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Les quatre Sirènes, # 2
Elle m'a regardé très sérieusement.
- Non... Je ne vais quasiment plus à la plage et plus jamais en maillot de bain. Juste les jambes et les épaules... Tu veux voir ?
Sans attendre ma réponse, elle s'est levée et, debout devant moi, son bassin à hauteur de mon visage, elle a retroussé sa jupe sur ses hanches et m'a montré son ventre vêtu d'une petite culotte en dentelle blanche d'où débordait sa touffe anthracite rendue à sa beauté primaire. J'ai instantanément bandé.
- Tu es merveilleuse.
J'y ai posé une main encore timide.
- Va vérifier s'il dort et referme bien les portes derrière toi...
Il dormait du profond sommeil des innocents. J'ai fermé tout doucement les portes. Pendant ma courte absence, Valérie avait éteint le plafonnier du salon, allumé un abat-jour à la lumière tamisée. Renversée sur le canapé, sans jupe ni culotte, les cuisses écartées, elle s'astiquait le clito. C'est ainsi que nous avons repris notre relation interrompue pendant de longues années, et on s'y est remis comme si on s'était quittés la veille. On n'avait rien oublié, ni l'un ni l'autre, ni les mots qu'il fallait se chuchoter, ni les caresses qu'il fallait se prodiguer, ni les positions qu'il fallait adopter... J'aimais toujours autant la saveur de sa bouche, de sa vulve et de son cul, elle aimait toujours autant me sucer la bite ; j'aimais toujours autant caresser sa raie culière très poilue et respirer son odeur au creux de son cou, sous son abondante chevelure, elle aimait toujours autant se branler pendant que la bite fouillait son con, enchaîner les orgasmes et avaler mon foutre quand j'éjaculais dans la bouche...
Très tard dans la nuit, alors que j'allais partir, elle m'a dit qu'elle aurait encore une réunion la semaine suivante.
Ainsi, pendant presque quatre années, de novembre 1988 à mars 1992, nous nous sommes retrouvés 3 à 4 fois par mois en semaine pour baiser. La semaine de ses règles était de ce fait exclue. Je venais chez elle parfois le soir, mais le plus souvent en journée, quand notre fils était à l'école et qu'elle avait congé. On déjeunait ensemble et on baisait. On faisait aussi des photos : on se photographiait mutuellement le sexe, on se photographiait en train de baiser, je la photographiais en train de me sucer, elle me photographiait en train de lui lécher le con, je la photographiais en train de se branler avec les doigts, des godes, de gros légumes (courgettes, concombres, aubergines, carottes et même poireaux), elle me photographiait à quatre pattes sur la table du salon, les fesses ouvertes, un gode dans le cul... On regardait et on commentait ensemble les tirages, ça nous excitait et nous donnait envie d'en faire encore plus.
Parfois, quand j'arrivais, elle me disait d'un air faussement innocent :
- Hier, au marché, il y avait de belles courgettes...
- T'en as acheté ?
- Oui, deux grosses... J'en ai déjà mis une dans l'eau chaude pour qu'elle soit à bonne température...
On baisait, on buvait du Chablis ou du Sancerre, et aussi de grands crus du Haut Médoc. On partageait le même amour du bon vin.
Pendant ces quatre années, Valérie ne vint qu'à deux occasions chez moi. La première fois, c'était un après-midi d'été. Il faisait très chaud. Elle était venue récupérer notre fils qui venait de passer une semaine à la campagne où, en bon gars de la ville, il s'ennuyait ferme. Ce jour-là, il était parti jouer avec l'enfant d'une maison voisine, un petit Parisien en vacances chez ses grands-parents. En attendant son retour, Valérie a fait le tour du propriétaire et s'est attardée devant les framboisiers qu'elle pilla consciencieusement. Assis dans un transat sous un grand parasol multicolore, je la regardais de loin. Quand elle est revenue vers moi, elle s'est plainte de la chaleur orageuse, oppressante et humide, et a soulevé sa jupe pour se ventiler les cuisses. Ce faisant, elle m'a révélé qu'elle ne portait pas de culotte. Nous avons vite trouvé refuge dans l'ombre fraîche de la maison où elle s'est laissé prendre en levrette, à quatre pattes sur le carrelage, m'offrant une vue imprenable sur ma bite allant et venant dans sa moule huileuse, juste sous le sillon poilu de son anus.
à suivre...
Merci
Jim (mari de MaryVonne de In vino veritas)
Merci. Bonne et heureuse année à vous deux