Jeudi 15 avril 2010
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/2010 05:42
Par michel koppera
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Mardi 6 avril 2010
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Mardi 23 mars 2010
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/2010 13:06
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Mercredi 17 mars 2010
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À cette photo d’affiches lacérées prise dans les couloirs du métro parisien, Nicole a donné le titre
« Elan », car elle y voit comme une aspiration vers le ciel.
Pour ma part, je l’intitulerais « Extase ». Ce buste dénudé semble comme dévoré par les flammes
blanches du désir qui l’assaille. On entrevoit un sein nu, on devine plus bas une pénétration profonde. La femme a le regard lointain, l’expression presque douloureuse, quasiment mystique, d’une
martyre dans l’attente d’une jouissance imminente. Le léger flou de ses traits la nimbe de mystère. Le plaisir la désarticule et les mots tronqués sont comme les sons gutturaux qui s’échappent
malgré elle de sa gorge offerte. Elle est en plein orgasme !
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Samedi 13 mars 2010
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/2010 09:39

Figure de proue
En 2005, lorsque j’ai eu terminé l’écriture de « La Seconde Vie de Maximilien Bémol » et que j’ai
tiré le manuscrit à envoyer aux éditeurs potentiels, j’y ai mis en couverture ce dessin (encre de Chine et gouache ) que j’avais réalisé au début des années 1980. J’aurais bien aimé qu’il figure
aussi en couverture du livre. Malheureusement, l’éditeur ( éditions Le Cercle) avait d’autres projets. Alors, à vous lecteurs de ce blog, je vous donne l’occasion de visualiser ce que fut dans
mon imaginaire Teresa Dos Santos, l’héroïne de ce roman à la gloire du poil pubien. Je me la représentais comme une sirène, figure de proue de mes fantasmes, mélange de Méduse et de
Calypso…
Dernière minute : Les éditions « Le Cercle » viennent de m’adresser 10 exemplaires d’une
nouvelle impression de « La Seconde Vie de Maximilien Bémol » en format poche. Avis aux amateurs pour un exemplaire dédicacé. Je vous rappelle mon adresse mail :
mkoppera@orange.fr
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Jeudi 4 mars 2010
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/2010 18:48
Par michel koppera
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Mardi 9 février 2010
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/2010 18:29

Il existe un grand nombre de commentaires et analyses de l'Olympia d'Edouard MANET, oeuvre majeure datant de 1863. Il en ressort quelques points qui font presque consensus
:
- Le modèle était une femme de petite vertu ( pour ne pas dire prostituée ) À preuve le cordelet de velours
noir noué autour du cou, la mule de fourrure...
- La main cache-sexe ( mais aussi onaniste et masturbatrice) attire irrésistiblement le regard, avec ses doigts
comme les cinq pétales d'une fleur épanouie sur son ventre nu
- Le bouquet prétentieux apporté par la domestique noire est celui d'un admirateur, plus sûrement d'un client.
Mais accompagne-t-il une demande ou un remerciement ?
- Les yeux, la bouche, et la fleur rouge piquée dans la chevelure sont une invitation au
plaisir...
Un présent ( collier de perles, bague précieuse, liasse de billets, que sais-je) suffirait pour que la belle lève
sa main gauche, décroise les jambes et se donne...
Voici un dessin préparatoire de Manet, puis deux tirages en lithographie



Enfin, une série de variations sur cette oeuvre
Par michel koppera
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Vendredi 15 janvier 2010
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/2010 13:30
Le Petit Robert donne la définition suivante du mot : Mot d'origine turc odalik (1624) Jeune
femme de chambre esclave qui était au service des femmes du harem.
Sens courant : femme d'un harem
Par extension, le mot a pris le sens de courtisane. L'odalisque peut être la maîtresse, la concubine d'un homme
riche ( ce qui est en contradiction avec le sens d'origine où la jeune femme était vierge ! )
Le projet de cette série d'images consacrée aux odalisques n'est évidemment pas de s'en tenir au sens premier du
mot. Par Odalisque, j'entends toute représentation artistique d'une femme nue, le plus souvent couchée de dos ( mais pas nécessairement) et dans une pose d'abandon. Disons pour simplifier, le
modèle du "grand nu couché", comme celui de la Grande Odalisque de Ingres. On y trouvera donc des tableaux célèbres, des dessins, des photographies, toutes représentations célébrant la
beauté de la femme nue, de ses courbes.
Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours ressenti une grande émotion à la contemplation de ces tableaux.
Devant mes yeux admiratifs, la femme devenait paysage, avec ses douces collines, ses sombres vallées, ses forêts et ses bosquets, ses plaines fécondes. Mon regard heureux y cheminait, y flânait
et s'y reposait en paix...
Alors place aux cinq premières images d'une longue série :
L'odalisque romaine ou Marietta ( 1843). Tableau de Corot ( 1796 -1875 ). Le fait de lui donner un prénom la rend tout de suite plus humaine et plus
désirable
Une photographie de Stéphane Lallemand extraite de l'exposition "Ingres et les modernes". Je consacrerai bientôt un article aux oeuvres de ce photographe contemporain. La photo
présentée ici fait évidemment référence à la Grande odalisque de Ingres avec ses trois vertèbres supplémentaires

Un tableau de Jules Joseph Lefebvre daté de 1847, intitulé "Grande Odalisque".

La "Vénus endormie" de Giorgione (1510 ) n'est pas à proprement parler une odalisque, mais la pose est plus qu'érotique. Surtout si l'on s'attache au doigt masturbateur de la belle
dont le rêve ne doit pas être innocent. Une oeuvre magnifique de sensualité : elle se branle !
Pour conclure, une photographie de la belle époque très sensuelle.
Par michel koppera
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Samedi 5 décembre 2009
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/2009 15:35
Par michel koppera
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Mardi 10 novembre 2009
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/2009 17:51
Dans le numéro 31 de la revue (Artabsolument) de septembre-octobre 2009, il y
avait la présentation d'oeuvres de Stéphane PENCREAC'H. Parmi les oeuvres présentées, se trouvait ce tableau intitulé "Thief in the Temple" ( voleur (ou voleuse
?) dans le temple ) 2008 huile, trou, singe en plastique, cheveux sur toile, 100 X 80 cm. La scène est très forte, l'imminence de l'orgasme presque palpable ( c'est le cas de le
dire ! ). On ne peut qu'être ému à la vue de ces cuisses ouvertes, de cette main que l'on devine en pleine action... Absolument magnifique !
Plus loin, suivait un article consacré à la sortie d'un ouvrage intitulé "Les peintres du désir" de Bernard Noël ( éditions Gutenberg) Et parmi les tableaux
sélectionnés, cette oeuvre de Antoine WIERTZ , "Les deux jeunes filles" ou "La belle Rosine", 1847, huile sur toile 140 X 100 cm. La scène ne
manque pas de troubler. Il y a dans le regard qu'échangent les deux "jeunes filles" à la fois admiration, crainte mais aussi défi.
Le rapprochement de ces deux tableaux m'est aussitôt apparu comme évident et nécessaire. Chacun à sa manière traite du plaisir, de cette mort qu'on appelle petite, celle de
l'orgasme...
Par michel koppera
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