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Les quatre Sirènes, # 6
C'est ainsi que je suis devenu le servant de Michèle, et le rôle n'était pas pour me déplaire. Au boulot, on ne laissait rien paraître de notre "amitié particulière". Aucun geste déplacé, aucun regard ambigu, aucun mot de trop... Simplement, de retour chez moi, je trouvais parfois un message sur mon répondeur :" Ce soir, si tu es libre, 22 heures." J'étais ponctuel. Elle n'avait pas fermé la porte à clef pour m'éviter de sonner. Elle m'attendait sur le canapé, les cheveux défaits, en nuisette de satin noir, noir comme sa petite culotte et son soutien-gorge... Toujours en noir. Je me débarrassais de mes vêtements et ne gardais qu'un string trop étroit pour contenir mon érection. Le rituel était bien huilé : d'abord boire - du rouge, avec une préférence pour le Pomerol et les Bourgognes capiteux, puis se toucher, s'embrasser, se lécher, se sucer...
Dans la chambre, sur le vaste lit à barreaux, elle avait déjà disposé le "matériel" pour la nuit. Il y avait toujours un jeu de cordelettes noires qui allaient me servir à la ligoter façon "kinbaku" ou à l'attacher aux barreaux dans une posture obscène, écartelée, accessible à toutes mes fantaisies. Michèle avait été ravie d'apprendre que je pratiquais la navigation depuis mon enfance et que par conséquent je m'y connaissais dans l'art des nœuds. Je savais m'y prendre pour la ficeler sans la faire souffrir et surtout, faire que ses liens se resserreraient d'eux-mêmes si elle tentait de s'en libérer.
Le nécessaire de la soirée était aussi souvent composé d'un foulard de tissu noir avec lequel je lui banderais les yeux, parfois d'un gode dont elle possédait quelques modèles de belle taille, à la texture vibrante, plus vraie que nature. Mais le plus étonnant, était une petite pompe à vide manuelle dont je ventousais l'embout de plastique semblable à un petit masque d'anesthésie sur sa vulve glabre... À chaque pression sur la poire en caoutchouc de la pompe, je voyais les muqueuses de sa chatte s'empourprer, se dilater, pousser comme un nouvel organe. Lorsque je retirais la ventouse, alors sa vulve hypertrophiée s'épanouissait comme une fleur monstrueuse au bas de son ventre. Elle aimait que j'en triture les chairs épaisses, que je frotte mon gland prêt à exploser sur son clitoris en folie, que je glisse ma bite entre les deux escalopes de viande vivante qui pendouillaient entre ses cuisses.
Ce qu'elle appréciait particulièrement, c'était que je la ligote couchée sur le dos, les cuisses relevées et très écartées, de sorte qu'elle ne pouvait rien cacher de sa raie culière et de son anus. C'est que Michèle avait des envies folles de sodomie mais que, de crainte d'être déchirée, elle ne pouvait se résoudre à y céder. Alors, elle devait se satisfaire de feuilles de rose profondes jusqu'à l'orgasme. Cependant, le plus souvent, quand elle était entravée, elle me demandait de lui mettre un gros gode dans la chatte et ma bite dans la bouche. Les yeux bandés, le ventre comblé, elle me suçait goulûment. J'éjaculais, elle avalait mon foutre.
à suivre...
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