Mercredi 16 janvier 2008 3 16 /01 /Jan /2008 17:28

Quatrain inconvenant.
Exploit.
Gabriel, ce grand salaud
Qui se branle à Granville
Eclabousse Saint-Malo
De son sperme futile.
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Fable
. Un vieux loup solitaire en mal d'amour dit au Petit Chaperon Rouge:" Tire la bobinette !" Il crut se la faire. Mais la chevillette chut et son coup foira. Moralité : chez les vieux loups solitaires, l'appétit ne vient pas toujours en mangeant.

Sommeil. Nuit de verre où les rêves tintent comme du cristal.

Sécheresse. L'arbre assoiffé perd ses feuilles comme des cheveux blancs qui restent accrochés dans le peigne du soleil.

Hiver. C'est le temps des oranges, des soleils domestiques qui éclairent la table.

Poème d'amour. ( à une amie perdue )
Au paddock                                                Comme une page bleue
Les chevaux se reposent                              Les draps sont ouverts
Les hommes y font des choses                     Sur les corps généreux
Ad hoc                                                        Des amants solitaires
S'ils ne sont pas trop émus                           On se lisait la peau
Ni amoureux                                                Et les lèvres
Trop fiévreux                                               Une heure brève
D'un désir qui les tue                                    Jusqu'au dernier mot.
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à propos de paddock, voici en cadeau un très beau dessin érotique signé jean-Marie Poumeyrol intitulé "l'écuyère"
Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Lundi 14 janvier 2008 1 14 /01 /Jan /2008 16:33

Dernière nouvelle du recueil, Annie Grosses-Loches présente une jeune mère de famille dotée, comme son nom l'indique d'une très grosse poitrine. Elle partage pendant quelque temps la vie du narrateur qui en brosse un portrait à la fois ironique et tendre.
" Annie avait le con tellement large qu'elle ne sentait presque rien quand elle baisait. Elle avait toujours été comme ça, même avant d'avoir Juju. Elle s'était résignée à se faire fister, mais elle trouvait ça plutôt dégradant. Avec une petite noix de vaseline, je lui mettais la main entière dans le vagin et je lui caressais le col de l'utérus. Parfois, elle arrivait à jouir. "
annie-grosses-loches-1.jpg
" Quand elle était bien disposée, Annie acceptait une branlette espagnole.
- Si tu y tiens ! disait-elle un sein dans chaque main. je ne vois vraiment pas ce que tu y trouves de si excitant.
- Ca te gêne ? Tu sais, tu n'es pas obligée..
- Je sais. Tu le faisais avec ta femme ?
- Jamais ! Elle n'était pas assez libérée pour ça.
- vas-y, prends ton temps. Quandtu sentiras que ça vient, préviens-moi pour que tu me jouisses dans la bouche." annie-grosses-loches-2.jpg

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Lundi 14 janvier 2008 1 14 /01 /Jan /2008 08:17

Gisèle est institutrice dans une petite ville de province. À plus de 35 ans, elle est encore célibataire et sous l'emprise d'une mère possessive. Dans la nouvelle, elle se décide enfin à rencontrer un homme : ce sera le patron du garage qui a réparé sa voiture en panne. Si l'homme pense dans un premier temps qu'il a touché le jackpot, on verra à la fin de cette histoire que tomber entre les griffes de Gisèle peut être fatal. Dans le passage qui suit, elle évoque son inittiation à l'art de la masturbation :
ma--tresse-1.jpg " À vingt-deux ans, Gisèle perdit enfin sa virginité à l'aide d'une petite courgette du jardin, encore chaude du soleil d'août. Ensuite, au fil des années, elle avait tout essayé : les bananes, les carottes, les courgettes encore mais de plus en plus grosses, les concombres, les aubergines - très agréable, les aubergines !- et même les épis de maïs et les pieds de poireau, surtout la varité appelée "monstrueux de Carentan" ! Mais aussi, en cas d'urgence, les petites bouteilles de Coca, les flacons de shampoing, les goulots de bouteilles de vin, enfin tout ce qui ressemblait de près ou de loin à une bite..."   ma--tresse-2.jpg ma--tresse-3.jpg

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Dimanche 13 janvier 2008 7 13 /01 /Jan /2008 18:50

