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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Ouvrir un roman "pornographique" d'Esparbec, car c'est ainsi qu'il qualifie et revendique ses
écrits, c'est se résoudre à une érection constante tout le temps de la lecture et quelques temps après, sachant que les symtômes persistent bien au-delà de la durée du traitement, comme le dirait
une notice d'emploi de médicament. Je crois que c'est le plus bel hommage que je puisse rendre à cet écrivain secret qui nous livre, avec la régularité d'un métronome, depuis plusieurs
années, ses centaines de pages de fantasmes pornographiques. Il y a chez Esparbec la même jubilation sexuelle que chez Sade... On sait que ce n'est pas possible et pourtant on
aimerait que ce le soit. Je me demande parfois si les femmes éprouvent des émotions semblables à celles des hommes à la lecture d'Esperbec : mouillent-elles,
ont-elles envie de se branler en lisant ses tableaux lubriques ? Parmi ses oeuvres j'ai bien entendu mes préférées : "Les mains baladeuses" dont je vous recommande la lecture, avec
des monuments de perversité trop longs pour être relatés ici, et "La Pharmacienne", roman plus court que je vous propose de découvrir. On y retrouve un quintet des plus
classiques : la femme (Laura Desjardins, la pharmacienne), son mari ( Beau), Bébé la belle-fille ( la fille de la pharmacienne), le beau-fils (Bertrand, frère de
Bébé) et Ernest l'oncle-beau-frère ( le frère de la phramacienne). À partir de là, toutes les combinaisons sont permises. Le passage que je vous restrancris est un
classique d'Esparbec, à savoir l'exhibition obscène ( infligée mais acceptée, voire désirée) d'une femme, en l'occurrence Laura ( la pharmacienne) qui nous dévoile ses charmes dans la
salon familial . ( à noter l'emploi très habile de l'imparfait d'habitude, pour nous signifier que cette scène était un des rituels du couple )
" Laura, selon les désirs qu'il avait manifestés, ne portait jamais de collants, mais des bas et un porte-jarretelles. Beau, une fois qu'il l'avait
dépoitraillée et troussée, retournait s'asseoir en face d'elle, à côté de la télé. Et pendant qu'elle feignait d'être absorbée par le film, toute rouge d'émotion, lui, c'est elle qu'il
contemplait. Et le spectacle lui plaisait beauoup.
Cette quadragénaire charnue, au beau visage si sérieux, à peine maquillée, aux cheveux sagement tirés en chignon très strict, elle était là, devant lui,
rien que pour lui, à lui exhiber sa chatte et ses gros nichons aux larges médailles roses. Il lui avait fait passer une jambe par-dessus l'accoudoir du fauteuil, de façon à bien faire
bâiler la fente poilue au bas de son ventre, et comme elle avait les fesses au bord du siège, il pouvait même voir son anus entre les fesses rebondies. Les joues rouges, les yeux fixés sur
l'écran de télé, la belle et plantureuse phamacienne deVilleneuve-sur-Lot n'osait pas regarder son voyou de mari. Elle était si excitée de se montrer que la mouille coulait entre ses poils.
- C'est intéressant, ce
film ? lui demandait-il, au bout d'un certain temps.
- C'est très bien, je t'assure, Beau, répondait sa femme d'une voix étranglée, tu devrais venir le voir... ( toute honteuse, elle baissait pudiquement la
voix) au lieu de regarder ce que tu regardes...
- Eh bien, tu vois, j'suis pas d'accord avec toi. Moi, je préfère nettement regarder ta chatte et tes nichons que ces conneries de feuilletons
amerlos. Je trouve ça plus marrant. En ce moment, par exemple, t'as la fente qui bâille comme si elle avait faim... et ton clito est tout raide, le salaud !
- Ne parle pas si fort, voyons, chuchotait la pharmacienne, si les enfants t'entendaient ! Et puis, Beau, tu sais bien qu'jaime pas que
tu dises des choses pareilles, ça me fait rougir.
C'est vrai qu'elle rougissait, c'est bien ce qui rendait la chose si excitante pour Beau. Elle rougissait, mais elle mouillait !
Il ne se gênait pas pour le lui faire remarquer.
- T'es trempée ! Tu devrais mettre une serviette sous toi, tu vas faire des taches sur le fauteuil !
- Beau !
- Fais voir, ouvre un peu plus les cuisses, que je voie bien le trou de ton vagin. Tu sais que j'aime bien voir tous tes trous, surtout
quand ça bâille comme maintenant."
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