Mardi 29 novembre 2016 2 29 /11 /Nov /2016 08:00

"Les ardents de la Rue du Bois-Soleil" # 28

ardents30Malgré mon impatient désir de la voir intégralement nue, Geneviève m’initia à la délicieuse souffrance du montré-caché, du corps qui se donne puis se dérobe, des caresses retenues, du viens et du pas maintenant. Cependant, alors que Bahamontès basculait en tête au sommet du col du Télégraphe, elle se laissa enfin déshabiller et, allongée en croix sur le lit, m’abandonna la contemplation de son corps nu. Ses cheveux noirs éclaboussaient l’oreiller blanc, tout comme sa touffe qui foisonnait en haut de ses cuisses pâles. À peine eut-elle baissé mon short et saisi ma bite que mon sperme s’échappa en quelques jets rapides et légers qui empesèrent le drap.

- Ce n’est pas grave, me dit-elle sans amertume. On a tout notre temps, il y a encore le Galibier ! En attendant, mets-toi à genoux sur la descente de lit, je vais te montrer quelque chose.

La tête de course s’était regroupée dans la vallée. Tout était à refaire. Geneviève se tourna vers moi, les fesses nues au bord du matelas, les pieds posés sur le montant de bois, si bien que cela relevait ses genoux. Elle écarta largement les cuisses et, pour la première fois, je vis tout son sexe. Dieu, que c’était à la fois beau et inquiétant ! Cela m’apparut bien compliqué, avec ces lèvres qui semblaient inachevées, ce trou qui n’en était pas vraiment un, ces plis et replis humides, ce bouton pâle tout en haut de la fente, ces muqueuses d’un rose fragile, ce trou du cul si proche et cette masse épaisse de poils noirs tout autour. L’odeur puissante de son désir me satura les narines et je me remis à bander avec force.

- S’il te plaît, Tristan, lèche-moi !

Et pour m’encourager, elle passa les mains sous ses fesses et s’ouvrit davantage. Sa vulve était maintenant béante, laissant deviner la ténébreuse caverne de son vagin.

- Viens, n’aie pas peur !

Au fur et à mesure que mon visage s’approchait de son ventre, l’odeur devenait plus intense, presque enivrante. Ma bouche se posa comme une ventouse sur sa vulve. C’était doux. De sa voix chaude, Geneviève guida ma langue et mes lèvres de bas en haut. En élève docile et studieux, je suivis ses instructions, glissant ici, m’attardant là. Ses poils soyeux me caressaient les joues… Le groupe de tête venait de passer le village de la Charmette et allait s’attaquer aux premières pentes du Galibier.

- Oh, mon Dieu, Tristan, continue ! Ne t’arrête surtout pas !ardents30-1

Son sexe maintenant noyé de salive et de mouillure se fit plus accueillant, plus tendre. Ma langue alternait les profondes pénétrations de son large vagin et les titillements de son clitoris dur et congestionné. Geneviève posa ses mains sur ma nuque pour ne pas me perdre et, le sexe plaqué sur ma bouche, elle jouit en serrant les dents et en grimaçant.

à suivre...

 

 

Par michel koppera - Publié dans : Les ardents de la Rue du Bois-Soleil - Communauté : Fantasmes et écriture
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