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"Les ardents de la Rue du Bois-Soleil" # 43
Maintenant, j’avais sous les yeux sa croupe offerte avec une vue imprenable sur le trou de son cul lubrifié. Pour m’être à de nombreuses reprises regardé la raie des fesses dans un miroir, je peux affirmer qu’à cette époque j’avais l’anus discret, à peine marqué par quelques plis sombres. À l’inverse, le trou du cul de Geneviève était entièrement tourné vers l’extérieur, épanoui, bordé de chaque côté d’épaisses mèches de poils noirs. Cela ressemblait à une figue sèche qu’on aurait badigeonnée d’huile. Le cœur en était brun avec quelques marbrures d’un violet profond, les bords plus indécis viraient à la périphérie au marron tendre. Le trou fripé et humide semblait prêt à fleurir comme une anémone de mer.
- Qu’est-ce que tu regardes, petit salaud ? demanda-t-elle gaiement en tournant la tête pour voir ce qui se passait derrière.
Je posai la tête de ma bite au centre de la fleur de son cul.
- Ça ne rentrera jamais ! pensai-je devant la disproportion évidente entre ma queue raide et l’exiguïté de son anus.
Mais lorsque j’avançai doucement le bassin, je vis s’ouvrir la corolle de chairs. Au lieu de résister, le cul céda de bonne grâce à la tête du gland qui disparut d’un seul coup, comme avalée par cette petite bouche presque enfantine qui referma la bague de ses lèvres sur sa proie. Après, il n’y eut plus qu’à pousser et, centimètre après centimètre, je me vis disparaître entre les fesses blanches de Geneviève.
Elle ne disait mot. À l’intérieur, les sensations étaient nouvelles, la mouillure plus acide et le passage beaucoup plus étroit que dans son vagin. Mais le plus étrange c’était la pression continue des muscles du sphincter qui me baguaient hermétiquement la bite… Rien n’était plus excitant.
Enfin Geneviève soupira, pas un soupir de lassitude ou de déception, non, un soupir de soulagement, presque de contentement.
- Tu peux bouger, souffla-t-elle, comme si tu me baisais.
Alors, je la saisis par les hanches, imprimant profondément mes pouces dans la chair livide de ses fesses et commençai à lui aller et venir dans le rectum. Je n’avais jamais encore connu une excitation pareille. La vaseline faisait son œuvre et je pistonnais sans aucune gêne. Bien au contraire, sans pour autant desserrer son étreinte, il me sembla que la bague de son anus se fit plus souple, à tel point que je me permis même de me retirer entièrement, d’observer quelques instants son cul béant, cercle parfait ouvert sur ses entrailles cramoisies avant de m’y remettre jusqu’aux couilles.
Pour s’exciter Geneviève se branlait le clitoris et la vulve par en dessous, si bien que lorsque j’étais au fond, je devinais l’agitation de ses doigts en action. Cependant, malgré ses efforts, elle ne parvint pas à jouir.
- Vas-y, ne t’occupe pas de moi, gicle-moi dans le cul !
Ces mots achevèrent de me faire perdre la tête. Je sentis fléchir mes genoux, une sorte de vertige s’empara de moi lorsque mon sperme s’élança dans son rectum ténébreux. Ma jouissance fut d’une puissance sans égale et se prolongea bien au-delà des habituels soubresauts du désir. L’orgasme se répandit dans tout mon corps, littéralement de la tête aux pieds : pas un muscle, pas un viscère, pas un poil qui ne reçut sa ration de plaisir. J’en restai comme hébété, la queue stupidement plantée dans le cul de Geneviève qui, affalée sur le bidet, attendit patiemment que je reprenne mes esprits.
- C’est fini, dit-elle en m’expulsant d’une simple contraction des sphincters.
De nouveau, elle me fit la toilette puis me talqua la queue pas encore tout à fait ramollie.
- Tu n’es pas pressé au moins, tu as bien encore quelques moments à me consacrer ? Alors, va m’attendre dans le salon, le temps que je me prépare, je n’en aurai pas pour longtemps. Tu peux changer de disque ou mettre la radio, comme tu veux…
à suivre...
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