Dimanche 20 janvier 2008
7
20
/01
/Jan
/2008 10:27
Avenir. Le désespoir commece le jour où on ne peut plus dire oui.
Misogynie. Pour mesurer le poids des mots, elle ferait mieux d'utiliser un pèse-lettres.
Réunions. Il y a aussi ceux qui n'aiment pas être interrompus et qui commncent toutes leurs phrases par " Je disais donc...". Comme si c'était logique !
Jeu de mots douteux. Dans les Balkans, les Kosovars sont exaserbés.
Poème d'amour. Sans titre.
" Je rêve d'une autre
femme
À grands coups de reins captivants
Belle salope aux yeux
noirs
Se remplirait la cramouille,
Aux seins blancs polis
d'ivoire.
Offrant son cul épanoui
En guise
d'oriflamme
À une autre queue plus souple
Elle montrerait son ventre
sombre Se
faufilant dans sa croupe.
Aux poils drus sans
limites
Et quand elle aurait joui
Pour y loger des
bites
Se branlerait encore
Raides comme des
concombres.
S'enfilant d'une main ferme
Elle se les mettrait jusqu'aux
couilles Toute enduite de
sperme
Accroupie sur le
divan
Une autre bite prête à l'effort.
voici un dessin de
Sicomoro. C'était la première page d'une aventure érotique intitulée "Anna" et qui était parue dans la revue
bdadult' il y a un ou deux ans (revue aujourd'hui malheureusement
disparue des kiosques !)
Par michel koppera
-
Publié dans : au jour le jour
0
Samedi 19 janvier 2008
6
19
/01
/Jan
/2008 13:53
Subjonctif. " Encore eût-il fallu que je t'enfilasse mon thermostat dans la culasse."
Petite histoire.
Dans la rue, trois chiens parlent de leur vie quotidienne. Le premier est américain, le second russe et le troisième chinois. Ils en arrivent au chapitre de la nourriture.
- Moi, dit le chien américain, quand j'ai faim, j'aboie et mon maître m'apporte una gamelle de viande.
- Bien, dit le chien russe, mais juste une petite question : c'est quoi de la viande ?
- Et moi, continue le chien chinois, j'aimerais savoir ce que ça veut dire aboyer.
Haïku.
"Puis la mer se brise
À l'ombre des sémaphores
Surdes rochers pâles."
Périphrase.
Pour se branler, l'homme secoue la salière.
Social.
Reprise du travail, comme d'une chaussette. Ce n'est qu'un cache-misère.
Par michel koppera
-
Publié dans : au jour le jour
0
Vendredi 18 janvier 2008
5
18
/01
/Jan
/2008 16:33
Nouveauté. Je viens de créer aujourd'hui un nouvel album photo avec des images trouves sur internet, au fil des
navigations. L'album intitulé "album insolite porno" est essentiellement composé de photos étranges( pénétrations extrêmes, dilatations vaginales ou anales, performances lubriques...) Certes il
est évident que certaines de ces images sont bidon mais ce n'est pas ça qui importe, mais leur forte charge fantasmatique... On est là pour fantasmer, pour s'évader du quotidien. Si de
votre côté vous avez des images, n'hésitez pas à me les envoyer à mkoppera@wanadoo.fr. Je complèterai
régulièrement cet album pour le plus grand plaisir de vos yeux...
Jardin. Sur la pelouse, la taupe dépose un peu du sang de la terre.
Maison. Une araignée noire traverse le mur blanc, en ligne droite, comme une tache d'encre sur la page de mes angoisses.
Voyage. Le monde des îles : une collection de poche.
Métaphore. Les amants se nouent et se dénouent comme des lacets. Il se nouent avec le plus grand soin, mais se dénouent dans l'indifférence, sans y penser.
Haïku.
" Blanche de désir,
Enroulée sur ellle-même,
Mon amour s'endort."
un tableau de Courbet pour la nuit...
Par michel koppera
-
Publié dans : au jour le jour
0
Jeudi 17 janvier 2008
4
17
/01
/Jan
/2008 20:32
Miévrerie. Il y a quelques années, j'écrivais ces quelques mots à la femme dont j'étais alors éperdument amoureux : " Ce matin, tu es belle
et douce comme une île de la Mer Ionienne, Képhalinnia, aux rivages somptueux, aux plages secrètes où je jette à jamais l'ancre du voilier de mon coeur." Aujourd'hui, je serais plus
prosaïque, et je lui enverrais ce texto : " RV chez moi. Vi1en string et porte-jartel kon baiz un max." Car en vérité, cela se passait comme ça.
Hiver. C'est la froidure. Froidure de la terre gelée, du ciel étoilé, des vêtements de glace du matin, du lit abandonné, de la cheminée à la gueule de cendre.
Citations. En épilogue du film Cobra Verde de Werner Herzog, cette phrase :" Les esclaves vendront leurs maîtres et il leur poussera des ailes." Et dans le film
Zanzibar, cette autre phrase :" Avoir envie, ce n'est pas forcément avoir besoin." ( à propos, quelqu'un peut-il me rappeler qui est le réalisateur de ce film ? )
Exercice de style ( à la manière de Raymond Queneau). Science-fiction.
