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Lu en page 8 du Canard Enchaîné n° 5370 paru le mercredi 11 octobre cet article signé DF (David Fontaine) que je vous retranscris dans son intégralité :
Les animaux sont des homos comme les autres
" CONTRE NATURE", l'homosexualité, comme le répètent à l'envi les réacs et intégristes de tout poil ? Que nenni ! dirait la grenouille de La Fontaine. Selon une étude scientifique publiée par la revue "Nature Communications", qui vient conforter nombre d'autres recherches, l'homosexualité est largement répandue chez les animaux. Elle concerne pas moins de 1500 espèces, dont 261 espèces de mammifères, soit 5% au total, mais aussi des insectes, des poissons, des reptiles, des oiseaux... Et encore, ces chiffres seraient largement sous-estimés "puique ce comportement n'a attiré l'attention des chercheurs que récemment" ( libération.fr du 07/10)
Au secours, Zemmour va en perdre ses attributs. La palme aux primates non humains, dont 51 espèces vivant en groupe pratiquent joyeusement l'homosexualité, notamment pour intégrer les plus jeunes ou faire la paix. Elle concerne les mâles comme les femelles et, dans un quart des cas, donne lieu à une parade nuptiale, voire à des liens de couple... Pour mieux s'aimer comme des bêtes.
pour illustrer cet articcle, je vous propose 3 photographies.
1. couple de lions mâles
2. couple de gorilles femelles
3. couple de singes mâles
Sauf que l'homosexualité exclusive n'existe pas chez les animaux. Que certains animaux aient des comportements homosexuels occasionnels ne les pousse aucunement à renoncer à la seule méthode naturelle de reproduction qui reste l'accouplement entre mâles et femelles.
Il n'y a bien que chez certains êtres humains que l'on peut observer ce renoncement complet à l'hétérosexualité, quitte à réclamer des substituts à la procréation naturelle en guise de compensation. Et c'est bien cela que les "réacs" contestent.
En fait, il serait beaucoup plus honnête de reconnaître que la bisexualité fait partie de la nautre, pour diverses raisons, souvent assez éloignées de la conception humaine de la sexualité, par ailleurs (comme l'intégration des plus jeunes au groupe que vous mentionniez ; ça n'existe pas chez l'Homme, ça pourrait même être mal vu). Mais l'homosexualité exclusive, qui est une impasse biologique, elle, ne se retrouve pas en-dehors du genre humain.
Mais le reconnaître contrarierait l'argumentation des militants progressistes consistant à essayer de faire croire que le renoncement total à l'hétérosexualité existe dans le règne animal dans son ensemble : or c'est bel et bien une spécificité de certains d'entre nous. Ils en ont parfaitement le droit, personne ne le conteste, mais ce renoncement comporte des conséquences et il est parfaitement fondé de dire que la société dans son ensemble n'a pas à les assumer à leur place.