Vendredi 5 août 2011
5
05
/08
/Août
/2011 09:08
À la plage…
Pour illustrer cette série quoi de plus approprié que les paroles de la chanson de Niagara ( 1986).
Souvenez-vous :
« C’est l’amour à la plage
Et mes yeux dans tes yeux
Baisers et coquillages
Entre toi et l’eau bleue
La mer, quand vient le temps des vacances
C’est le temps de la danse entre tes bras toutes les nuits
Et si j’ai me cœur tout retourné
Là je t’embrasserai jusqu’à la fin de l’été. »
Par michel koppera
-
Publié dans : storynet
2
Mardi 2 août 2011
2
02
/08
/Août
/2011 10:32
Au restaurant…
La photo nous dit que nous sommes à la terrasse d’un restaurant. Sans doute un
dimanche d’été. C’est un restaurant gastronomique, plutôt haut de gamme, avec nappes en coton blanc, assiettes de porcelaine, serveuses diplômées et cuisine traditionnelle. Etablissement pour
couples bourgeois et familles aisées. Ils sont venus déjeuner en tête à tête, comme ils le font régulièrement depuis que les enfants ont quitté la maison. Le repas a été copieux, avec des vins
assez capiteux. Ils se sentent bien. Après le café, il a demandé l’addition. Il est allé régler la note directement à la réception. En attendant son retour, elle a récupéré son sac à main,
chaussé ses lunettes de soleil et reculé sa chaise pour se préparer à partir. Mais avant de quitter le restaurant, elle souhaite laisser un souvenir à l’un des convives de la table voisine.
Pendant tout le repas, ce jeune homme très bon chic bon genre n’a cessé de lui jeter des regards curieux, parfois complices. Alors, juste avant de s’en aller, elle a un peu retroussé sa robe
noire et écarté très légèrement les cuisses afin qu’il entrevoie, tout au fond, dans la pénombre du tissu, sa touffe de femme mûre. Ainsi, il saura qu’elle ne porte pas de culotte !
L’autre, le portable à la main, n’a que le temps de prendre une photo à la sauvette, juste avant le retour du mari. Puis,
ils s’en sont allés en laissant un gros pourboire à la serveuse…
Par michel koppera
-
Publié dans : storynet
-
2
Vendredi 22 juillet 2011
5
22
/07
/Juil
/2011 08:40
Sur la terrasse…
La photo nous dit que ce jour-là il faisait beau, sans
doute un peu chaud. On peut imaginer un après-midi de printemps. Le jardin est généreusement fleuri, avec même un palmier qui nous emmène sur les bords de la Méditerranée. Elle s’est mise en
tenue d’amour : des bas noirs avec porte-jarretelles, des escarpins blancs à talons hauts, une culotte en dentelle blanche, une sorte de nuisette très courte en soie blanche… Elle n’a pas
oublié de se maquiller et de soigner sa coiffure… Elle a bien fait attention à passer les jarretelles sous la culotte de façon à l’ôter plus aisément quand viendra le moment tant attendu… Il lui
a demandé de s’asseoir sur une chaise de jardin et, d’elle-même, elle a posé sa jambe gauche sur l’accoudoir, de telle sorte que son entrejambe s’ouvre en grand… Dans cette posture, elle s’offre
déjà : d’abord aux regards, puis bientôt à la queue raide de son homme qui la photographie. Elle est légèrement à contre-jour, dans la pénombre tiède de la terrasse. Elle doit avoir une
cinquantaine d’années… Ses seins libres sous la soie sont gonflés et douloureux de désir… Ses yeux sont posés au bas de son ventre, sur le renflement de son large pubis. Elle a envie de baiser.
Elle en a besoin. C’est vital !
Par michel koppera
-
Publié dans : storynet
-
2
Mardi 12 juillet 2011
2
12
/07
/Juil
/2011 14:01
Le pipi de madame
Dans son livre, « La ligne verte » ( 1996) Stephen King écrivait « Faire pipi
dehors est une des joies de la vie à la campagne, un vrai moment de poésie ».
