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"Les ardents de la Rue du Bois-Soleil" # 42
Vaguement inquiet, je la suivis dans le couloir. Dans la petite salle de bains, elle me baissa bermuda et slip, m’installa sur le bidet et, à genoux à mes côtés, elle me savonna longuement le ventre, le sexe et l’entrefesses – exactement les mêmes gestes que ceux de maman me lavant quand j’étais petit et cela m’empêcha de bander plus fermement – me rinça à l’eau chaude, m’essuya avec douceur et, attention délicate, me vaporisa une brume d’eau de toilette dans les poils du pubis.
- Te voilà propre comme un sou neuf ! dit-elle en me déposant un baiser furtif sur le gland. À toi, maintenant !
Elle ôta sa culotte blanche et enfourcha le bidet. Cette position la contraignit à écarter les cuisses comme si elle s’était accroupie au-dessus de toilettes à la turque. Ce faisant, cela lui ouvrit la vulve qui béait et lui dilata l’anus.
- Dépêche-toi, souffla-t-elle, je suis toute baveuse !
En effet, une mouillure épaisse poissait les muqueuses et imprégnait les poils alentour. Le savon à la main, je lui shampouinai la touffe et lui lavai méticuleusement l’entrecuisses. Ses doigts posés sur ma nuque jouaient dans mes cheveux. Je bandais à tout rompre. Lorsque je l’eus rincée et séchée, elle se glissa deux doigts dans la fente ouverte.
- C’est encore plus mouillé qu’avant, dit-elle en retirant ses doigts luisants. S’il te plaît, mon petit Tristan, donne-moi le tube vert qui est posé sur le lavabo.
Elle ouvrit le tube, déposa une généreuse noix de pommade sur ses doigts et s’en beurra l’entrefesses, surtout le trou du cul où elle s’enfonça profondément l’index pour mieux l’enduire de pommade. La queue en arrêt, je la regardais faire.
- C’est de la vaseline, pour que ça glisse mieux. Je veux que tu m’encules…
Ce dernier mot prononcé avec calme me fit l’effet d’un électrochoc. Dans la bouche de Geneviève, le verbe devenait plus qu’obscène ; à lui seul, il représentait tout ce que l’amour peut engendrer d’interdit, de secret, de vicieux et d’ordurier… Et c’était justement ça qui en faisait le charme.
- Si ça ne te dérange pas, on va faire ça ici, proposa-t-elle en s’agenouillant devant le bidet. Pas besoin de capote, tu vas pouvoir me jouir dans le cul.
Encore des mots à me rendre fou de désir !
à suivre...
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