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À la fin des années 1970, la maison " Edition et Publications Premères" publiait en littérature de gare une série intitulée "O$$EX..
Tout paraissait bidon, du nom de l'auteur à consonance anglo-saxonne, au nom du soi-disant traducteur nommé Amédée Volfgang. Mais n'est pas Mozart qui veut ! Le texte était d'une
rare médiocrité, l'orthographe plus qu'aléatoire ( il fallait supporter les " je me leva" et autres énormes fautes...). Les titres de la série se voulaient des parodies de dictons ( "Plus un
poil de sec"), de titres de films ("Les tétons flingueurs"), de chansons ou comptines( "À dada sur mon bidet"), voire de textes célèbres ( " Le
mièvre et la tordue")... Une pâle imitation des titres de San Antonio ou de SAS... C'était en fait une version française de la série américaine "Lady from
L.U.S.T"
L'intrigue se résumait le plus souvent à une vague histoire d'espionnage international, avec pour héroïne récurrente et narratrice une jeune femme lascive et un rien nymphomane nommée Eve Drum
dont les aventures étaient avant tout prétexte à une série de séances de baise internationales, recto-verso et multiraciales...
Pour vous donner une idée, voici le début d'un roman de la série intitulé " Sombres héros et mantilles" paru en 1979.
" Quand le réveil retentit dans son petit appartement du 22
"Calle las Cruces", Antonio Valdes ne put réprimer un grognement qui résumait bien sa mauvaise humeur. Depuis sa tendre enfance, il n'avait jamais pu s'habituer à se lever de si bonne heure. Tout
en maugréant, il alluma sa lampe de chevet, et put ainsi constater qu'il était bel et bien six heures du matin.
Il se tourna vers Maria, dont la croupe offrait à ses regards des rotondités aguicheuses, dont le charme voluptueux ne le laissa pas insensible.
Une lueur de convoitise passa dans ses yeux.
Ayant collé son corps d'athlète contre la tendre moiteur du dos de sa compagne , il l'embrassa doucement le long du cou, remontant graduellement vers la
racine des chevaux, tout en malaxant de la paume de ses mains les seins durs et pulpeux.
Maria ouvrit un oeil, sourit, s'étira voluptueusement, et se mit sur le dos, le ventre tendu comme pour une offrande.
La langue d'Antonio descendit lentement vers la poitrine palpitante de Maria, s'attarda quelques instants entre les deux mamelons, comme incapable de choisir,
badina avec l'aréole du sein droit, avant de descendre inexorablement vers le pubis bombé dont les poils noirs et drus lui caressèrent le visage.
Ses mains écartèrent doucement les tendres lèvres déjà imprégnées de liqueur amoureuse pour que sa langue et sa bouche puissent se frayer plus facilement un
passage vers le clitoris hypertrophié qui réclamait des caresses. Sans cesser de l'embrasser, il déplaça sournoisement sa main gauche dont le majeur pénétra sans autre forme dans le tunnel avide
de ses chairs humides.
Son index et son annulaire furent engloutis avec la même voracité.
Quand il sentit descendre le long de ses doigts le sève incontrôlable du plaisir, il les retira afin de s'allonger plus étroitement contre ce volcan, sa bouche
rivée au sexe en éruption, offrant ainsi à sa partenaire sa verge roide de plaisir.
Pendant qu'il mordillait activement la fente de sa maîtresse, elle prit le gland brun entre ses lèvres, le goba avidement, sa langue décrivant de
précises et frénétiques spirales autour de la tige palpitante.
Ils jouirent ensemble, dans une explosion de sperme, de salive et de bienheureuse douceur."
L'auteur est américain. Il a été publié au Brésil et en Allemagne si l'on en croit cette page
http://blibiomania.blogspot.fr/2011/01/rod-gray.html
dont acte !