Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Dans cette nouvelle, le narrateur est un salarié d'une multinationale du BTP envoyé en mission dans l'archipel des Comores, sur l'île d'Anjouan. Arrivé seul,
sa femme devant le rejoindre plus tard, il ne tarde pas à succomber à la tentation et prend pour maîtresse, une jeune femme noire nommée Inchati. Avec elle, il découvre tout un univers de
sensualité inconnue, mais pas sans danger comme il le découvrira à ses dépends mais trop tard.
" Nue, Inchati avait la
beauté d'une statue : des épaules frêles et délicates, des seins en poire aux larges aréoles avec des tétons grenus, un ventre plat, une chute de reins très cambrée, un fessier haut perché
et arrogant, des jambes fines et musculeuses, un bas-ventre intégralement épilé, une peau douce et chaude comme du velours... [...]
Je la baisais dans toutes les positions, sans jamais me lasser du spectacle de ma queue blanche plantée au coeur de son sexe de femme noire. Mais mon
plaisir favori, c'était de l'enculer. Et tout en regardant ma bite plantée entre ses fesses ouvertes, je lui parlais à voix basse
:
- Tu la sens bien, ma grosse queue dans ton cul ? Remue tes fesses, Inchati, n'arrête pas de remuer tes fesses !"
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