Jeudi 15 novembre 2007
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Chapitre 3, page 51 , Maximlien vient de coiffer pour la première fois la touffe de Teresa :
" Madame Dos Santos parut fort satisfaite de sa nouvelle coiffure pubienne. Emue aux larmes, elle ne se lassait pas de l'admirer dans le miroir. Son ventre avait perdu de
sa sauvagerie animale ; les mèches égalisées et les boucles presque sages l'avaient domestiqué.(...) Elle passait ses doigts intimidés à travers les boucles noires, pareille une mère
jouant avec les cheveux de son premier enfant."
Par michel koppera
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Mercredi 14 novembre 2007
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Voici maintenant la rencontre de Maximilien Bémol avec la Maréchale, chapitre 13, page 221 :
" La Maréchale était vautrée dans un canapé de cuir rouge sang ; ses gros seins grumeleux en érection débordaient de sa nuisette retroussée haut sur son ventre échevelé. La
toison de la Maréchale avait quelque chose de monstrueux. C'était une formidable masse de poils d'un brun foncé, avec quelques nuances plus claires aux abords de la vulve. Cette masse sombre
lui recouvrait entièrement le bas de l'abdomen ; le nombril lui-même était pris dans cette savane obscure. Le pelage se répandait aussi entre les cuisses et comblait généreusement le sillon
fessier, ébauchant même, au creux de ses reins, une sorte de second triangle pubien, peut-être encore plus obscène que le premier."
Par michel koppera
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Mardi 13 novembre 2007
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Chapitre 11, page 173 :
" Charles, la main sur une bouteille de tequila, improvisa une conférence publique sur les poils pubiens des cinq continents. Comme il avait passé de longues
années d'adolescence en Afrique de l'est; il commença par les pubis des femmes noires, semblables à de petits paillassons, avec des poils vrillés sur eux-mêmes, durs comme des grains de poivre
noir..."
Par michel koppera
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Lundi 12 novembre 2007
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Lu dans le journal local : "Une femme va rendre visite à son frère qu'elle n'a pas vu depuis 25 ans. Le soir, il
l'invite à dormir chez lui dans la chambre d'ami. Pendant la nuit, le frère retrouvé pénètre dans la chambre de sa soeur endormie et, sous la menace de son berger, il la
viole."
Dans les chroniques d'Alexandre Vialatte ceci : " Melville raconte qu'il habitait une maison d'où il voyait, sur la montagne, une autre maison, lointaine, où semblait
habiter le bonheur. Il y alla et, de ce point élevé, il vit la sienne à l'horizon. Et ce fut la sienne, à ce moment-là, qui lui fit la même impression.
Le bonheur n'est jamais qu'en face. "
à Carteret.
À Carteret elle était
nue
Nos deux enfants en habit de soleil
Loin des vagues, proche des rêves
Traçaient d'étranges mots
De simple brume
vêtue
De leurs pas sans sommeil
Que le vent dissipait sans
trêve
Sur la marge des flots
Un ressac martelait la
falaise
À Carteret, elle rêvait nue
Comme le sang ses
hanches
D'une vague silence
Pâles où luisait la
braise
Dont sa main retenue
Dans l'ombre de sa peau
blanche
Brisait la morne danse.
"Elle était comme une noix : dure, sèche et lourde à digérer. Je préfère les oranges"
Par michel koppera
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Dimanche 11 novembre 2007
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" Ma sirène, ma si reine, masse Irène ! "
-" Ma poule a une dent contre moi. "
- Dicton:
"Domfront, ville de malheur,
Arrivé à midi, pendu à une heure."
Par michel koppera
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Dimanche 11 novembre 2007
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/2007 13:52
Hier soir, Nantes, concert de Calogero. Zénith plein comme un oeuf ! Super concert, super feeling entre le chanteur et le public. Chansons cultes. Bonne sono. 1h50 de
bonheur. Et c'est ça qui compte, non ?
Par michel koppera
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Samedi 10 novembre 2007
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/2007 14:13
" Elle est comme une étoile. Elle ne brille que la nuit ; de jour, on ne la remarque même pas."
" Mettre la main au panier ; il faut osier ! "
Recette
" Trois petits cochons à la guerre
Tuent le loup en habit vert
Le chaperon rouge à la cantine
Cuisine le loup en nougatine."
