Lundi 19 novembre 2007 1 19 /11 /Nov /2007 11:11

Toujours chapitre 11, aux pages 180-181. Maximilien se retrouve aux côtés d'une compagne de passage:
    " Maximilien avait glissé sa culotte de coton jusqu'à ses pieds pour libérer ses jambes. Longues cuisses douces, glabe émouvant du mollet. Sa main retrouva sans peine le chemin de sa touffe drue, balancée au rythme de ses reins... Ses doigts à elle ont rampé sur le ventre de Maximilien, à sa rencontre. Petites touches délcates, professionnelles... Sables mouvants du désir. Penché au-dessus d'elle, juste avant d'y coller ses lèvres, il aperçut la grande étoile brune au ciel sans nuage de ses fesses. Elle se cabra davantage, des deux mains ouvrant son ventre pour l'accueillir tout entier. Les yeux clos, elle souriait. Elle était maintenant à genoux, dans l'attente. Temps suspendu... "

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Dimanche 18 novembre 2007 7 18 /11 /Nov /2007 18:40

Chapitre 11, page 184 : 
        " De retour dans le pot-au-noir de la chambre 417, Maximilien trouva refuge contre les seins d'une femme infidèle, épouse d'un marin sans escale. Elle était blonde intégrale, de la tête à la touffe, en salopette bleue, recroquevillée dans un fauteuil, à se sucer le pouce en jouant les gamines trentenaires, à siroter des ballons de muscadet tiède..." 

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Samedi 17 novembre 2007 6 17 /11 /Nov /2007 09:08

Chapitre 7, page 95, Teresa exhibe son ventre velu devant Maximilien.
     " Se laissant aller dans les profondeurs du fauteuil, Teresa projeta son ventre en avant, comme un don. Elle lui montra son sexe, d'abord moulé dans son voile de dentelle, puis seulemnt habillé de sa merveilleuse fourrure anthracite. Elle avait parfumé sa touffe d'une goutte de patchouli et fardé de rouge les grandes lèvres de sa vulve pour en souligner l'abondance charnue. Ecartelée en grenouille sur le fauteuil, elle écarta des deux mains les épaisses crêpelures de sa noire toison, révélant les chairs nacrées de sa vulve. Devant le sexe en gloire de Maximilien, elle se livra à une voluptueuse danse du ventre, lui montra dans le détail les spasmes secrets de son vagin, vagues de désir qui lui dilataient l'anus et, sous les yeux fascinés et respectueux de son amant, sa vulve s'ouvrait et se fermait comme une bouche d'enfant qui aurait voulu parler. Par de petits caresses circulaires au plus haut de sa fente, elle parvint aussi à obtenir une érection durablede son clitoris qu'elle avait bien développé et sensible. l'envie d'y porter la bouche et la langue en devenait presque inupportable."

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Vendredi 16 novembre 2007 5 16 /11 /Nov /2007 17:32

Chapitre premier, page 16 : Maximilien Bémol se trouve avec Bénédicte Flamand, la jeune fille qui lui est promise. Ils sont tous les deux seuls, dans la chambre de Maximilien.
    " Alors, il glissa ses doigts dans la culotte de Bénédicte et commença à lui masser la fente. Elle se mit à onduler du bassin en cadence, à se tortiller de façon un peu ridicule en répétant "Oui !...Oui !". Il voulut voir ça de plus près : elle souleva les hanches pour faire glisser la culotte jusqu'à ses pieds. Désormais , elle était couchée la jupe retroussée sur la taille, le ventre nu, sans défense, offert, ouvert. En un seul regard, Maximilien vit la vulve éclaboussée de mouillure, les nymphes dépliées, le clitoris comme un grain de riz, la touffe blonde et clairsemée, aux poils si rares et si fins qu'on voyait la peau à travers..."
    

