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Pages 170-171 de la version numérique en PDF (texte intégral non censuré)
Ferdinand, maintenant âgé de 14-15 ans, enchaîne les apprentissages chez des artisans. Le voilà rue Elzévir chez Gorloge, un bijoutier qui emploie un autre jeune apprenti nommé Robert et un ouvrier bijoutier nommé Antoine. Les trois "hommes" se retrouvent en compagnie de la maîtresse de maison alors que le patron est absent.
" La patronne est venue avec nous. Antoine s'est assis contre elle. On rigolait de les voir peloter. Il lui cherchait ses jarretelles. Il lui retroussait ses jupons. Elle ricanait comme une bique. Y avait de quoi lui foutre une pâtée tellement qu'elle était crispante... Il lui a sorti un nichon. Elle restait comme ça devant, ravie. Il nous a versé tout le fond de sa bouteille. On l'a finie avec Robert. On a liché le verre. C'était meilleur que du banyuls... Finalement tout le monde était saoul. C'était la folie des sens... Alors Antoine, il lui a retroussé toutes ses cottes, à la patronne, comme ça d'un seul coup ! Haut par-dessus tête ! ... Il s'est redressé debout aussi, et puis telle quelle, emmitouflée, il l'a repoussée dans sa chambre. Elle se marrait toujours... Elle tenait le fou rire... Ils ont refermé la lourde sur eux... Elle arrêtait pas de glousser...
Nous deux, Robert et moi, c'était le moment qu'on grimpe sur le fourneau de la cuistance pour assister au spectacle... C'était bien choisi comme perchoir... On plongeait en plein sur le page... Y avait pas d'erreur. Antoine, tout de suite, il l'a basculée à genoux, la grosse môme... Il était extrêmement brutal... Elle avait comme ça le cul en l'air... Il lui farfouillait la fente... Il trouvait pas la craquouse... Il déchirait les volants... Il déchirait tout... Et puis il s'est raccroché. Il a sorti son polard... Il s'est mis à la bourrer... Et c'était pas du simili... Jamais je l'aurais cru si sauvage. J'en revenais pas... Il grognait comme un cochon. Elle poussait des râles aussi... Et des beaucoup plus aigus à chaque fois qu'il fonçait... C'est vrai ce que Robert m'avait dit à propos de ses fesses, à elle... Maintenant on les voyait bien... Toutes rouges... énormes, écarlates !
Le pantalon en fin volant, il était plus que des loques... C'était tout mouillé autour... Antoine il voulait buter dur en plein dans les miches... chaque fois que ça claquait... Ils s'agitaient comme des sauvages... Il pouvait sûrement la crever de la manière qu'il s'élançait... Son falzar, il lui traînait le long des mollets jusque par terre... Sa blouse le gênait encore, il s'est dépiauté d'un seul coup... Elle est tombée à côté de nous... Il était à poil à présent... Seulement qu'il gardait ses chaussons... ceux du patron... les minets brodés...
Dans sa fougue pour l'emmancher, il a dérapé du tapis, il est allé se cogner la tronche de travers dans le barreau du lit... Il fumait comme un voleur... Il se tâtait le cassis... Il avait des bosses, il décolle... Il s'y remet, furieux. "Ah ! la salope ! alors qu'il ressaute ! Ah ! la garce ! " Il lui fout un coup de genou en plein dans les côtes ! Elle voulait se barrer, elle faisait des façons...
"Antoine ! Antoine ! jen peux plus !... Je t'en supplie, laisse-moi, mon amour ! ... Fais attention ! .... Me fais pas un môme ! ... Je suis toute trempée !..." Elle réclamait, c'était du mou ! ...
"Ça va ! Ça va ! ma charogne ! boucle ta gueule ! Ouvre ton panier !..." Il l'écoutait pas, il la requinquait à bout de bite avec trois grandes baffes dans le buffet... Ça résonnait dur... Elle en suffoquait la garce... Elle faisait un bruit comme une forge... Je me demandais s'il allait pas la tuer ?... La finir sur place ?... Il lui filait une vache trempe en même temps qu'il la carrait. Ils en rugissaient en fauves... Elle prenait son pied... Robert il en menait pas large. On est descendus de notre tremplin. On est retrounés à l'établi. On s'est tenus peinards... On avait voulu du spectacle... On était servis !... Seulement c'était périlleux... Ils continuaient la corrida."
Photos trés suggestives