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La Meute ( chapitre 6 )
-Pipes ! … Au pluriel ! précise-t-elle. Il faut au moins deux volontaires.
Il se produit alors un incident inattendu. Sofia qui jusque-là avait accepté sans broncher de se prêter au jeu change brusquement de comportement. Sans un mot d’explication, elle quitte l’estrade et ramasse ses vêtements comme si elle voulait se rhabiller et nous rejoindre à table. En un rien de temps, on s’empare d’elle, on lui croise les bras dans le dos et on lui passe une paire de menottes aux poignets. Puis, on la porte et remet à genoux en scène.
- Même s’il est d’honneur, le gibier reste le gibier, lui dit froidement Gaétan. Ça ne se discute pas. Messieurs, à vous !
Le docteur Dalban et M. Servole sortent de l’ombre, la bite au vent. Ce sont deux gaillards bien membrés. Le sexe du docteur est long, très effilé, avec une tête circoncise du plus bel effet ; la queue de M. Servole est au contraire plus trapue, mais d’un calibre conséquent. D’une seule poussée, il force les lèvres de Sofia, jusqu’à la garde. Le docteur Dalban vient le rejoindre dans la bouche déjà bien remplie. Sofia en a les joues gonflées. Ils la tiennent fermement par la nuque afin de prévenir toute dérobade. D’ailleurs, Sofia finit par se plier à leurs exigences et à se mettre à l’ouvrage, à les pomper en cadence. Tant et si bien qu’on lui ôte ses menottes et que, les mains libres, elle les saisit par la racine, leur masse les couilles et caresse le scrotum jusqu’à ce qu’ils lui éjaculent sur la luette avec des grognements de bêtes repues.
Agenouillée sous la table, la rousse Violaine me taille une pipe juteuse. Tout en me faisant sucer, j’observe le visage de Sofia. De longues traînées de sperme suintent à la commissure de ses lèvres, dégoulinent sur son menton et tombent en gouttes épaisses et filandreuses sur ses seins. Elle n’essaie même pas de s’essuyer. Ce spectacle qui aurait dû éveiller en moi la compassion me fait eu contraire bander encore plus fort dans la bouche chaude de ma suceuse d’un soir.
Lorsqu’elle pioche elle-même dans la coupe pour y choisir son épreuve à venir, Sofia paraît résignée à son triste sort. D’une voix sans émotion, elle lit le papier :
- Sapho.
Aussitôt Violaine abandonne ma bite à sa vaine érection, de même qu’Yvonne, l’épouse du Docteur Dalban, qui laisse tomber ses activités buccales pour rejoindre Sofia sur l’estrade. Bientôt dévêtues, les nouvelles arrivantes se mettent en place pour composer le plus charmant des tableaux. Procédons avec méthode : à la base, Sofia, couchée sur le dos, les cuisses écartées, la nuque posée sur un petit coussin de velours rouge qui lui relève un peu le visage. Au-dessus d’elle est agenouillée Violaine, les genoux posés de chaque côté des épaules de Sofia ce qui provoque une ouverture maximale de l’entrejambes roux. Le con de Violaine se trouve ainsi à portée de la bouche de Sofia qui n’a qu’à tendre les lèvres pour l’embrasser, lui lécher l’anus ou lui glisser la langue dans le vagin. On peut voir que Violaine est une rousse véritable, des cheveux à la touffe, en passant par les aisselles. Et plutôt bien velue. Quant à Yvonne, belle métisse mature aux nichons un peu tombants mais nourriciers, elle s’est installée à quatre pattes tête-bêche au-dessus de Sofia, la tête entre ses cuisses pour lui lécher le con. Ce faisant, elle présente son cul ouvert aux mains des deux autres qui ne se privent pas de lui caresser les fesses, de lui tripoter la chatte, de lui insérer des doigts dans l’anus. Le trio fonctionne en circuit fermé. Chacune donne du plaisir aux deux autres et en reçoit tout autant.
On entend distinctement des clapotis de succion, des soupirs. Yvonne a vraiment un beau cul bien rond et cambré. Sa fente nacrée scintille dans le sillon ombreux de son fessier couleur cannelle. Sofia n’oppose aucune résistance, bien au contraire, elle s’abandonne totalement aux douceurs de ses deux partenaires. Je ne saurais dire si elles jouissent vraiment, mais elles en donnent tous les signes extérieurs : mouillures abondantes, halètements, balancements des hanches et tremblements de fièvre lubrique. Dans la pénombre de la salle, on applaudit à la prestation des trois tribades. Il faut l’intervention de Gaétan en personne pour mettre fin à leurs ébats. Prenant dans la coupe une nouvelle feuille, il annonce :
- Soulagement. Qu’on apporte un saladier !
à suivre…
© Michel Koppera, juin 2010
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