michel-koppera

"Crissie et Monsieur K. " 2 a 

Ma queue raide vibre dans la pluie de tes cheveux qui frôle mes cuisses. De la main droite, tu as glissé une épaisse mèche blonde entre mes fesses écartées pour me caresser le scrotum et l'anus. Tes lèvres jouent encore maladroitement avec mon gland, le suçotent comme un bonbon, tes dents le mordillent. De toi, je ne vois que la chevelure étalée sur mon ventre comme une méduse. D'un seul coup de reins, je force la porte de ta bouche.
          - Suce-moi ! dis-je en posant ma main sur ta tête pour prévenir toute dérobade.
Précaution inutile. Ta bouche m'accueille au plus profond, ta langue me pourlèche, tes lèvres m'aspirent, ta salive m'inonde de désir.

- Demain soir, on aura des invités...

Ta bouche s'immobilise, je te sens sur tes gardes. Pas vraiment inquiète, mais attentive à la suite.

 - Des copains du Club. Cinq ou six, je ne sais plus.

Rassurée, tu reprends ton ouvrage. Je ferme les yeux, concentré sur la ventouse veloutée de ta bouche pulpeuse. Mais cette douceur sirupeuse finit pas m'exaspérer : Non, ne pas jouir, pas encore !
Brusquement, je te repousse dans le fauteuil de cuir. Tes cheveux sont défaits, du rouge à lèvres a un peu bavé sur une commissure.

- Ça suffit ! Maintenant, ouvre-moi ce peignoir, montre-moi ton corps de putain et branle-toi !