Il semble que ce point de vue soit partagé par de nombreux photographes amateurs qui ne ratent pas une occasion de saisir et de
nous faire partager l’instant magique de la miction de leur épouse, compagne ou amante… Et pas simplement à la campagne : la ville a aussi ses charmes. Regarder l’être aimé pisser a de tous
temps constitué un spectacle des plus excitants et des plus revigorants. Il s’instaure en effet une sorte de communion entre la pisseuse et son observateur. Ce sont ces instants d’amour que nous
retracent ces photographies…
Par michel koppera
-
Publié dans : storynet
-
2
Jeudi 30 juin 2011
4
30
/06
/Juin
/2011 13:39
Changement d'époque, énorme ellipse narrative ! Nous voici plongés dans le XXIème siècle. Adam et Eve ne sont plus au jardin
d'Eden mais dans les mailles virtuelles d'Internet. On n'y parle plus ni de fruit défendu, ni d'arbre de la Connaissance... C'est le monde du sexe sans tabou.
Alors les voilà, nos Adam et Eve d'aujourd'hui. Ils sont comme le reflet de notre époque : mélange d'exhibitionnisme et de
tendresse... Il suffit de regarder les gestes, de suivre les regards pour y découvrir au-delà de l'impudeur beaucoup d'humanité et d'amour... Je vous laisse juges...
Par michel koppera
-
Publié dans : storynet
-
1
Vendredi 17 juin 2011
5
17
/06
/Juin
/2011 18:04
Devant l’ordi…
Avant de regarder les photos qui accompagnent cet article, prenez le temps s’il vous plaît de lire le texte qui suit :
il est extrait de l’ouvrage « Le secret des femmes », paru aux édtions Odile Jacob en 2010 et écrit par Elisa Brune et Yves Ferroul
Les paradoxes de l’excitation, pages 83-84
« Lorsqu’on soumet des hommes et des femmes à des stimuli pornographiques, les réponses physiologiques sont équivalentes
en rapidité et en intensité (mesurée par l’augmentation du débit sanguin dans les organes génitaux qui lui-même induit la lubrification chez la femme). À cette différence près que les femmes
déclarent souvent ne ressentir aucune excitation (là où les hommes sont parfaitement conscients de ce qui se passe).
Plus fort, lorsqu’on teste les stimuli en différentes catégories (hétéro, homo, multiple, hard, soft), on constate que les
hommes présentent une réponse sélective ( ils bandent à la vision de leur activité de prédilection et pas pour le reste), alors que les femmes sont excitées de façon égale pour tous les stimuli
(toujours en ne disant ne rien ressentir). Elles déclarent être davantage excitées par des images de porno soft, centrées sur la femme, mais au niveau du vagin, les mesures sont identiques dans
tous les cas, comme le montrent les études menées par Meredith Chivers en 2004 à Toronto. Les femmes répondent même aux images de sexualité animale, alors que les hommes restent de marbre.
Pourquoi les femmes mouillent-elles devant des bonobos qui forniquent ? Cette vasocongestion réflexe pourrait être le résultat d’une adaptation évolutive qui rend la femelle apte au coït
plus rapidement, c’est-à-dire instinctivement à la moindre alerte, et la protège des blessures en cas de sollicitation brutale. On a déjà constaté des vagins lubrifiés lors de viols, ce qui ne
veut pas dire pour autant qu’il y avait consentement ou plaisir. La paroi vaginale répond du tac au tac lorsqu’on a besoin d’elle, quel que soit le scénario. »
Et maintenant, place aux images !
Par michel koppera
-
Publié dans : storynet
-
1
Samedi 11 juin 2011
6
11
/06
/Juin
/2011 10:34
Vu sur le net
En voiture Simone !
Alors que sans doute beaucoup d’entre vous sont - ou vont se lancer- sur les routes pour ce week-end de
Pentecôte, il paraît opportun de consacrer un article et quelques photos à l’érotisme automobile
La bagnole, c’est avant tout un fantasme de mec. Il y a d’abord la marque, allemande de préférence ( Mercedes, BMW ou Audi…)
Mais ce n’est pas suffisant, il faut aussi les jantes alu, le double pot d’échappement chromé, la sellerie en cuir, le GPS intégré, l’ordinateur de bord… De quoi en mettre plein la vue. La
passagère à poil à l’intérieur fait partie des accessoires. Car n’oublions jamais que la conduite est une affaire d’hommes. La femme n’est que passagère et, s’il lui arrive de se mettre au
volant, alors le levier de vitesse devient phallus, le bruit du moteur un feulement de désir…
Il est remarquable de noter que sur les photos amateur de femme en voiture, cette dernière a souvent le sexe épilé ( ou alors
coiffé très court) afin d’être en harmonie avec la carrosserie du véhicule : nickel, sans une éraflure, reluisante.
