Samedi 4 septembre 2010 6 04 /09 /Sep /2010 09:13

 

Chapitre 4

chantierc4

Juin : installations électriques.

Avec sa toiture entièrement remaniée, la maison commençait à avoir de l’allure. Il fallait aussi remettre toute l’installation électrique aux normes. Le chantier avait été confié à une entreprise locale appelée Westelec. Lorsque Sofia se rendit sur place en plein mois de juin, les travaux n’avaient guère avancé : les ouvriers en étaient encore à creuser des saignées dans les murs afin de passer les gaines. En inspectant la future cuisine, Sofia remarqua que les emplacements et le nombre des prises ne correspondaient pas exactement à ce qui avait été prévu. L’entretien avec le chef d’équipe tourna vite à l’aigre. D’emblée la rencontre s’annonça difficile. L’homme dont Sofia ne sut jamais le nom n’était ni causant, ni aimable. Des cheveux et le regard sombres, des lèvres fines et serrées, un profil taillé à la serpe, une barbe de quelques jours, des mains souples aux ongles impeccables, le chef d’équipe avait quelque chose d’inquiétant. Il écouta patiemment les doléances de Sofia, sans manifester la moindre émotion et, quand elle eut terminé, il laissa passer quelques instants de silence et dit :

chantier4-1- Si vous tenez vraiment aux modifications, on va vous préparer un devis.

Sofia en fut interloquée. Ils se trouvaient à l’étage, sous les combles où montait la chaleur de l’été naissant. Sofia était venue en robe de cotonnade vichy rose qui mettait en valeur ses bras et ses jambes déjà bien bronzés. Sûre de ses charmes, elle changea de méthode et s’approcha du carré de ciel bleu que découpait la fenêtre ouverte. En contrejour, la lumière transperçait ainsi le tissu léger de sa robe et ne cachait plus rien des formes lascives de sa silhouette. Elle posa les mains sur l’appui de la fenêtre comme pour contempler le paysage, écarta généreusement les jambes tout en creusant les reins.

- D’ici, on a une vue superbe, vous ne trouvez pas ?

- C’est possible.

Elle l’entendit s’approcher à pas lents mais déterminés. Il s’arrêta juste derrière Sofia : elle le sentit qui relevait sa robe et, brusquement, il tira sur le cordon de son string si bien que le tissu s’incrusta dans le sillon de sa vulve et lui comprima douloureusement le clitoris. Sans relâcher prise, il se pencha en avant et lui murmura à l’oreille :

- Les putains dans ton genre, il faut les mater. Si jamais je t’entends pleurnicher ou même gémir, tu le regretteras. Ecarte les cuisses et ouvre bien ton cul de salope !chantier4-2

Elle obéit. Devant elle, il y avait la campagne ensoleillée, le ciel bleu semé de petits nuages blancs, les toits du village avec, au centre, le fin clocher de l’église surmonté d’une croix. Par derrière, l’homme avait écarté le cordon du string pour s’ouvrir la voie royale de ses fesses. Elle entendit le zip bref d’une fermeture Eclair et, l’instant d’après, il l’enculait à sec. Sofia serra les dents pour ne pas crier. Le regard posé sur l’horizon, elle tenta désespérément d’oublier la douleur de la queue qui lui défonçait l’anus. Elle ne l’aurait jamais imaginée aussi grosse, aussi dure ! Pour apaiser sa souffrance, elle s’efforça de se détendre. L’homme était maintenant entré entièrement, ses couilles poilues battaient contre son vagin hermétiquement clos. Il se mit à aller et venir en elle, et plus il la pistonnait, plus les muscles de Sofia cédaient à l’intrus. Bientôt, elle eut de nouveau envie de crier, mais pas de douleur. Un grognement de plaisir lui échappa. Il n’en fallut pas plus pour attiser la colère du chef d’équipe. Glissant ses mains aux ongles manucurés sous les bras écartés de Sofia, il s’empara de ses mamelons et les tordit méchamment entre le pouce et l’index.

- T’as oublié ce que je t’ai dit, putain ? Je ne veux plus t’entendre, compris ?

Sofia secoua la tête en signe de soumission. Plus que jamais, elle regardait l’horizon comme si elle pouvait y trouver un quelconque réconfort.  Les mains de l’homme lâchèrent ses seins et presque aussitôt, le plaisir revint, plus fort, plus incontrôlable qu’avant. Maintenant, elle devinait son cul assoupli, bien lubrifié. Chaque coup de bite soulevait un petit clapotis huileux entre ses fesses. Elle soupira sans retenue. Alors, la main droite de l’homme rampa sur son ventre, chercha son clitoris dans les replis de sa vulve humide, l’extirpa de sa gangue de chairs et le pinça entre ses ongles acérés. Jamais encore on ne lui avait fait ça ! Comment fit-elle pour ne pas hurler ? Et plus il l’enculait, plus il lui serrait le clito dans la tenaille de ses doigts… Heureusement, dans un silence de mort, il lui lâcha ses bordées du foutre au fond du rectum et se retira sans tarder.

chantier4-3- Ne te retourne pas, traînée ! Va-t-en et que je ne te revoie plus jamais sur mon chantier ! Tu les auras tes prises de courant, si c’est ça qui t’inquiète. Je t’en poserai même une de plus dans l’arrière-cuisine, pour que tu puisses y brancher un radiateur qui réchauffera ton cul de salope bourgeoise.

à suivre…

© Michel Koppera, septembre 2010

 

 

 

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Par michel koppera - Publié dans : Le monde de Sofia - Communauté : Fantasmes et écriture
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