" À la conjoncton des trois soleils, à bord de la navette spatiale Sigma, j'ai vu un humanoïde, mutant de girafe interstellaire qui portait un casque galactique entouré d'une antenne temporelle
sinusoïdale. L'humanoïde envoyait des injures téléscopiques à un extra-terrestre qui, soit-disant, lui brouillait les ondes corporelles à chaque arrêt sur les satellites de Saturne.
Deux secondes-lumière plus tard, j'ai vu cet humanoïde en suspension devant une station orbitale. Il échangeait des messages galactiques avec un clone à propos de l'emplacement d'une capsule
électronique sur sa combinaison hydrofuge."
Enfin, pour ne pas perdre de vue que vous êtes sur un site "pour adultes", voici deux dessins où l'on peut constater que si l'on est venu d'un "autre monde", on n'en est pas
moins un être de sang et de chair... ( le premier dessin, celui de la belle passante humanoïde, est de Riverstone )
Par michel koppera
-
Publié dans : inédits
0
Mercredi 16 janvier 2008
3
16
/01
/Jan
/2008 17:28
Quatrain inconvenant.
Exploit.
Gabriel, ce grand salaud
Qui se branle à Granville
Eclabousse Saint-Malo
De son sperme futile.
Fable. Un vieux loup solitaire en mal d'amour dit au Petit Chaperon Rouge:" Tire la bobinette !" Il crut se la faire. Mais la chevillette chut et son coup foira. Moralité : chez les
vieux loups solitaires, l'appétit ne vient pas toujours en mangeant.
Sommeil. Nuit de verre où les rêves tintent comme du cristal.
Sécheresse. L'arbre assoiffé perd ses feuilles comme des cheveux blancs qui restent accrochés dans le peigne du soleil.
Hiver. C'est le temps des oranges, des soleils domestiques qui éclairent la table.
Poème d'amour. ( à une amie perdue )
Au
paddock
Comme une page bleue
Les chevaux se
reposent Les
draps sont ouverts
Les hommes y font des choses Sur les corps généreux
Ad
hoc
Des amants solitaires
S'ils ne sont pas trop émus On se
lisait la peau
Ni
amoureux
Et les lèvres
Trop
fiévreux Une
heure brève
D'un désir qui les
tue
Jusqu'au dernier mot.
à propos de paddock, voici en cadeau un très beau dessin érotique signé jean-Marie Poumeyrol intitulé "l'écuyère"
Par michel koppera
-
Publié dans : au jour le jour
0
Lundi 14 janvier 2008
1
14
/01
/Jan
/2008 16:33
Dernière nouvelle du recueil, Annie Grosses-Loches présente une jeune mère de famille dotée, comme son nom l'indique d'une très grosse poitrine.
Elle partage pendant quelque temps la vie du narrateur qui en brosse un portrait à la fois ironique et tendre.
" Annie avait le con tellement
large qu'elle ne sentait presque rien quand elle baisait. Elle avait toujours été comme ça, même avant d'avoir Juju. Elle s'était résignée à
se faire fister, mais elle trouvait ça plutôt dégradant. Avec une petite noix de vaseline, je lui mettais la main entière dans le vagin et je lui caressais le col de l'utérus. Parfois, elle
arrivait à jouir. "
" Quand elle était bien disposée, Annie acceptait une branlette espagnole.
- Si tu y tiens ! disait-elle un sein dans chaque main. je ne vois vraiment pas ce que tu y trouves de si excitant.
- Ca te gêne ? Tu sais, tu n'es pas obligée..
- Je sais. Tu le faisais avec ta femme ?
- Jamais ! Elle n'était pas assez libérée pour ça.
- vas-y, prends ton temps. Quandtu sentiras que ça vient, préviens-moi pour que tu me jouisses dans la bouche."
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Lundi 14 janvier 2008
1
14
/01
/Jan
/2008 08:17
Gisèle est institutrice dans une petite ville de province. À plus de 35 ans, elle est encore célibataire et sous l'emprise d'une mère possessive. Dans la
nouvelle, elle se décide enfin à rencontrer un homme : ce sera le patron du garage qui a réparé sa voiture en panne. Si l'homme pense dans un premier temps qu'il a touché le
jackpot, on verra à la fin de cette histoire que tomber entre les griffes de Gisèle peut être fatal. Dans le passage qui suit, elle évoque son inittiation à l'art de la masturbation
:
" À vingt-deux ans, Gisèle perdit enfin sa virginité à
l'aide d'une petite courgette du jardin, encore chaude du soleil d'août. Ensuite, au fil des années, elle avait tout essayé : les bananes, les carottes, les courgettes encore mais de plus en plus
grosses, les concombres, les aubergines - très agréable, les aubergines !- et même les épis de maïs et les pieds de poireau, surtout la varité appelée "monstrueux de Carentan" ! Mais aussi, en
cas d'urgence, les petites bouteilles de Coca, les flacons de shampoing, les goulots de bouteilles de vin, enfin tout ce qui ressemblait de près ou de loin à une
bite..."