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Jeudi 15 novembre 2007 4 15 /11 /Nov /2007 18:04

Chapitre 3, page 51 , Maximlien vient de coiffer pour la première fois la touffe de Teresa :
     " Madame Dos Santos parut fort satisfaite de sa nouvelle coiffure pubienne. Emue aux larmes, elle ne se lassait pas de l'admirer dans le miroir. Son ventre avait perdu de sa sauvagerie animale ; les mèches égalisées et les boucles presque sages l'avaient domestiqué.(...) Elle passait ses doigts intimidés à travers les boucles noires, pareille  une mère jouant  avec les cheveux de son premier enfant."
  

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Mercredi 14 novembre 2007 3 14 /11 /Nov /2007 14:20

Voici maintenant la rencontre de Maximilien Bémol avec la Maréchale, chapitre 13, page 221 :
    " La Maréchale était vautrée dans un canapé de cuir rouge sang ; ses gros seins grumeleux en érection débordaient de sa nuisette retroussée haut sur son ventre échevelé. La toison de la Maréchale avait quelque chose de monstrueux. C'était une formidable masse de poils d'un brun foncé, avec quelques nuances plus claires aux abords de la vulve. Cette masse sombre lui recouvrait entièrement le bas de l'abdomen ; le nombril lui-même était pris dans cette savane obscure. Le pelage se répandait aussi entre les cuisses et comblait généreusement le sillon fessier, ébauchant même, au creux de ses reins, une sorte de second triangle pubien, peut-être encore plus obscène que le premier."  

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Mardi 13 novembre 2007 2 13 /11 /Nov /2007 17:55

Chapitre 11, page 173 :
       " Charles, la main sur une bouteille de tequila, improvisa une conférence publique sur les poils pubiens des cinq continents. Comme il avait passé de longues années d'adolescence en Afrique de l'est; il commença par les pubis des femmes noires, semblables à de petits paillassons, avec des poils vrillés sur eux-mêmes, durs comme des grains de poivre noir..."

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Lundi 12 novembre 2007 1 12 /11 /Nov /2007 11:04

     Lu dans le journal local : "Une femme va rendre visite à son frère qu'elle n'a pas vu depuis 25 ans. Le soir, il l'invite à dormir chez lui dans la chambre d'ami. Pendant la nuit, le frère retrouvé pénètre dans la chambre de sa soeur endormie et, sous la menace de son berger, il la viole." 
deprave.jpg

    Dans les chroniques d'Alexandre Vialatte ceci : " Melville raconte qu'il habitait une maison d'où il voyait, sur la montagne, une autre maison, lointaine, où semblait habiter le bonheur. Il y alla et, de ce point élevé, il vit la sienne à l'horizon. Et ce fut la sienne, à ce moment-là, qui lui fit la même impression.
     Le bonheur n'est jamais qu'en face. "  

à Carteret.

À Carteret elle était nue                                            Nos deux enfants en habit de soleil
Loin des vagues, proche des rêves                            Traçaient d'étranges mots
De simple brume vêtue                                              De leurs pas sans sommeil
Que le vent dissipait sans trêve                                  Sur la marge des flots

Un ressac martelait la falaise                                      À Carteret, elle rêvait nue
Comme le sang ses hanches                                       D'une vague silence
Pâles où luisait la braise                                             Dont sa main retenue
Dans l'ombre de sa peau blanche                                Brisait la morne danse.

"Elle était comme une noix : dure, sèche et lourde à digérer. Je préfère les oranges"

Par michel koppera - Publié dans : inédits
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Dimanche 11 novembre 2007 7 11 /11 /Nov /2007 14:25
- " Ma sirène, ma si reine, masse Irène ! "

-" Ma poule a une dent contre moi. "

- Dicton: 
"Domfront, ville de malheur, 
Arrivé à midi, pendu à une heure."

Num--riser0003.jpg
Par michel koppera - Publié dans : inédits
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Dimanche 11 novembre 2007 7 11 /11 /Nov /2007 13:52
Hier soir, Nantes, concert de Calogero. Zénith plein comme un oeuf ! Super concert, super feeling entre le chanteur et le public.  Chansons cultes. Bonne sono. 1h50 de bonheur. Et c'est ça qui compte, non ?
calogero.jpg  
Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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