En voiture, pendant que son homme conduit, la femme s’exhibe pour ameuter les routiers, se branle (sans doute que les vibrations
du moteur ont un effet érogène sur son ventre)… Les photos les plus réussies sont prises en plein jour, dans le flot de la circulation… Alors, en voiture et bonne route !
Par michel koppera
-
Publié dans : storynet
-
1
Mercredi 1 juin 2011
3
01
/06
/Juin
/2011 18:27
Habillée-déshabillée (dressed/undressed)
Encore un des grands classiques de l'érotisme amateur. Mais pour que le diptyque soit une réussite, il est nécessaire de remplir
certaines conditions :
1° Pour commencer, il est impératif que le contraste entre les deux photographies soit le plus fort possible.
Alors que la tenue vestimentaire de la version habillée est ordinairement sobre, voire austère ( donnant une image très « sérieuse » ou BCBG de la femme), la version dénudée se doit
d'être d'une grande indécence... Le spectateur-voyeur doit être amené à se dire : « En voilà une qui cache bien son jeu ! »
2° Il est préférable que les deux photos aient été prises le même jour, ou tout au moins dans les mêmes
lieux ( si possible autre que l'intimité d'une chambre : un lieu de vie tel que salon, cuisine, jardin...) Cette juxtaposition laisse entendre que la version habillée n'est qu'une façade
qui masque en réalité une tout autre personnalité, plus complexe et surtout plus sensuelle.
3° Dans le même ordre d'idées, l'expression du visage et du corps doivent également contribuer à renforcer cette
dualité. Dans la version habillée, la femme garde un visage fermé, neutre, sans expression, presque sévère. De son corps, elle ne dévoile rien d'exclusivement sexuel. Par contre,
une fois dévêtue, son visage rayonne du bonheur, de l'excitation d'être regardée et d'exhiber son corps dans les poses les plus suggestives, délivrant ainsi le message sans équivoque de sa
disponibilité et de son consentement.
Maintenant, je vous laisse contempler la mise en pratique plus ou moins réussie de ces grands principes :
Par michel koppera
-
Publié dans : storynet
-
4
Lundi 30 mai 2011
1
30
/05
/Mai
/2011 17:11
Point de vue
La recherche de saisir l’instant T (ou plutôt l'instant Q) de la pénétration est un des standards de la photo amateur X.
Que ce soit en levrette ou dans la position plus convenue du missionnaire, pénétration vaginale ou sodomie, le mâle n’a d’yeux que pour le spectacle de son sexe absorbé, comme dévoré, par les
chairs de sa compagne. Certains parviennent à prolonger l’intensité du moment, quand le gland s’enfonce lentement, juste avant qu’il ne disparaisse. Chaque détail compte : la viscosité des
muqueuses, les lèvres ouvertes et gonflées de désir, les fesses écartées… Il ne manque que le doux chuintement du piston amoureux, l’odeur prégnante du désir… Alors, il prend l’appareil photo,
cadre avec plus ou moins de bonheur la mortaise des deux corps en train de s'emboiter, et fige pour l’éternité la magie de l’éphémère…
Par michel koppera
-
Publié dans : storynet
1
Mercredi 18 mai 2011
3
18
/05
/Mai
/2011 12:18
Enigmes
Au fil des pages du net amateur, on tombe parfois sur des séries d’images énigmatiques comme celle-ci. On regarde et on cherche
à comprendre
- Pourquoi la femme qui montre aussi ostensiblement son sexe, cache-t-elle ses seins ? Est-ce un reste de pudeur ou une
façon d’obliger le "visiteur-voyeur" à concentrer son regard sur son ventre et rien d’autre ?
- Que rôle joue son compagnon à ses côtés ? Est-il là pour l’encourager à s’exhiber, ou n’est-il qu’un assistant, celui qui prépare le gode, qui règle les
poses ?
- Que regarde-t-elle sur le côté ? On suppose qu’il s’agit d’un écran d’ordinateur. Elle semble très absorbée par ces images et son regard exprime une sorte
d’hébétude. S’agit-il d’images pornographiques – et pourquoi pas d’elle-même ? Mais peut-être ces images n’ont-elles aucun caractère sexuel… Et si elle suivait les news sur une chaîne d’info
en continu !
On peut rester de longs moments à contempler ces
photos, à se construire des scénarios et c’est exactement ce mystère non dévoilé qui en fait tout l’attrait
Par michel koppera
-
Publié dans : storynet
-
1
Derniers Commentaires