Le narrateur reçoit la visite inopinée de Fabienne, une jeune femme un peu perdue. Tard dans la nuit, elle lui raconte la mésaventure qui lui est arrivée quelques mois plus tôt, une nuit, sur une route isolée du Maroc où  des compagnons de voyage l'avaient laissée entre les griffes de policiers véreux afin d'échapper à une forte amende. Elle raconte alors comment elle s'était retrouvée en compagnie des policiers dans le fourgon de police :
visiteuse-du-soir.jpg " C'est le chef qui est passé le premier, celui qui avait le plus de barrettes à son uniforme. Lui, c'était pas vraiment un problème. Pas bavard, le type, mais plutôt beau mec : la quarantaine cheveux noirs, moustache, torse musculeuux, bien bâti, avec des mains aux doigts secs mais légers. Une belle bite avec ça ! Moi, j'ai rien contre les mecs circoncis. Au contraire, ça peut éviter de mauvaises surprises. Il a fait son truc dans les règles, avec calme et méthode. Je l'ai sucé, il m'a baisée, point barre ! Rien que du classique. Ah si, j'allais oublier : il m'a léché la chatte, un peu, juste avant de me la mettre au fond. Peut-être qu'il avait peur que je ne sois pas mouillée, ce en quoi il se trompait complètement : j'étais déjà trempée. Il m'a prise sur la banquette, en me tenant fermement les hanches pour bien s'enfoncer. Je n'ai pas senti grand-chose, comme d'habitude : je suis trop large, et puis, j'étais tellement excitée que j'avais le vagin tout huileux. Pour jouir, il a ressorti son engin et m'a balancé son sperme sur le nombril. Ca a fait comme une petite mare blanche et visqueuse sur mon ventre."
visiteuse-du-soir-2.jpg

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Samedi 12 janvier 2008 6 12 /01 /Jan /2008 09:43

Jane est une jeune femme étrange, mariée trop jeune et sans amour véritable, qui cherche sa voie. Elle croit pouvoir se réaliser par le travail et l'ascension sociale. Dans ce but, elle entreprend des études de philosophie qui l'amènent à faire la rencontre avec son "maître à penser", un certain Auguste qui l'initie certes à la philosophie, mais aussi à la "philosophie dans le boudoir" du divin marquis de Sade. Ils passent aux travaux pratiques :
desadeJustine2.jpg " Qu'elle était grosse la bite d'Auguste ! Si grosse qu'elle lui emplissait la bouche. mais rien n'était plus délicieux que de masser ses couilles poilues, de fourrager dans le buisson de son  entrefesse. Pendant ce temps, il lui lapait la fente, lui fouillait la chatte de sa langue experte, lui caressait l'intérieur de ses cuisses avec sa barbe épaisse. Plus tard, il la faisait s'agenouiller au bord du lit :
" Ecartez le derrière, un peu plus, afin que chaque secousse de la tête de mon vit touche au trou de votre cul...Oui, c'est cela ! Allons, préparez-vous madame : ouvrez ce cul sublime à mon ardeur impure..." Car, c'était à cela qu'elle s'initiait, à la jouissance par le cul. Les premières fois, Auguste usa de beaucoup de pommade et de diplomatie. Jane en grimaçait de douleur, mais jamais elle ne renonça. Il la tenait fermement par les hanches, labourant la béance obscure de ses muqueuses huilées, grognant, ahanant et soufflant fort, comme un bûcheron au labeur." 
silences-de-jane.jpg
encore un superbe dessin de Hugdebert, décidément le meilleur du genre

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Jeudi 10 janvier 2008 4 10 /01 /Jan /2008 18:24

