Mardi 19 janvier 2016
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Le tableau illustre parfaitement un des thèmes favoris de Stu Mead, à savoir le contraste. Contraste entre
le décor somptueux des lieux (l'escalier, le tapis, les plafonds ouvragés à moulures, les baies vitrées de château) et la grande trivialité de la scène du premier plan ; contraste entre les peaux
mates et métissées des 3 jeunes hommes bodybuildés et la peau très blanche et la blondeur des 3 jeunes filles ; contraste entre le très gros calibre des membres virils et l'étroitesse des bouches
feminines...
Le tableau qui n'a pas de titre est d'une construction très classique : les trois jeunes filles agenouillées (plus
précisément leurs bouches) sont au centre du tableau, les corps des 3 hommes à la tête penchée et la courbe de l'escalier (qui notons-le semble ne monter nulle part si ce n'est au ciel - le
septième ?) donnent l'impression d'envelopper les corps des jeunes femmes qui se trouvent à la convergence du pied de l'escalier et de l'axe des bites avidement sucées !
ftsdrnrsrdn
Par michel koppera
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Samedi 16 janvier 2016
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/2016 08:30
Dans cette mini galerie, Giovanna Casotto nous montre son cul, et il faut reconnaître que l'envers vaut l'endroit !
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Samedi 9 janvier 2016
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/2016 08:00
La trêve des confiseurs étant passée ainsi que votre insatiable appétit de chocolat, je peux donc vous proposer ce tableau de
Stu Mead daté de 2003 et intitulé "Chocolate dumpings "(littéralement "décharges de chocolat")
C'est à ma connaissance le tableau le plus trash de Stu Mead. Cette fois, je me garderai bien de vous livrer
une "lecture"de la scène. Juste une remarque cependant : dans les tableaux précédents, la gamine était toujours passive ou indifférente, alors que cette fois que ce soit par sa main posée sur
l'épaule et surtout par la langue qu'elle mêle complaisamment à celle de son baiseur, elle participe vraiment à l'action.
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Mardi 5 janvier 2016
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Rappel du premier article : Giovanna CASOTTO, # 1
Après avoir pris connaissance des méthodes de travail de Giovanna Casotto, voici une deuxième série de dessins où Giovanna se
caresse, ou pour parle plus trivialement, se branle !
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Mercredi 23 décembre 2015
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/2015 08:30
La gravure s'intitule "Sailor" (marin). Je reconnais que pour le coup, on ne peut pas vraiment parler de
transgression d'interdit. Il s'agit plutôt d'un classique du sexe d'escale : le matelot et la putain. Stu Mead y adjoint un tiers, gringalet voyeur et masturbateur, qui revisite le thème.
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Samedi 19 décembre 2015
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Giovanna Casotto est née en août 1962 à Desio, petite ville italienne de Lombardie, au nord de Milan. Illustratrice,
photographe, dessinatrice et auteure de BD, elle est la première artiste italienne à consacrer l'intégrité de son œuvre à l'érotisme. Autre particularité, dans ses photos, dessins et bandes
dessinées, elle est son propre modèle et se met elle-même en scène. Pour ce premier article, je vous propose une série d'images qui alternent autoportraits et dessins pour bien montrer combien
ces deux expressions artistiques sont pour Giovanna Casotto indissociables, tant elles se mourrissent l'une de l'autre...
Par michel koppera
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Samedi 12 décembre 2015
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/2015 08:00
Le tableau de 2005 a pour titre "View" terme générique dont le sens va de "vue" en tant que
scène, spectacle à "examen", voire "avis, opinion". On constate que chacune des acceptions du mot pourrait donner sens au tableau.
Encore une fois, c'est l'ambiguïté du comportement des protagonistes qui pose question. On peut légitimement penser que
l'homme assis dans le fauteuil est le père de la gamine. Quoique... Et la gamine qui, culotte baissée, lui présente son cul, dans quel but? Pour une inspection hygiénique ? Une quête
d'approbation ? Et pourquoi tourne-t-elle la tête derrière elle, on a l'impression qu'elle demande quelque chose... Ces tableaux sont terribles et très dérangeants car ils remuent beaucoup de
choses enfouies dans notre inconscient collectif
Par michel koppera
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Samedi 5 décembre 2015
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/2015 09:00
Le tableau est intitulé tout simplement "Breakfast"
Breakfast pour la gamine qui sirote sa tasse de thé avec une apparente complète indifférence, breakfast aussi pour la femme
qui lui lèche le cul ! (sont-elles parentes ? Sa mère ? Une tante ? ou n'est-elle qu'en pension chez ce couple de bourgeois très conventionnels ?). Le comique de la scène réside évidemment dans
le geste réprobateur de l'homme en costume qui semble choqué par le comportement de la gamine allongée sur la table (on peut supposer qu'elle est en train de boire dans sa tasse !) plus que par
les pratiques incestueuses ou pédophiles de son épouse !
Par michel koppera
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Jeudi 19 novembre 2015
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/2015 08:30
Tableau sans titre. Un lit à couverture rouge, des draps et un oreiller blancs. Rien d'autre ! À quatre pattes sur le lit,
bien cambrée, une gamine blonde, vêtue d'un simple débardeur blanc. Elle n'a encore ni poitrine, ni poils pubiens, mais son visage est déjà celui d'une jeune femme. Elle paraît bien consciente de
ce qui se passe derrière elle.
Derrière elle justement, un groupe de cinq hommes, langue pendante, leur visage tourné vers ses fesses légèrement écartées,
comme aimantés par sa croupe offerte à leur concupiscence. Encore une fois, comme souvent chez Stu Mead, difficile d'interpréter l'expression du visage de la gamine... Est-elle consentante ou
obéissante, vicieuse ou innocente, coupable ou victime ?
Par michel koppera
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Vendredi 6 novembre 2015
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/2015 08:30
À ma connaissance, Stu Mead n'a pas donné de titre à ce tableau.
Le lieu : un jardin public, avec ses constituants représentatifs : un banc de bois, une statue (un couple
nu) montée sur piedestal, des arbres en arrière-plan
Les protagonistes :
- Une gamine en jupette rouge très courte, débardeur à rayures (notez que la bretelle d'épaule droite est déjà descendue),
ballerines roses aux pieds.. Elle est blonde, garde les yeux baissés. Sous le débardeur on devine une esquisse de seins juvéniles. Difficile d'interpréter ce qu'exprime sa bouche entrouverte qui
découvre ses dents très blanches.
- Un homme assis à ses côtés. Son bras droit enlace la gamine et de sa main posée sur le bras il l'attire contre lui. Son
regard plonge dans le décolleté de la fillette...
L'action : évidemment, tout serait très banal (et finalement plutôt sordide) s'il n'y avait cette langue de
loup "texaverien" (je me permets le néologisme) qui désamorce le tragique et le transforme en scène de Grand Guignol : le geste de la gamine qui tient d'une main ferme la langue-serpentine comme
pour l'essorer (la branler ?) de toute la salive spermatique qui dégouline entre ses doigts, coule entre ses cuisses nues et tombe goutte à goutte sur l'herbe...
J'y vois aussi plus sérieusement une métaphore de l'Eden Cela ne vous rappelle rien : un jardin, un couple nu, un serpent
tentateur ?
Par michel koppera
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