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Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Jane est une jeune femme étrange, mariée trop jeune et sans amour véritable, qui cherche sa voie. Elle croit pouvoir se réaliser par le
travail et l'ascension sociale. Dans ce but, elle entreprend des études de philosophie qui l'amènent à faire la rencontre avec son "maître à penser", un certain Auguste qui l'initie certes à la
philosophie, mais aussi à la "philosophie dans le boudoir" du divin marquis de Sade. Ils passent aux travaux pratiques :
" Qu'elle était grosse la bite d'Auguste ! Si grosse qu'elle lui emplissait la bouche. mais rien n'était plus délicieux
que de masser ses couilles poilues, de fourrager dans le buisson de son entrefesse. Pendant ce temps, il lui lapait la fente, lui fouillait la chatte de sa langue experte, lui caressait
l'intérieur de ses cuisses avec sa barbe épaisse. Plus tard, il la faisait s'agenouiller au bord du lit :
" Ecartez le derrière, un peu plus, afin que chaque secousse de la tête de mon vit touche au trou de votre cul...Oui, c'est cela ! Allons, préparez-vous madame : ouvrez ce cul sublime à mon
ardeur impure..." Car, c'était à cela qu'elle s'initiait, à la jouissance par le cul. Les premières fois, Auguste usa de beaucoup de pommade et de diplomatie. Jane en grimaçait de douleur,
mais jamais elle ne renonça. Il la tenait fermement par les hanches, labourant la béance obscure de ses muqueuses huilées, grognant, ahanant et soufflant fort, comme un bûcheron au
labeur."
encore un superbe dessin de Hugdebert, décidément le meilleur du genre
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