Dans cette nouvelle, le narrateur est un salarié d'une multinationale du BTP envoyé en mission dans l'archipel des Comores, sur l'île d'Anjouan. Arrivé seul, sa femme devant le rejoindre plus tard, il ne tarde pas à succomber à la tentation et prend pour maîtresse, une jeune femme noire nommée Inchati. Avec elle, il découvre tout un univers de sensualité inconnue, mais pas sans danger comme il le découvrira à ses dépends mais trop tard.
delices-de-l-archipel.jpg          " Nue, Inchati avait la beauté d'une statue : des épaules frêles et délicates, des seins en poire aux larges aréoles avec des tétons grenus, un ventre plat, une chute de reins très cambrée, un fessier haut perché et arrogant, des jambes fines et musculeuses, un bas-ventre intégralement épilé, une peau douce et chaude comme du velours... [...]
        Je la baisais dans toutes les positions, sans jamais me lasser du spectacle de ma queue blanche plantée au coeur de son sexe de femme noire. Mais mon plaisir favori, c'était de l'enculer. Et tout en regardant ma bite plantée entre ses fesses ouvertes, je lui parlais à voix basse :
           - Tu la sens bien, ma grosse queue dans ton cul ?
Remue tes fesses, Inchati, n'arrête pas de remuer tes fesses !" 

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Mercredi 9 janvier 2008 3 09 /01 /Jan /2008 14:34

terres-maudites-1.jpg

Après de longues années de silence, le narrateur retrouve un camarade d'université à l'occasion du mariage de ce dernier. Or, il devient vite évident que ce mariage est pour le moins étrange. Et voilà les deux amis en train de baiser ensemble la belle-mère du nouveau marié.
        " Solange a allongé François sur le dos, à même le tapis de laine du Cachemire, puis agenouillée au-dessus de lui, elle s'est empalée sur sa bite, me présentant le trou de son cul dilaté.
        - Vas-y, me souffla François. Son cul est une vraie merveille, crois-moi !
       - Oui, encule-moi, mon petit Michel, a ajouté Solange en se cambrant davantage pour déposer une noix de pommade lubrifiante sur son anus entrouvert.
        J'ai posé la tête de ma bite entre ses fesses écartées, et elle est entrée toute seule, sans aucune résistance ; d'abord la tête pourpre du gland, puis la colonne, centimètre par centimètre, jusqu'à la racine... Et, tout contre ma bite, je sentais celle de François, bite jumelle, juste séparée de la mienne par deux fines enveloppes de chair saturée de désir. Le cul de Solange était effectivement une merveille, onctueux, aussi confortable qu'un vagin, à peine plus étroit, mais plus chaud...
       Une fois bien calés, on a commencé à limer Solange, en alternance, comme une mécanique à deux pistons parfaitement huilés."
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Mardi 8 janvier 2008 2 08 /01 /Jan /2008 18:01

Dans le Nouvel Observateur de cette semaine, du 4 au 11 janvier, trois clichés parus à quelques pages d'intervalle ont retenu mon attention, et je n'ai pu m'empêcher de les rapprocher et de les confronter.
1) En couverture, le cul de Simone de Beauvoir, photographiée en 1952 dans une salle de bains à Chicago, photo prise par un certain Art Shay, ami de l'amant de Simone, l'écrivain américain Nelson Algren. ( vous ne pouvez pas avoir raté cette une !)
Quel cul ! Fessier musculeux, chute de riens sublime accentuée par les mules à talons hauts qui forcent la cambrure. Quel âge avait-elle en 1952 ? 44 ans ! L'âge de la maturité. Dire que Sartre a caressé ces fesses, baisé ce cul merveilleux ! Mais aussi Claude Lanzmann et combien d'autres... Il y a dans ce cliché toute la dualité de l'écrivain, à la fois personnage public, froide icône médiatique, et la personne privée, secrète et sensuelle... Je crois que j'aurais volontiers donné une année de mon existence pour partager une nuit, en 1952, avec Simone de Beauvoir dans une chambre à Chicago. Pas vous ?
simone-de-beauvoir-1952.jpg
2) Quelques pages plus loin, cette photo de Julien Gracq datée de 2004. Il vient de mourir le mois dernier, quelques jours avant Noël. Une autre image de l'écrivain, sans doute plus conforme aux idées reçues: être solitaire, comme évoluant dans un autre monde, un univers intérieur qui nous est inaccessible. L'homme semble en harmonie avec le paysage qui l'entoure, avec cette grève herbeuse, cette végétation épaisse mais accueillante, ce clocher qui émerge au-dessus de la cime des arbres, ce ciel chargé de promesses d'orage... L'homme est en marche, fragile mais serein, presque souriant. Il ne nous regarde pas. Il marche. Il était né en 1910 à Saint Florent le Vieil, sur les bords de la Loire ; il est mort le 22 décembre 2007 à Saint Florent le Vieil sur les bords de la Loire, dans la douceur de l'hiver angevine... Tout Gracq est dit dans ces deux dates. Relisons Du Bellay ! " Quand reverrai-je hélas, de mon petit village, fumer la cheminée, et en quelle saison... "
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3) et puis, en page 37, Sarko et Carla Bruni sur le tarmac de l'aéroport de Louxor le 25 décembre 2007. On croirait une mauvaise doublure d'Al Pacino dans le Parrain. Un vrai chef mafieux ! Tout y est : les Rayban, le col de chemise largement ouvert, la moue dédaigneuse, l'escort-girl de luxe... Il ne manque que la gourmette, la chevalière en or massif avec inittiales gravées... La panoplie complète ! Mais ce n'est pas de la fiction, c'est l'image bling-bling de notre chef d'état... On se la fait à la Poutine, mi-playboy, mi-demi-sel... Misère et décadence.
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Voir ces 3 images juxtaposées me laisse une étrange impression de malaise... Cherchez l'erreur !

