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Né en 1936, d’origine russe, Gabriel Matzneff connut son heure de gloire à la fin des années 70. Dans ses ouvrages, il ne fit aucun mystère de ses mœurs pédophiles, aussi bien féminines que masculines. La piscine Deligny était un de ses terrains de « chasse » favoris. Plus tard, dans les années 80, avec un ordre moral plus strict, ses écrits firent scandale et peu à peu, il disparut de la scène médiatique.
Son roman « Ivre de pain perdu » paru à la table Ronde en 1981 constitue une de ses œuvres majeures. On y
retrouve tout l’univers de Matzneff : luxe, vie facile et plutôt oisive, voyages, érotisme et intellectualisme bobo. Le livre fut même édité en
Folio dès 1983.
Voici un premier extrait où nos deux principaux protagonistes du roman, Nil et Rodin, discourent très doctement de la pédérastie. Il va de sans dire que de tels écrits seraient aujourd’hui quasiment impensables. Extrait des pages 34-35 de l’édition Folio
« Enculage ou touche-pipi, le principal aux yeux de Nil, quand deux êtres se trouvent dans le même lit, c’est qu’ils y fassent des choses qui leur soient agréables à l’un et à l’autre. Telle n’était pas la philosophie de Rodin, qui se mit à dérouler, dans les moindres détails, les mérites du trou du cul. Nous nous tiendrons la bride courte sur ce point, par désir de n’effaroucher pas les mères qui nous lisent. Observons simplement que Rodin possédait le sujet à fond, et que s’il en avait fait une thèse de doctorat de troisième cycle , il aurait sans nul doute ( et non, cher typos, sans cul boute) reçu les félicitations du jury.
- Votre jean marc, qui a douze ans, conclut brusquement le banquier, j’espère que vous le sodomisez ? J’aime qu’un garçon m’offre ses fesses, car c’est le signe d’une nature généreuse. »
Difficile de faire plus explicite !
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