Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Dans mon dernier article consacré à Restif de la Bretonne, j'évoquais les fantasmes incestueux de Restif à l'égard de sa fille
Agnès. Avec ses "Lettres incestueuses", Nathalie More ( évidemment un pseudo, tant il est patent que cet ouvrage a été écrit pas un homme ) s'en donne si l'on peut dire à cul ou à con joie!
Les deux soeurs se masturbent mutuellement, le gendre baise sa belle-mère et sa belle-soeur à peine âgée de 14ans, etc.
Je n'ai rien pu trouver sur l'identité réelle de l'auteur, ni même sur la date de publication. de l'ouvrage. De toute évidence, c'est assez récent ( les lettres sont datées du 3 juillet 1929 au
30 juin 1930 pour la dernière ). Les aventures ont lieu soit à Venise, Londres, mais surtout sur les bords de la Loire dans une belle propriété bourgeois appelée la Bellaupré.
( si vous avez des informations concernant l'identté véritable de cet auteur, faites m'en part )
Dans l'extrait que je vous propose, Didier, le cadet de la famille âgé de 13 ans, se fait initier aux arcanes de la masturbtion féminine par une servante créole nommée
Carlotta. La scène est décrite par la grande soeur de Didier qui les surprend dans la salle de bains en pleine activité :
" Carlotta s'assit sur le rebord de la baignoire, retroussa sa vaste jupe
bariolée. Elle avait le cul nu là-dessous. Entre ses cuisses sombres qu'elle avait écartées, j'aperçus la fente rose et humide de son con. Mouillant son index de sa salive et écartant
les boucles brunes de sa toison, elle ferma les yeux et se mit à se masturber avec ferveur.
- Qu'est-ce que tu fais, s'étonna mon frère qui était sorti de son bain et la contemplait avec intérêt.
Elle lui sourit brièvement sans s'interrompre pour autant.
- Je me branle, tu le vois bien. regarde moi si tu veux. mais ne vas surtout pas le répéter ! Je branle ma chatte comme j'ai branlé ta petite queue.
- Et ça te fait le même plaisir ? interrogea mon frère.
- Le même, assura Carlotta d'une voix haletante. regarde, petit chéri, regarde mon doigt aller dans ma fente... Tu vois ce bouton qui pointe là ?
- Je vois, dit Didier en s'agenouillant pour mieux observer entre les cuisses écartelées de la Martiniquaise. Cela s'appelle un clitoris, nest-ce pas ?
- Tu es savant, petit homme, sourit nerveusement Carlotta. Un jour, quand tu seras plus grand, je te le laisserai toucher. Regarde bien comme il faut faire, regarde
bien !
Entre son piuce et son index, elle masturbait son bourgeon de chair, son regard commençait à se révulser. Alors, j'ai honte de le dire, mon Isabelle, je retroussai
moi-même ma jupe, écartai l'élastique de mon slip et, debout, me mis à me masturber, sans plus pouvoir me retenir !"
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