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Mardi 8 janvier 2008 2 08 /01 /Jan /2008 16:21

Le narrateur qui est parti faire sa vie de l'autre côté de l'Atlantique, apprend la mort de son oncle Robert. Il se rend aux obsèques et y retrouve une lointaine cousine. Il se trouve qu'il doit partager avec elle un héritage bien insolite. Evidemment, leurs retrouvailles iront plus loin que prévu....
       " Je m'assis à ses côtés et posai la main directement entre ses cuisses qu'elle écarta complaisamment. C'était bien ce que je pensais : elle était quasiment nue là-dessous, avec juste un string mauve qui lui cachait à peine la touffe. Les poils de sa chatte étaient longs et soyeux. Florence était déjà trempée de désir. (...)
       Avec les moyens du bord, ma bite, ma bouche et mes doigts, je me suis employé à lui procurer les plaisirs qu'elle me réclamait. Je ne sais si c'était l'évocation de nos vacances passées, les effets de la cassette vidéo, ou plus simplement un manque de luxure au quotidien, mais Florence en voulait. Elle commença par me gratifier d'une bonne pipe, comme pour me prouver qu'elle n'avait rien perdu de ses talents d'adolescente. Je retrouvai de lointaines sensations. Mais, depuis, Florence était devenue une femme mûre, avide de sexe plus hard, sans ménagement. Alors, elle se laissa lécher la chatte et le cul, se prêta volontiers aux jeux de doigts dans le vagin et l'anus, se fit baiser et enculer sans réticence. Elle avait les hanches généreuses, les tétons tojours aussi pointus, les seins lourds et la vulve huileuse. Elle m'encourageait des fesses et de la voix :
     - Vas-y Michel, mets-la bien au fond, que je sente que ta bite me remplisse le con ! Oui, comme ça, plus vite ! Non, ne t'en va pas, pas encore.
.."  
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Lundi 7 janvier 2008 1 07 /01 /Jan /2008 09:50

Le narrateur qui est employé au tri postal rencontre fortuitement une de ses anciennes professeurs dans un bar de nuit. La femme l'invite à passer le lendemain après-midi prendre le thé chez elle. Elle est veuve... L'alcool aidant, la visite de courtoisie tourne vite à la partie de cul :
" La croupe en l'air, madame Cabard agitait les bras et chechait de nouveau à saisir ma queue. Elle m'a empoigné avec autorité et attiré vers son cul Elle n'a pas eu besoin de lubrifier la collerette déjà visqueuse : j'ai tout enfoncé d'un coup, jusqu'à ce que l'anneau de sa chair dilatée vienne toucher mes couilles. Dans son intestin, la chaleur était intense. J'en ai totalement oublié que j'étais en train d'enculer une femme laide et ivre morte. En ces instants, elle n'était plus qu'un cul avec ma queue plantée en plein milieu, une vulve où je glissais quatre doigts pour baratter la sève de son désir. madame Cabard rugissait avec force, contractait violemment ses sphincters sur ma bite de marbre...
 Lorsque je lui ai tout lâché dans le boyau, elle a continué à s'agiter en attendant de toucher elle aussi au sommet de son plaisir."
 
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