Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
On connaît tous les dessins à l'encre de Chine et au lavis de Victor Hugo. Ces dessins
représentent souvent des châteaux médiévaux, des paysages marins, parfois des personnages de ses romans comme Gavroche. Mais il y a des dessins plus intimes qui ne sont que rarement montrés comme
cette femme nue, dessin intitulé " Sub clara nuda lucerna" ( nue sous la claire lumière de la lampe). De qui s'agit-il ? de son épouse, de
Juliette Drouet, de Léone Biard qui fut sans doute sa plus ardente maîtresse. Ou alors, une des ses innombrables conquêtes d'un jour... Nul ne le sait.
Victor Hugo était le roi du calembour. Et en regardant son dessin, je repense à une anecdote tirée de son journal intime "Choses vues". Je cite de mémoire. Il était lors membre de la chambre des
pairs, donc avant 1850. À la tribune monte un certain M. Kisselev ( homme politique de l'époque dont l'épouse était réputée volage). L'homme prend la parole, son discours est
ennuyeux. Victor Hugo se penche vers son voisin et lui dit : " Je préfère madame "qui se couche". Spirituel mais très cruel... Si vous souhaitez voir le dessin, rendez vous au Musée
Victor Hugo à Paris
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