Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
ZOOM n°75, Spécial Photokina
Couverture réalisée par Ingo Harney, photographe publicitaire né à Berlin en 1947
- Galerie de nus féminins de Michaël RUSS, né en 1945 à Berlin mais installé aux USA en 1960.
- Campagne publicitaire pour Heineken réalisée par Chris THOMSON
- Une photographie signée Laura PETTIBONE
- Trois œuvres de Clarence John LAUGHLIN, écrivain et photographe américain né en 1905 en Louisiane
Le lit qui fait horreur, 1941
« Cette photo devient l’image d’un mariage sans amour, supporté à cause des conventions ou pour des nécessités économiques. La maison s’est laissé mourir de frustration et le lit matrimonial s’est désintégré, en devenant une tête monstrueuse dont le mufle est posé sur la hanche d’une silhouette sans nom, vêtue de noir. À force de désillusion et de répugnance, la tête, comme toute la pièce, en a été marquée. »
Les masques se posent sur nous, 1947
« Dans notre société, la plupart d’entre nous portent des masques pour se protéger, des masques psychologiques de toutes sortes et pour diverses raisons. Très souvent, les masques prennent possession de nous, changent nos traits originels et représentent le personnage que nous prétendons être. Ce processus est indiqué ici en termes visuels et symboliques par plusieurs expositions du même négatif – le facteur déroutant étant que le masque superposé est comme la fille elle-même, et devient plus dur et plus superficiel. »
Celui qui n’est pas encore né, 1941
« Sur un fond évoquant la nudité, la silhouette avec une main de névrotique et un visage privé d’émotion, devient le symbole de toutes les femmes dont le désir de maternité a été bafoué par les conditions mêmes de notre société. Remarquez la petite tête dans le cadre, qui suggère à la fois celle d’un vieillard et celle d’un enfant et qui exprime les promesses irréalisées d’une génération qui n’est pas venue au monde. »
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