Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Exercices d'écriture, # 8
Pour ce huitième épisode de nos exercices d'écriture, nous avons choisi de travailler chacun sur une photographie différente, mais vous pourrez constater de visu que ces deux photos ont beaucoup de similitude
Photo n° 1
Le texte du mari
Nous étions avec ma femme et Michel Koppera dans le petit salon, nous discutions en attendant deux invités, pour lesquels Michel avait demandé à Hélène d’organiser un apéritif. Il s’agissait de deux courtiers en art, les frères Albert et Robert Mégara.
Hélène s’amusait à nous montrer ses cuisses en croisant les jambes, afin que Michel n’ignore rien de ses sous-vêtements.
Lorsqu’ils sonnèrent Michel me demanda de descendre leur ouvrir et de commencer à leur montrer ma collection de peintures, me faisant signe qu’il avait quelque chose à dire à Hélène.
J’avais souvent vu Michel baiser ma femme, ce qui m’avait toujours réjoui. Nous faisions régulièrement et fort bien l’amour, mais j’avais besoin de l’excitation que provoquait, comme pour le roi Candaule, le besoin de montrer sa femme nue à l’un de ses officiers .
Quant à ma femme, elle avait suffisamment vécu pour ne pas détester satisfaire ce fantasme. Et même souvent l’encourager.
J’avais évidemment raconté à Michel l’épisode du routier.
Michel avait dit à ma femme :
– Je pense d’ailleurs que cela n’a pas dû déplaire à la Madame la Comtesse de la Motte-Veuillé, grande et hautaine, méprisante et raciste, d’être sévèrement baisée par un homme d’une condition inférieure à la sienne, aussi j’ai eu l’idée de cultiver ce besoin de soumission dont je me suis souvent aperçu lors de nos ébats devant votre mari.
Hélène souriait ironiquement, tout en ne lui laissant rien ignorer de ses jambes superbes dans ses bas.
– Je ne dis pas que vous avez tort, Michel, mais j’avais choisi – elle insistait sur le terme
choisi – de suivre ce routier dans sa cabine. Le manège de mon mari pour lui montrer mes cuisses m’avait excitée et il est vrai qu’au moment de monter dans la cabine, j’ai
failli renoncer et puis finalement j’ai voulu – elle insista encore sur le mot voulu – aller jusqu’au bout.
– Et si ce n’était pas vous qui choisissiez , mais moi pour vous ? Car j’ai envie de nous offrir à moi et à votre mari, ce qui relève de votre caractère profond, le désir de soumission, voire d’humiliation. Mais, là, vous n'aurez pas vous poser le problème du choix, je l’aurai fait pour vous.
je voyais Hélène dubitative, s’interrogeant sur quelle forme pourrait prendre un apéritif entre collectionneurs d’art.
– Ce sont bien des courtiers en œuvres d’art ?
– Absolument chère Hélène, mais votre corps est une œuvre d’art et je me réjouis de l’expression de votre visage lorsque vous les verrez. Nous sommes bien d’accord, j’ai choisi pour vous avec l’accord de votre mari et vous n’aurez aucune échappatoire.
Hélène réfléchit quelques secondes très intriguée, et à la manière d’un joueur qui dit banco, décroisa ses jambes pour que Michel puisse voir le string dont le fin voilage laissait voir sa fente.
– Et puis après tout pourquoi pas, vous avez toujours été de bon conseil.
– Alors, descendons...
Photo n° 2
Le texte de l'amant
Nous avions abusé du champagne. Hélène était manifestement ivre ; je dois avouer que je ne valais guère mieux. Mais alors que je m'efforçais de rester digne, l'excès d'alcool avait le pouvoir magique de libérer sa parole et de renverser les barrières de la bienséance. Vautrée plus qu'allongée sur le canapé du grand salon, elle me regardait, les paupières lourdes, les jambes écartées, la robe entrouverte sur sa chair gainée de bas sombres. La voix engluée, elle m'a raconté :
— Il y a moins d'une heure, alors que je vous attendais, il m'a baisée dans le petit salon. Sans se donner la peine de me déshabiller, il a ouvert ma robe, a baissé mon string et m'a enfilée direct. Vite fait ! Et après s'être vidé les couilles dans mon vagin, vous ne devineriez jamais ce qu'il m'a dit !
— Non !... Je donne ma langue au chat.
— Très drôle. Vous avez le don de trouver le mot juste. Bref, il m'a demandé de ne pas me changer, surtout de ne pas me laver, et il m'a dit qu'il aimerait que je vous offre mon cul pour que vous me jouissiez dans le rectum. Comme ça, je serais remplie de foutre par les deux trous... Telle que vous me voyez, j'ai la chatte qui déborde...
— Et vous en avez envie ?
— De votre bite et de votre sperme dans mon cul ? Vous me connaissez, je suis une épouse très traditionnelle : il
ne me viendrait même pas à l'idée de déplaire à mon mari!
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