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La Meute ( chapitre 9 )
Pas le temps de souffler, on enchaîne :
- Fist, dit Rachel qui remplace sur le lit son mari brusquement rabougri.
Sofia reste à quatre pattes, immobile comme une chienne à l’arrêt. Quelques claques bien senties sur les fesses la contraignent à se cambrer davantage. Son cul est tourné vers l’assemblée des spectateurs vautrés nus dans les canapés, bites et chattes à l’air, en train de se branler mutuellement.
À l’autre bout de la pièce, un des deux molosses s’est assis ; les oreilles dressées, il observe fixement les deux femmes sur le lit. De loin, la truffe en alerte, il les renifle. Sans doute a-t-il senti l’excitation de leurs cons, et plus particulièrement le bas-ventre obscur de Rachel Péchard qui dégage une sensualité quasiment animale.
Mais pour l’instant, Rachel se désintéresse complètement des deux chiens, ce qui l’attire, c’est le con de Sofia qu’elle caresse à pleines mains. Elle lui chiffonne les petites lèvres, lui tripote le clitoris, lui pelote le mont de Vénus, lui malaxe la vulve, s’englue les doigts dans la mouillure du vagin. Elle y glisse d’abord le pouce dont elle use comme d’une petite bite nerveuse, puis, un à un, elle y ajoute les quatre autres doigts en fuseau. Quand ils y sont logés tous les cinq, elle marque une pause, comme si elle attendait que le vagin prenne la pleine mesure de la main qui la pénètre. Puis, elle entame un lent mouvement de rotation, un demi-tour à droite suivi d’un demi-tour dans l’autre sens, et à chaque fois, la main s’enfonce un peu plus. Bientôt les doigts disparaissent totalement entre les lèvres écartées, puis, d’un seul coup, la main tout entière est engloutie jusqu’au poignet. Sofia pousse un cri rauque. Le chien s’est dressé sur ses quatre pattes et tire sur sa chaîne en couinant. Il bande, sa queue écarlate brille dans la noirceur de son pelage. La main baiseuse de Rachel poursuit son ouvrage ; elle se joue du con de Sofia, sort parfois complètement du vagin puis y plonge de nouveau avec une aisance surprenante.
Moi, je n’ai d’yeux que pour le ventre velu de Rachel ; je n’ai qu’une envie, la baiser coûte que coûte. Cette touffe me rend fou mais, de toute évidence, je ne suis pas le seul car je suis devancé par Maître Volponi qui l’enfile sans ménagement et s’empresse de se vider les couilles.
Lorsque Rachel abandonne le terrain, Sofia commence à donner des signes de lassitude. Sans lui ôter sa cagoule à jugulaire, ni la libérer de sa chaîne, on lui sert à boire. Je suppose que la mixture élaborée sur les prescriptions du Docteur Dalban va la remettre d’attaque, d’autant plus que l’épreuve suivante requiert un certain savoir-faire.
- Coup double ! déclare Maître Volponi qui vient juste de se retirer du con poisseux de Rachel Péchard.
On se regarde. Gaétan me fait un signe : c’est à nous. Alors qu’on s’approche du lit, il me glisse à l’oreille :
- Dans le cul…
Vu de près, le ventre de Sofia ressemble de plus en plus à un champ de bataille. Les muqueuses sont comme tuméfiées, la peau marbrée de plaques rouges, l’anus a l’aspect d’une figue sèche écrasée. Il se dégage du large sillon de son entrejambes, du bas du dos à son pubis, un pot-pourri sexuel où se mêlent les odeurs de mouille, de pisse, de merde, de sueur et de Shalimar de Guerlain. C’est moi qui suis désigné pour constituer la base de notre figure. Alors, je suis couché sur le dos, la queue à l’équerre, Gaétan met Sofia en position. Tout en me tournant le dos, elle est forcée à s’asseoir sur mon ventre et, ce faisant, à se planter ma bite dans le cul. La pénétration se fait avec une facilité déconcertante ; elle a l’anus souple, le rectum aussi spacieux que le vagin. Une fois que je suis bien en place, que Sofia est confortablement assise sur mon ventre, calée sur l’axe vertical de ma bite, Gaétan se présente à son tour. Lorsque Sofia le sent qui s’approche, sans doute pense-t-elle que cela va n’être qu’une variante du sandwich précédent, mais il n’en est rien. C’est dans son cul que Gaétan veut me rejoindre. Pour cela, il a la queue luisante de lubrifiant. Je sens les sphincters de Sofia qui se révoltent, ses muscles qui se tendent, son corps qui tente de se rebeller, de dire non, mais rien n’y fait. Gaétan pousse fort, très fort et sans relâche. Centimètre par centimètre, il force le passage. L’anus de Sofia finit par s’avouer vaincu et s’élargit. Le long de ma bite, se glisse celle de Gaétan, chaude, puissante… Les sensations sont indescriptibles. Bientôt je sens ses couilles qui s’écrasent contre les miennes. Il est entré. J’en profite pour peloter les seins nus de Sofia, pour lui malaxer les tétons. Je devine que, penché sur elle, Gaétan l’embrasse à pleine bouche.
On éjacule presque ensemble. Sa jouissance précipite la mienne, nos spermes se mélangent dans l’obscurité du rectum de Sofia qui est secouée de spasmes.
Mais il n’est pas de bonheur qui dure. Pour les dernières épreuves, c’est le trio composé d’Isabelle Vallée, Catherine Nioleau et Solange Volponi qui prend la direction des opérations. Trio infernal auquel se joignent Sultan et Rajah, les deux dobermans qu’elles tiennent en laisse. Attachée au lit, encore pantelante de ses dernier ébats, encagoulée de noir, Sofia est aux aguets.
à suivre…
© Michel Koppera, juin 2010
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