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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
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Correspondance
Préambule : il y a quelques années, lorsque j’ai entrepris l’écriture de
mon roman : « La Seconde Vie de Maximilien Bémol », j’ai recueilli des témoignages de femmes à forte pilosité qui m’ont raconté, par lettres, leur sexualité. Avec l’une
d’entre elles, une femme d’une cinquantaine d’années originaire du Languedoc-Roussillon, notre échange de lettres se prolongea bien au-delà de ma recherche documentaire et devint, au fil des
mois, une correspondance d’une grande obscénité où nous échangions confidences et fantasmes. Cette correspondante très particulière servit de modèle au personnage de la Maréchale dans le roman.
Ces lettres constituèrent en 2003 la matière première à une nouvelle pornographique que j’ai intitulée tout simplement « correspondance ». Dans ce texte inédit, j’ai donné le nom de
Corinne à ma compagne épistolaire… Voici donc « correspondance », nouvelle inédite et particulièrement graveleuse, qui fait partie du second tome (à paraître) de mes nouvelles
érotiques.
MOI. Je me souviens que c’était en septembre, à l’occasion du mariage tardif d’une amie commune. L’assemblée était nombreuse. En fin de banquet, ça chantait, ça buvait, ça riait… J’ai profité de la bruyante confusion d’une chanson à boire pour me glisser sous la table afin de voir sous les jupes des femmes. Déception ! Rien que des jambes croisées ou des cuisses serrées, des collants rébarbatifs et hostiles, des pantalons cadenassés. La table est en fer à cheval. À quatre pattes, j’avance entre deux rangées de genoux revêches. Et puis, brusquement, là-bas, tout au bout de la dernière allée, j’aperçois enfin une paire de jambes écartées. La femme porte une robe courte, retroussée à mi-cuisses, des bas sombres qui laissent voir plus haut un peu de chair nue. Elle n’a pas de culotte et sa chatte poilue m’attire comme un aimant. De loin, sa vulve aux lèvres humides et luisantes me sourit aimablement. Au fur et à mesure que je m’approche, la femme ouvre les cuisses et laisse doucement ses fesses glisser jusqu’au bord de la chaise. L’odeur fauve du désir flotte sous la nappe. Mon visage plonge littéralement au cœur du buisson de poils noirs. À grandes lapées, je lui lèche la fente. Elle lâche la sauce. C’est chaud et visqueux.
Plus tard dans la nuit, je t’ai invitée à danser. Tu m’as dit que tu te prénommais Corinne, mais que je pouvais t’appeler
Corie.
ELLE. Je n’oublierai jamais cette première nuit de la Saint Sylvestre que nous avons passée ensemble. Tu étais
venu seul, ta femme était en voyage, très loin. Tu as fait la connaissance de Jean, mon mari ; dès les premiers mots j’ai senti que vous seriez compères… Après minuit, vous avez écarté les
assiettes et les verres, puis vous m’avez allongée nue, couchée sur le dos, cuisses écartées au milieu des restes de victuailles.
Vous avez continué à manger, mon mari près de mon visage, toi à l’autre bout de la table entre mes pieds. Mon mari m’a enduit les seins avec la crème au beurre du Paris-Brest et il a commencé à
me malaxer la poitrine pour me faire durcir les tétons. Pendant ce temps, tu m’agaçais la chatte avec un gros boudin blanc que tu frottais tout le long de ma fente… Quand j’ai été bien huilée, tu
me l’as enfoncé dans le vagin. J’avais l’impression d’être baisée par un géant en saindoux. J’ai joui une première fois. Debout, les cuisses appuyées sur le bord de la table, Jean a posé sa bite
à la chantilly sur mes lèvres. Je l’ai embouché, sucé, tété jusqu’à ce qu’il éjacule en grognant. J’avais son scrotum sous les yeux et, plus haut, ses hanches que je tenais fermement à deux
mains. Toi, tu avais dégainé le boudin blanc et, maintenant, je le sentais qui fourrageait plus bas, dans le buisson entre mes fesses, à la recherche du trou de mon cul. Je me suis ouverte
davantage pour t’aider. C’est rentré tout seul, en douceur, comme un étron inversé. C’était divin.
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