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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Monumental pavé de 666 pages paru en 1968 aux Editions Buchet Chastel pour la traduction française, mais dès 1949 pour le texte original en américain, Sexus, premier volet de la "Crucifixtion en rose" est sans consteste le livre
le plus connu et le plus ouvertement pornographique de Miller. Même si je lui préfère à titre personnel le "Tropique du Capricorne", il faut reconnaître que le livre est chaud et que les
scènes de cul s'enchaînent à un rythme qu'on peut qualifier d'endiablé. Voici une scène du chapitre 8, page 245 où le narrateur prend du bon temps avec une certaine Ida, compagne d'un de ses
amis.
" Je me levai et dégageai son fauteuil de la table. J'empoignai une de ses jambes et la fis passer par-dessus le bras du fauteuil.
- Tu ne portes jamais de dessous, hein ? Tu n'es qu'une salope - tu le sais ?
Je retroussai sa robe et la forçai à garder cette pose pendant que je finissais mon café.
- Joue un peu avec ton truc pendant que je termine ça.
- Ordure ! me dit-elle.
Mais elle n'en fit pas moins ce que je lui disais.
- Ecarte-le tout grand, des deux mains. J'aime bien sa couleur. On dirait du corail à l'intérieur. Comme tes oreilles. Tu dis qu'il a un polard énorme, Bill ? Je me demande bien comment il arrive
à l'entrer là-dedans.
Sur quoi, j'attrapai une bougie sur la desserte, à côté de moi, et la lui tendis :
- Voyons voir un peu si tu enfiles ça jusqu'au bout.
Elle passa l'autre jambe par-dessus le second bras du fauteuil et commença à enfoncer la bougie. Elle se regardait faire, intensément, les lèvres entrouvertes, près de jouir, eût-on dit. Elle se
mit à bouger d'avant en arrière, puis à rouler du cul. Je reculai encore un peu le siège, m'agenouillai, observai.
- Qu'est-ce que tu ne me ferais pas faire, espèce de sale dégoûtant !
- Ose dire que tu n'aimes pas ça !
Elle était près de l'orgasme. Je retirai la bougie et glissai trois doigts dans le manchon.
- C'est assez gros pour toi ?
Elle me prit la tête à deux mains et me mordit les lèvres.
Je me relevai et déboutonnai ma braguette. En un clin d'oeil elle l'eut sorti et pris dans sa bouche. Et je te tète, et je
te tète - comme un veau affamé. Je giclai dans sa bouche.
- Seigneur ! dit-elle, s'étouffant et bavant. C'est la première fois que je fais ça !"
( illustrations : encore et toujours Hugdebert, je ne me lasse pas d'admirer la qualité de son travail !)
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