Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Je vous livre dans son intégralité le contenu du mail que m'a récemment adressé une fidèle lectrice du blog :
"Voilà déjà bien longtemps que je voulais vous écrire, moi
aussi. Je prends donc aujourd’hui la plume pour vous conter une aventure que je vis tous les jours depuis quinze ans, date de mon mariage avec Gillou. Mon père étant éleveur de vaches laitières,
dès mon plus jeune âge, j’ai vécu au contact de la nature et des animaux. Tous les matins, lors des vacances scolaires, j’assistais à la traite des vaches. Pas en spectatrice mais bel et bien en
tant qu’actrice, et à l’ancienne s’il vous plaît, c’est-à-dire à la main… Devenue adolescente, la sensation de toucher les pis de nos vaches me faisait mouiller le fond de ma petite culotte.
évidemment, je me prenais à imaginer que le morceau de chair molle que je branlais était une bonne queue de mâle. à cette époque, ce n’était que cérébral.
Puis vinrent les années de mon émancipation et finalement, mon mariage. La présence quotidienne d’une bite bien raide dans mon lit me rappela ces souvenirs
d’enfance, tant et si bien que je décidai de traire mon homme tous les matins et d’en boire l’onctueuse substance lors de notre petit-déjeuner. C’est devenu un rite auquel Gillou s’est
parfaitement habitué, et je crois qu’il ne s’en plaint pas. Voilà comment nous procédons.
Dès notre réveil, nous venons l’un vers l’autre et nous nous embrassons. Je me dirige ensuite vers son entrecuisse pour mesurer la forme physique de son appendice. En général, il n’y a pas de problème. La dureté de sa superbe queue étant correcte, Gillou se positionne à quatre pattes à côté de moi. Pendant ce temps, je prends position, assise en tailleur à la hauteur de l’objet du désir. Je me mets alors à caresser sa bite de la main droite tandis que je titille ses couilles pendantes de la main gauche. Bien sûr, en comparaison, mamelles et pis de vaches et les attributs de mon homme ne sont pas similaires, mais je dois dire que chaque matin, à chaque traite de mon homme, mon trou mouille inexorablement, humidifiant mes lèvres et mon sexe glabre. Au bout de quelques minutes de caresses mutuelles, il faut bien commencer à passer aux choses sérieuses. C’est alors à ce moment-là que j’empoigne la bite et les couilles de Gillou. Je les branle énergiquement, alternativement de la main droite et gauche en faisant glisser cette peau le long de la bite durcie avec ma main droite et rouler les couilles entre mes doigts de la main gauche. Mon mari se laisse faire, telle une bonne vieille vache normande. Pas plus de cinq minutes suffisent à approcher de l’instant final, et c’est un mouvement de balancement des fesses de Gillou qui me signale la sortie imminente de son lait d’homme. Aussitôt, j’attrape la coupelle qui me sert à recueillir son précieux liquide. Encore quelques tractions et tirages de bite et de couilles, et voici ce jet si puissant qui expulse la semence dans ma coupelle argentée. L’éjaculation réalisée, je me fais plaisir en venant essuyer d’un coup de langue la toute dernière goutte de sperme chaud restée au bout de son gros gland. Une bonne petite tape sur les fesses de Gillou et j’en ai terminé.
Il est maintenant temps pour lui d’aller dans la cuisine afin de préparer notre petit-déjeuner. Une fois que je suis relevée à mon tour, je me dirige vers la
cuisine où je retrouve mon Gillou. C’est là que je déguste dans un yaourt ou encore parfois sur une tartine les deux cuillerées de ce liquide frais du matin qui me met en forme pour toute la
journée.
Femmes rebutées par le goût acide du sperme, essayez donc ma recette de dégustation de foutre, légèrement sucré, et vous changerez. Vous reviendrez certainement sur votre position, pour le plus grand plaisir de votre homme qui se laissera faire sans broncher. Lui aussi appréciera cette traite matinale, suivie de la dégustation de son produit dans la plus pure tradition française. Vous serez sûrement d’accord avec moi pour dire qu’il faut absolument conserver le goût du vrai et du naturel. Alors, qui a dit que les Français et les Françaises déjeunaient mal le matin ?"
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