" Le cynisme n'est qu'une technique, un savoir-faire mal."
Par michel koppera
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Samedi 10 novembre 2007
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/2007 11:46
En 1972, Bertrand Blier publiait son roman "Les Valseuses" qu'il allait plus tard adapter au cinéma pour réaliser le film culte que l'on connaît.
Voici deux extraits de ce roman. Le premier présente Marie-Ange, personnage interprété par Miou-Miou dans le film.
" Pierrot avait le regard d'une étrange précision, braqué sur l'entrejambe de Marie-Ange qu'il suivait dans tous ses déplacements autour du tabouret, un vrai radar. Il arrêtait pas de
fixer la tache sombre sous l'indémaillable avec les poils rebelles qui dépassaient les élastiques ou transperçaient carrément le coton. Il les comptait à la loupe, les poils, et les yeux
commençaient à lui sortir sérieusement de la tête.
Mais alors là où ça clochait sa jeunesse, sa fragilié, sa pudeur et tout le bordel, c'est qu'elle avait entre les cuisses une véritable anatomie de mère de famille, épanouie
comme si elle avait pondu trois enfants à grosse tête, et une mère de famille plutôt garce pour être précis.
Il s'étalait généreusement son engin, et il remontait haut par devant, sur une grosse bosse, pour qu'on le voie mieux. Un étalage une veille de fête. Une grande marée
d'équinoxe qui laissait tout à découvert, poulpes, varechs, étoiles. L'univers à soi tout seul... Sacrée Marie-Ange ! Quelle embouchure !"
Le second extait est consacré au personnage de Jeanne qui ne sera pas repris dans le
film.
" Jeannne avait tort de vouloir dissimuler ses poils gris. Je suis descendu leur parler, leur expliquer qu'ils me plaisaient. Jeanne, sensible
à ce langage, s'ouvrait comme une fleur enfin libre, une belle fleur de cimetière. Je suis monté sur elle et je l'ai fait jouir trois fois (...) Elle nous laisse faire provision
d'images fumantes... Voilà ! Elle dit. Ca y est : vous êtes des grands ! Vous avez vu une femme nue. Vous êtes contents ? Vous allez pouvoir drôlement les épater les petits
copains de la communale ! Un régal ! ... Une vraie bonne femme, les mecs ! Une mémé qu'avait bien trente berges ! Et complètement à poil ! Elle nous a tout montré ! Ses gros nichons !
Et tous ses poils entre les cuisses ! Qu'est-ce qu'elle en avait ! Des noirs et des tout bouclés ! Même qu'elle nous a fait toucher ! Et même qu'elle s'est foutue à plat ventre pour qu'on
lui voie les fesses."
Par michel koppera
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Vendredi 9 novembre 2007
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/2007 17:39
Extrait de Dom Bougre ( Gervaise de La Touche, 1741)
" Au plaisir que je ressentais, je reconnus le centre de la volupté. Il était
ombragé d'un poil épais, noir et frisé. Toinette avait les jambes écartées. Il semblait que sa paillardise fût d'accord avec ma curiosité pour ne me rien laisser à désirer.
Je m'enivrai de ce charmant spectacle : un bas proprement tiré, noué sur le genou avec une jarretière feu et argent, une jambe faite au tour, un petit pied
mignon, une mule la plus jolie du monde, des cuisses, ah ! des cuisses dont la blancheur éblouissait, rondes, douces, ferme, un con d'un rouge de carmin entouré d'une haie de petits poils
plus noirs que le jais et d'où sortait une odeur plus douce que celle des parfums les plus délicieux."
Bribes de mon journal :
- Oui, j'ai envie de vous caresser la cuisse...
- Laquelle ?
- Qu'importe ! La plus proche de votre désir.
" Les sillages des avions, comme des fils de laine qui tissent l'azur. Les hommes tricotent le ciel."
Hiver, froidure : "Entrez donc, vous prendrez bien une poignée de feu !"
Amsterdam. Ruelles nocturnes du quartier rouge. Les haies de putains qui ondulent comme des peupliers au passage des hommes.
Par michel koppera
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Jeudi 8 novembre 2007
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/2007 22:09
Salade
Véronique, cette belle velue,
A dans le con une longue courgette
Et dans la bouche un gros noeud bienvenu
Qui glisse entre ses canines fourchettes.
Par michel koppera
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