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Chapitre 5
Juillet : carrelage
Le patron carreleur était un petit homme maigrichon qui paraissait déjà vieux malgré ses 32 ans. Ses deux ouvriers étaient nettement plus âgés et sans doute plus expérimentés. Aussi, le patron les laissait maîtres du chantier se contentant de faire semblant d’être le chef, donnant les consignes à l’embauche et le signal de la pause déjeuner à midi. Lorsque Sofia vint sur le chantier à la mi-juillet, on lui apprit que le modèle de tomettes qu’ils avaient prévu pour la cuisine était en rupture de stock et qu’il lui fallait dans l’urgence effectuer un nouveau choix.
- Le plus simple, ce serait que vous voyiez ça avec ma femme, c’est elle qui s’occupe des commandes, déclara le patron. Je peux vous y accompagner, si vous voulez…
Située aux abords d’un village voisin, la propriété du carreleur était gardée par deux molosses dont les aboiements donnèrent la chair de poule à Sofia. L’intérieur de la vaste demeure ne manquait pas d’inquiéter : malgré le soleil, les pièces restaient sombres, presque froides. Le mobilier était spartiate, les murs quasiment nus. L’épouse du carreleur ne ressemblait pas à son mari : grande, musculeuse, énergique, elle dégageait une impression d’autorité naturelle. Elle avait l’air plus âgée que lui, d’une bonne dizaine d’années sans doute.
Pendant que Sofia feuilletait des catalogues aux photos plus séduisantes les unes que les autres, le couple s’entretint à voix basse près d’une fenêtre. Aux regards en coin qu’elle surprit, Sofia devina qu’ils parlaient d’elle. Elle frissonna autant de froid que d’appréhension.
Comme on était en fin d’après-midi, ils n’eurent aucun mal à la retenir à prendre d’abord l’apéritif, puis à dîner. D’ailleurs Sofia pressentit qu’elle n’avait pas le choix et rien que la présence des deux chiens dans le parc lui ôta toute volonté de prendre congé.
Le porto était si doux qu’elle en abusa et se laissa griser, de même qu’elle n’opposa aucune résistance lorsque, après dîner, ils l’entraînèrent dans leur chambre à coucher. À peine entrés, la patronne posa à la cheville droite de son mari une sorte de bracelet en métal et l’enchaîna au pied du lit comme un chien. Pendant ce temps, Sofia eut tout le temps de contempler le décor de la chambre : les murs de chaque côté du lit ainsi que le plafond étaient entièrement recouverts de grands miroirs ; sur le couvre-lit de velours noir elle aperçut des chaînes chromées, une cravache de cavalière et une sorte de muselière de cuir. Elle les regarda se déshabiller. La maîtresse de maison lui apparut dans toute sa splendeur : gros seins fermes à peine tombants, fessier tendu, tatouage macabre sur l’épaule, peau très blanche, pubis glabre, sillon vulvaire large d’où émergeait un surprenant clitoris aussi charnu qu’un pénis de petit garçon. Nu, son mari paraissait encore plus fragile et malingre qu’habillé. Ses cuisses et ses reins portaient les marques de récents coups de cravache. Son sexe rabougri s’effaçait presque dans ses poils pubiens mais deux claques bien senties sur les fesses suffirent à lui redonner volume et vigueur.
À ce spectacle, Sofia sentit un liquide chaud couler entre ses cuisses. Elle se souvint alors, dans les vapeurs de l’ivresse, que ses règles devaient arriver le lendemain et qu’elle avait laissé sa boîte de tampons périodiques à l’hôtel. Sans doute la peur panique des chiens et l’étrangeté de cette soirée avaient-elles précipité la fin du cycle. Lorsque la maîtresse des lieux découvrit sa petite culotte tachée de sang, elle eut un rire mauvais :
- Regardez-moi cette truie qui vient salir mon carrelage. Et toi qui n’es qu’un porc, tu vas la lécher !
Ce disant, elle cingla le postérieur de son mari. Complètement soûle, Sofia ôta sa culotte souillée et se mit volontiers à quatre pattes afin de présenter sa croupe au carreleur. À la manière d’un chien s’approchant d’une femelle en chaleur, il vint lui renifler longuement l’entrejambes, parut hésiter, donna un premier coup de langue timide puis, après un nouveau claquement de cravache sur l’arrière-train, se mit à lui laper le con ensanglanté à grandes lampées sonores. La langue souple et chaude du carreleur lui nettoyait le vagin, les lèvres, le périnée, rien ne pouvait plus échapper. Bientôt, devinant qu’au sang de ses règles se mêlait la mouillure du désir, Sofia se cambra pour s’offrir davantage à son lécheur et se dit que c’était mille fois plus agréable qu’un Tampax.
Assise au bord du lit, la patronne les regardait. La cravache dans une main, elle se branlait de l’autre. Elle se tenait le clitoris entre le pouce et l’index, se l’astiquait comme une petite bite. Quand il fut bien raide, elle attira le visage de Sofia entre ses cuisses ouvertes.
Elle sentait fort, mais loin de la rebuter, cette odeur puissante excita Sofia. Elle entreprit de lui tailler une pipe. La patronne bandait et Sofia n’aurait pas été plus étonnée que ça si elle lui avait éjaculé dans la bouche. La patronne beuglait son plaisir en se triturant les nichons et en fouettant de plus belle le cul de son mari.
- Monte-la, couvre ta grosse truie ! Tu ne vois pas qu’elle est en rut ?
Le carreleur prit Sofia en levrette et, malgré sa modeste queue parvint sans peine à la faire jouir. Quelques instants plus tard, pendant que le carreleur léchait le cocktail de sang, de mouillure et de sperme qui suintait du con de Sofia, la patronne eut un bruyant orgasme et en pissa de bonheur sur le visage de sa suceuse.
Lorsque tout fut nettoyé, chacun lavé et rhabillé, le couple raccompagna très civilement Sofia à son hôtel.
Une semaine plus tard, elle reçut par courrier le détail d’une facture de tomettes d’un très beau rouge sang séché à des tarifs défiant toute concurrence.
à suivre…
© Michel Koppera, septembre 2010
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