Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Je poursuis la visite de ma bibliothèque personnelle, de mon petit enfer domestique où sont soigneusement rangés mes "classiques du second
rayon". Aujourd'hui, je vous propose une oeuvre où il est surtout, voire essentiellement, question de cul, au sens propre. La majeure partie du récit a pour cadre un couvent, nous
sommes donc entre femmes : la jeune Rose s'y initie aux plaisirs de la masturbation, du chatouillage et du léchage d'anus, du pet moqueur et de la crotte sensuelle. On le
devine, Hugues Rebbel (1867-1905) laisse libre cours à ses fantasmes scatolologiques... On est en plein dans le "pipi-caca" de base... Il en faut pour tous les goûts.
Encore une fois, ce petit ouvrage fut heureusement réédité en 1980 par JC Lattès dans la collection "Les classiques interdits" avec une préface de Gérard Zwang ( le sexologue à la mode de
l'époque).
Voici un passage des pages 47-48 où la jeune Rose se trouve en compagnie d'une camarade nommée Valentine. Nous ne sommes qu'au début du récit qui compte 244 pages... Ce n'est qu'une mise en
bouche...
" Valentine m'avait relevé mes jupes et ma chemise et me frottait le
bouton tout en me donnant de temps à autre des petits baisers sur la bouche. J'étais très effrayée, je craignais à tout moment que ma tante ne passât près de nous, puis, mon amie
elle-même, je dois le dire, m'épouvantait, à voir ses regards, à entendre ses soupirs, je la croyais en proie à des souffrances infernales, je la croyais damnée, et pourtant elle était
si belle et ses caresses si agréables que je m'abandonnais à elle. Bientôt, sans cesser de me frotter le bouton, de son autre main, elle me caressa le derrière, puis entr'ouvrant mes fesses,
elle chercha le petit trou et introduisit lentement son doigt. Pour du coup, je n'y tins plus, je tombai sur l'herbe et je me pâmai de jouissance...."
Aucun commentaire pour cet article
Derniers Commentaires