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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
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Et l'histoire continue...
Casting (2ème partie )
Elle obéit, comme d’habitude. Cependant, un reste de pudeur enfantine la retient d’écarter les fesses, de donner en spectacle le vallon ombragé de sa raie culière. Vaguement honteuse, elle enfouit son visage dans le berceau de ses bras.
Le photographe ne lui tourne plus autour. Elle le devine, derrière elle, tout près, si près qu’il lui semble sentir glisser sur sa peau nue le souffle tiède d’une respiration oppressée. Elle entend, dans sa propre poitrine, sur ses tempes, dans son cou, les battements de son sang et de son cœur en émoi. Il regarde son cul qu’il ne quitte plus des yeux. Les lèvres épaisses de sa chatte forment en haut de ses cuisses comme un bourrelet de chair tendre. En se penchant en avant, il peut apercevoir l’étoile brune de son anus, comme le faisait autrefois sa maman quand elle approchait le thermomètre pour lui prendre sa température. Elle se souvient du froid de l’embout enduit de vaseline posé sur son anus fiévreux, puis de sa lente intromission pendant que la douce main maternelle caressait son front brûlant… Et plus tard, il y avait eu ces gros suppositoires qu’elle lui introduisait avec des mots rassurants : son anus docile s’ouvrait, se dilatait et, brusquement, la chaude torpille fusait, se perdait dans la nuit de son rectum en lui arrachant un frisson de volupté. Couchée sur le flanc, désormais cambrée pour offrir sa croupe au regard curieux du photographe, ces sensations qu’elle croyait oubliées lui remontent en mémoire.
Peu à peu, lui revient le désir d’être touchée là, au plus secret de son corps. Les yeux clos, elle rêve d’une langue presque animale qui lui laperait l’entrefesses, une langue souple et musculeuse qui se vrillerait dans son anus, le façonnerait en vue de pénétrations plus viriles. De nouveau elle sent la mouillure suinter de toutes ses muqueuses, couler de sa vulve gourmande, et que cette mouillure gagne maintenant son rectum, son anus qui palpite et où perle une indécente moiteur.
Immobile, silencieuse et consentante, elle attend…
© Michel Koppera, janvier 2010
À suivre… ?
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