Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Le narrateur qui est parti faire sa vie de l'autre côté de l'Atlantique, apprend la mort de son oncle Robert. Il se rend aux obsèques et y retrouve une
lointaine cousine. Il se trouve qu'il doit partager avec elle un héritage bien insolite. Evidemment, leurs retrouvailles iront plus loin que prévu....
" Je m'assis à ses côtés et posai la main directement entre ses cuisses qu'elle écarta complaisamment. C'était bien ce que je pensais : elle était
quasiment nue là-dessous, avec juste un string mauve qui lui cachait à peine la touffe. Les poils de sa chatte étaient longs et soyeux. Florence était déjà trempée de désir. (...)
Avec les moyens du bord, ma bite, ma bouche et mes doigts, je me suis employé à lui procurer les plaisirs qu'elle me réclamait. Je ne sais si c'était
l'évocation de nos vacances passées, les effets de la cassette vidéo, ou plus simplement un manque de luxure au quotidien, mais Florence en voulait. Elle commença par me gratifier d'une bonne
pipe, comme pour me prouver qu'elle n'avait rien perdu de ses talents d'adolescente. Je retrouvai de lointaines sensations. Mais, depuis, Florence était devenue une femme mûre, avide de sexe plus
hard, sans ménagement. Alors, elle se laissa lécher la chatte et le cul, se prêta volontiers aux jeux de doigts dans le vagin et l'anus, se fit baiser et enculer sans réticence. Elle avait les
hanches généreuses, les tétons tojours aussi pointus, les seins lourds et la vulve huileuse. Elle m'encourageait des fesses et de la voix :
- Vas-y Michel, mets-la bien au fond, que je sente que ta bite me remplisse le con ! Oui, comme ça, plus vite ! Non, ne t'en va pas, pas
encore..."
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