Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
La Meute (chapitre 10 )
- Poésie ! claironne Solange Volponi qui vient de prendre un papier plié dans la coupe. Dis-moi, salope, tu te souviens d’un poème appris à l’école ?
- Je crois, oui, bafouille Sofia. Un poème de Baudelaire que j’ai étudié en première, l’année du bac…
- Tu vas nous le réciter… On t’écoute.
Sultan est assis aux côtés de Solange Volponi. Il est à ses ordres. Solange doit avoir près de cinquante ans. C’est une petite femme blonde, courte sur pattes, avec une poitrine imposante, un gros cul blanc et de petits yeux cruels de rapace. Elle a le ventre avachi, zébré de vergetures héritées de ses grossesses, et une chatte grisonnante que renifle Sultan qui bande.
C’est une femme belle et de riche encolure
Qui laisse…
Isabelle Vallée qui tient fermement Rajah, le second chien, par le collier donne un coup de garcette sur les fesses de Sofia.
- Qui t’a demandé de commencer ? Couche-toi sur le dos et écarte les cuisses. Plus que ça !
Catherine Nioleau, un martinet à la main, soulève le bassin de Sofia et lui glisse un coussin sous les fesses si bien que le con et le cul encore tout suintants de sperme se trouvent exposés à tous les regards
- Allez, on t’écoute, pouffiasse. Et n’oublie pas le titre !
Sofia prend sa respiration.
Allégorie
C’est une femme belle et de riche encolure,
Qui laisse dans son vin traîner sa chevelure.
Les griffes de l’amour, les poisons du tripot,
Tout glisse et tout s’émousse au granit de sa peau.
Elle marque une pause, semble hésiter. C’est le moment que choisit Solange Volponi pour donner un peu de laisse à Sultan qui approche aussitôt sa truffe du ventre de Sofia. Elle le retient à quelques centimètres du but, mais Sofia ne peut ignorer son souffle bestial sur sa chatte. Néanmoins, elle reprend :
Elle rit à la Mort et nargue la Débauche,
Ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche,
Dans ses jeux destructeurs a pourtant respecté
De ce corps ferme et droit la rude majesté.
Elle marche en déesse et repose en sultane ;
Solange a encore lâché du lest et Sultan a maintenant la truffe sur le pubis de Sofia. Sa langue souple et chaude se met à l’ouvrage et lui lape le cul. Pas une goutte de sperme ne lui échappe. Sofia est prise d’un tremblement qui lui parcourt le ventre et les cuisses. Sa voix aussi tremble. Est-ce de désir ou d’effroi ?
Elle a dans le plaisir la foi mahométane,
Et dans ses bras ouverts, que remplissent ses seins,
Elle appelle des yeux la race des humains.
Sultan aussi tremble de tous ses membres. L’odeur de la femme femelle le met en transes. Sa queue écarlate palpite. Si Solange le lâchait, il couvrirait l’humaine comme il le ferait d’une chienne en rut. Des deux mains, Catherine maintient les cuisses de Sofia très écartées, afin que le chien puisse se rassasier du ventre du «Gibier de la nuit ». Solange se branle sans vergogne…
Elle croit, elle sait, cette vierge inféconde
Et pourtant nécessaire à la marche du monde,
Que la beauté du corps est un sublime don
Qui de toute infamie arrache le pardon.
Elle ignore l’Enfer comme le Purgatoire,
Ce dernier vers enflamme l’assemblée. Les érections et les mouillures renaissent, les corps se cherchent à nouveau. Isabelle Vallée se caresse les seins avec lubricité, Solange Volponi a le con trempé, Catherine Nioleau cingle les cuisses de Sofia de salves de martinet :
Et quand l’heure viendra d’entrer dans la Nuit noire,
Elle regardera la face de la Mort
Ainsi qu’un nouveau-né, - sans haine et sans remord.
On applaudit. Sous la cagoule de Sofia coulent des larmes. Le chien continue de lui lécher inlassablement le con et le cul, car sa mouillure est intarissable comme ses pleurs.
Mais l’heure n’est pas à la pitié. Solange Volponi laisse Sultan monter sur le lit. D’une tape énergique sur la croupe, elle lui ordonne de se coucher sur le flanc, ce qu’il fait docilement. Dans le pelage sombre de son ventre, brille son sexe en érection. Il est très renflé en son centre, avec un petit gland presque enfantin.
à suivre…
© Michel Koppera, juin 2010
Derniers Commentaires