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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
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Plus connus que les 11000 verges, les Mémoires d'un jeune Don Juan furent publiés sous le manteau en 1913. Même si
Apollinaire n'en a jamais revendiqué ou publiquement reconnu la paternité, quleques années après sa mort l'ouvrage lui sera atrtribué officiellement ( en 1924). On retrouve dans ce
petit récit d'une centaine de pages tous les fantasmes et oripeaux de l'univers érotique d'Apollinaire : société cosmopolite, à fortes composantes slaves et germaniques, aventures loufoques,
femmes plantureuses, fascination pour le sexe féminin, en particulier les pilosités pubiennes et les vulves généreuses. En voici un échantillon :
" Madame Muller verrouilla la porte. Je
l'empoignai à la motte et je la trouvai enflée, le clitoris était dur. Je la mis en chemise et la lui soulevai très haut. À son aspect, on eût dit une femme maigre. Il n'en était rien. Elle était
très bien en chair, les poils étaient noirs et lui montaient jusqu'au nombril. Alors, je la mis nue et m'étonnai de la fermeté de ses tétons qui n'étaient pas très gros et dont les tétins étaient
entourés de légers poils bruns.
En lui soulevant les tétons, je vis qu'au dessous elle avait aussi des poils très courts, fins et noirs. Ses aisselles étaient de même couvretes d'un buisson de poils aussi
épais que chez les hommes.
En la regardant, je m'émerveillai de son cul, dont les fesses très relevées se serraient l'une contre l'autre. Sur l'échine, elle avait de même des poils légers et noirs qui montaient
jusqu'en haut du dos. Cette riche toison me fit encore plus bander. (...) Nous étions placés de telle sorte que nous nous voyions tout entiers dans la glace. Je la menai vers le lit où elle
s'assit en disant :
- Je sais que vous voulez me voir tout entière.
Elle souleva les jambes et montra son con poilu jusqu'au cul. J'y mis aussitôt ma langue et m'y attardai. "
Comme pour l'article précédent, la photo est tirée du "Journal intime illustré d'Alfred de Montel"
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