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Ivre de pain perdu, extrait n° 2
Il y avait aussi des passages plus conventionnels, comme cette lettre qu’une adolescente, Angiolina, adresse à Nil, lettre où elle exprime son amour et son désir ( extrait du chapitre 5, pages 110-111)
« Mon amant tout nu, tout doré, j’ai envie de tes lèvres, de ton corps, de ton sexe, de la lueur qui danse dans tes
yeux durant le plaisir. Quand donc te retrouverai-je dans notre lit de Monsieur-le-Prince, à la lueur su cierge, à la musique de Donovan ? Je désir tellement cet instant. J’ai drôlement
envie d’être dans vos bras, je caresse mon ventre, mes cuisses, mes épaules, en m’imaginant que c’est votre peau si douce que je sens sous mes doigts, ou mieux, que ce sont vos mains qui me
caressent. Je vous désire, j’ai envie de vous – très fort. J’ai envie que vous me preniez dans vos bras, que vous m’allongiez sur le lit où nous nous sommes tant de fois caressés, que vous me
serriez contre votre poitrine, que vous me fassiez l’amour comme à une femme, et aussi comme à un petit garçon.
J’aime presser ma bouche sur votre bouche tiède et profonde, je vous savoure Nil tout nu, rôti de soleil, Nil sur canapé, Nil parfumé aux senteurs orientales, Nil et les endroits secrets de
son corps… Je veux dire qu’il me laisse le déshabiller sans rien dire, ses cils graves baissés sur moi, il fait « Oh ! » parce que je me montre audacieuse. Nil nu, sans défense, il
ne bouge pas, si, parfois il tressaille un peu, il gémit un peu. Non, ne me touchez pas, mon amant soleil ! Restez immobile, faites le pharaon, vous avez compris ! Nil dont les fesses
s’embrasent, sentez-vous mes mains avancer sur la face intérieure de vos cuisses ? Vous rendez-vous compte que vous vous ouvrez, tout doucement, que vous vous livrez à moi ? Je perds la
tête et j’ai envie de me serrer contre vous, d’enlacer vos jambes de mes jambes, de vous aspirer de toutes mes forces, de jouir du va-et-vient de Mitrounet, de sentir le soleil se lever en moi.
Mais auparavant je veux prendre votre bouche dans la mienne, lécher vos lèvres pourpres, vos dents si blanches, sucer votre langue fruit, boire votre salive. Je veux adorer vos oreilles
coquillages, griffer votre dos, là, juste au milieu. Je veux mordre vos bras là où ils sont le plus en chair, après l’épaule. Mon bel ange tentateur, laissez-moi encore perdre mon visage dans vos
aisselles parfumées, oh si ! encore. Ta poitrine, je me serre contre vous, c’est si doux, si chaud, tiédeur paisible… Je me laisse glisser le long de votre corps doré, ouvre-toi mon amour,
laisse-moi te caresser, te sucer, entre les cuisses tiédeur humide entre les fesses vous gémissez et mordez l’oreiller…les petites boules à Mitroun’ je voudrais tant les prendre dans ma
bouche ! Je suis le sillon et enfin ton sexe, ton sexe doux et lisse, le lécher longuement longuement tourner autour à toute vitesse enfouir son extrémité rose sous ma langue vous pétrir
avec ma main te sucer te sucer faire jaillir de toi toute ta semence…
Tu es l’Unique, mon amour du onze août, mon visiteur du soir, mon Nil dont le cœur palpite dans mon sein quand nous nous aimons, mon seigneur du monde. Tes cils sont des ailes de papillon, mon
petit niouf-niouf. Moi, je suis ton petit pouf, ton petit poisson, ta lycéenne, ton amante. Jamais je ne serai à un autre. Je me suis donnée à vous et c’est à jamais que je vous appartiens. Je me
suis dévoilée à vous corps et âme. Vous m’avez tout pris et vous m’avez tout donné. Il y a là un ouragan d’amour qui nous emportera ensemble à travers les années. Toujours ensemble, toujours les
caresses, les tendresses, le plaisir, la gravité, je t’aime, je suis ta rencontre, ton enfant fidèle, ton esclave nubienne, ta maîtresse, ta muse, ton amante absolue pour tous les jours de
l’éternité. »
Etrange tout de même cette
toute jeune fille qui demande à être enculée !!!
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