supposer qu'elle est en train de boire dans sa tasse !) plus que par les pratiques incestueuses ou pédophiles de son épouse !
Tableau sans titre. Un lit à couverture rouge, des draps et un oreiller blancs. Rien d'autre ! À quatre pattes sur le lit, bien cambrée, une gamine blonde, vêtue d'un simple débardeur blanc. Elle n'a encore ni poitrine, ni poils pubiens, mais son visage est déjà celui d'une jeune femme. Elle paraît bien consciente de ce qui se passe derrière elle.
Derrière elle justement, un groupe de cinq hommes, langue pendante, leur visage tourné vers ses fesses légèrement écartées, comme aimantés par sa croupe offerte à leur concupiscence. Encore une fois, comme souvent chez Stu Mead, difficile d'interpréter l'expression du visage de la gamine... Est-elle consentante ou obéissante, vicieuse ou innocente, coupable ou victime ?
À ma connaissance, Stu Mead n'a pas donné de titre à ce tableau.
Le lieu : un jardin public, avec ses constituants représentatifs : un banc de bois, une statue (un couple nu) montée sur piedestal, des arbres en arrière-plan
Les protagonistes :
- Une gamine en jupette rouge très courte, débardeur à rayures (notez que la bretelle d'épaule droite est déjà descendue), ballerines roses aux pieds.. Elle est blonde, garde les yeux baissés. Sous le débardeur on devine une esquisse de seins juvéniles. Difficile d'interpréter ce qu'exprime sa bouche entrouverte qui découvre ses dents très blanches.
- Un homme assis à ses côtés. Son bras droit enlace la gamine et de sa main posée sur le bras il l'attire contre lui. Son regard plonge dans le décolleté de la fillette...
L'action : évidemment, tout serait très banal (et finalement plutôt sordide) s'il n'y avait cette langue de loup "texaverien" (je me permets le néologisme) qui désamorce le tragique et le transforme en scène de Grand Guignol : le geste de la gamine qui tient d'une main ferme la langue-serpentine comme pour l'essorer (la branler ?) de toute la salive spermatique qui dégouline entre ses doigts, coule entre ses cuisses nues et tombe goutte à goutte sur l'herbe...
J'y vois aussi plus sérieusement une métaphore de l'Eden Cela ne vous rappelle rien : un jardin, un couple nu, un serpent tentateur ?
School
Stu Mead trangresse ici le tabou de la pédophilie à l'école. Mais il inverse les rôles : le séducteur n'est pas le maître mais son élève. Juchée sur le bureau, accroupie devant lui, la jupe écossaise relevée, les cuisses ouvertes, elle pisse sans retenue et son urine se répand sur les copies. Le maître paraît complètement stupéfait (et stupéfié) par le spectacle, il en louche et reste paralysé, comme impuissant. La gamine au ruban violet dans les cheveux le domine totalement, elle le toise du regard, il est à sa merci. Si bien qu'on en arrive à se demander lequel des deux est le plus à l'école ! Derrière, sur le tableau noir, écrites à la craie, des formules chimiques ( O2H +NO) qu'on peut lire aussi comme des interjections "OH ! NO !" ou comme des exclamations "Oh Oh"...
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