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Dimanche 13 janvier 2008
7
13
/01
/Jan
/2008 18:50
Le narrateur reçoit la visite inopinée de Fabienne, une jeune femme un peu perdue. Tard dans la nuit, elle lui raconte la mésaventure qui lui est
arrivée quelques mois plus tôt, une nuit, sur une route isolée du Maroc où des compagnons de voyage l'avaient laissée entre les griffes de policiers véreux afin d'échapper à une forte
amende. Elle raconte alors comment elle s'était retrouvée en compagnie des policiers dans le fourgon de police :
" C'est le chef qui est passé le premier, celui qui avait le plus de
barrettes à son uniforme. Lui, c'était pas vraiment un problème. Pas bavard, le type, mais plutôt beau mec : la quarantaine cheveux noirs, moustache, torse musculeuux, bien bâti, avec des mains
aux doigts secs mais légers. Une belle bite avec ça ! Moi, j'ai rien contre les mecs circoncis. Au contraire, ça peut éviter de mauvaises surprises. Il a fait son truc dans les règles, avec calme
et méthode. Je l'ai sucé, il m'a baisée, point barre ! Rien que du classique. Ah si, j'allais oublier : il m'a léché la chatte, un peu, juste avant de me la mettre au fond. Peut-être qu'il avait
peur que je ne sois pas mouillée, ce en quoi il se trompait complètement : j'étais déjà trempée. Il m'a prise sur la banquette, en me tenant fermement les hanches pour bien s'enfoncer. Je n'ai
pas senti grand-chose, comme d'habitude : je suis trop large, et puis, j'étais tellement excitée que j'avais le vagin tout huileux. Pour jouir, il a ressorti son engin et m'a balancé son sperme
sur le nombril. Ca a fait comme une petite mare blanche et visqueuse sur mon ventre."
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Samedi 12 janvier 2008
6
12
/01
/Jan
/2008 09:43
Jane est une jeune femme étrange, mariée trop jeune et sans amour véritable, qui cherche sa voie. Elle croit pouvoir se réaliser par le
travail et l'ascension sociale. Dans ce but, elle entreprend des études de philosophie qui l'amènent à faire la rencontre avec son "maître à penser", un certain Auguste qui l'initie certes à la
philosophie, mais aussi à la "philosophie dans le boudoir" du divin marquis de Sade. Ils passent aux travaux pratiques :
" Qu'elle était grosse la bite d'Auguste ! Si grosse qu'elle lui emplissait la bouche. mais rien n'était plus délicieux
que de masser ses couilles poilues, de fourrager dans le buisson de son entrefesse. Pendant ce temps, il lui lapait la fente, lui fouillait la chatte de sa langue experte, lui caressait
l'intérieur de ses cuisses avec sa barbe épaisse. Plus tard, il la faisait s'agenouiller au bord du lit :
" Ecartez le derrière, un peu plus, afin que chaque secousse de la tête de mon vit touche au trou de votre cul...Oui, c'est cela ! Allons, préparez-vous madame : ouvrez ce cul sublime à mon
ardeur impure..." Car, c'était à cela qu'elle s'initiait, à la jouissance par le cul. Les premières fois, Auguste usa de beaucoup de pommade et de diplomatie. Jane en grimaçait de douleur,
mais jamais elle ne renonça. Il la tenait fermement par les hanches, labourant la béance obscure de ses muqueuses huilées, grognant, ahanant et soufflant fort, comme un bûcheron au
labeur."
encore un superbe dessin de Hugdebert, décidément le meilleur du genre
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Jeudi 10 janvier 2008
4
10
/01
/Jan
/2008 18:24
Dans cette nouvelle, le narrateur est un salarié d'une multinationale du BTP envoyé en mission dans l'archipel des Comores, sur l'île d'Anjouan. Arrivé seul,
sa femme devant le rejoindre plus tard, il ne tarde pas à succomber à la tentation et prend pour maîtresse, une jeune femme noire nommée Inchati. Avec elle, il découvre tout un univers de
sensualité inconnue, mais pas sans danger comme il le découvrira à ses dépends mais trop tard.
" Nue, Inchati avait la
beauté d'une statue : des épaules frêles et délicates, des seins en poire aux larges aréoles avec des tétons grenus, un ventre plat, une chute de reins très cambrée, un fessier haut perché
et arrogant, des jambes fines et musculeuses, un bas-ventre intégralement épilé, une peau douce et chaude comme du velours... [...]
Je la baisais dans toutes les positions, sans jamais me lasser du spectacle de ma queue blanche plantée au coeur de son sexe de femme noire. Mais mon
plaisir favori, c'était de l'enculer. Et tout en regardant ma bite plantée entre ses fesses ouvertes, je lui parlais à voix basse
:
- Tu la sens bien, ma grosse queue dans ton cul ? Remue tes fesses, Inchati, n'arrête pas de remuer tes fesses !"
Par michel koppera
-
Publié dans : lectures x
0
Derniers Commentaires