Mardi 8 janvier 2008 2 08 /01 /Jan /2008 16:21

Le narrateur qui est parti faire sa vie de l'autre côté de l'Atlantique, apprend la mort de son oncle Robert. Il se rend aux obsèques et y retrouve une lointaine cousine. Il se trouve qu'il doit partager avec elle un héritage bien insolite. Evidemment, leurs retrouvailles iront plus loin que prévu....
       " Je m'assis à ses côtés et posai la main directement entre ses cuisses qu'elle écarta complaisamment. C'était bien ce que je pensais : elle était quasiment nue là-dessous, avec juste un string mauve qui lui cachait à peine la touffe. Les poils de sa chatte étaient longs et soyeux. Florence était déjà trempée de désir. (...)
       Avec les moyens du bord, ma bite, ma bouche et mes doigts, je me suis employé à lui procurer les plaisirs qu'elle me réclamait. Je ne sais si c'était l'évocation de nos vacances passées, les effets de la cassette vidéo, ou plus simplement un manque de luxure au quotidien, mais Florence en voulait. Elle commença par me gratifier d'une bonne pipe, comme pour me prouver qu'elle n'avait rien perdu de ses talents d'adolescente. Je retrouvai de lointaines sensations. Mais, depuis, Florence était devenue une femme mûre, avide de sexe plus hard, sans ménagement. Alors, elle se laissa lécher la chatte et le cul, se prêta volontiers aux jeux de doigts dans le vagin et l'anus, se fit baiser et enculer sans réticence. Elle avait les hanches généreuses, les tétons tojours aussi pointus, les seins lourds et la vulve huileuse. Elle m'encourageait des fesses et de la voix :
     - Vas-y Michel, mets-la bien au fond, que je sente que ta bite me remplisse le con ! Oui, comme ça, plus vite ! Non, ne t'en va pas, pas encore.
.."  
l-heritage.jpg

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Lundi 7 janvier 2008 1 07 /01 /Jan /2008 09:50

Le narrateur qui est employé au tri postal rencontre fortuitement une de ses anciennes professeurs dans un bar de nuit. La femme l'invite à passer le lendemain après-midi prendre le thé chez elle. Elle est veuve... L'alcool aidant, la visite de courtoisie tourne vite à la partie de cul :
" La croupe en l'air, madame Cabard agitait les bras et chechait de nouveau à saisir ma queue. Elle m'a empoigné avec autorité et attiré vers son cul Elle n'a pas eu besoin de lubrifier la collerette déjà visqueuse : j'ai tout enfoncé d'un coup, jusqu'à ce que l'anneau de sa chair dilatée vienne toucher mes couilles. Dans son intestin, la chaleur était intense. J'en ai totalement oublié que j'étais en train d'enculer une femme laide et ivre morte. En ces instants, elle n'était plus qu'un cul avec ma queue plantée en plein milieu, une vulve où je glissais quatre doigts pour baratter la sève de son désir. madame Cabard rugissait avec force, contractait violemment ses sphincters sur ma bite de marbre...
 Lorsque je lui ai tout lâché dans le boyau, elle a continué à s'agiter en attendant de toucher elle aussi au sommet de son plaisir."
 
l-heure-du-the.jpg  

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Dimanche 6 janvier 2008 7 06 /01 /Jan /2008 10:57

Dans cette nouvelle, le narrateur, cadre dans une grande entreprise, est envoyé en mission de remplacement dans une sucursale de province, en plein hiver. C'est la galère, jusqu'au dernier jour où bloqué par la neige, il ne peut reprendre la route de la ville. Il est amené à dormir chez une vieille fille célibataire au fessier rebondi qui va se révéler une amante insatiable :
     " Me reprenantt en main, elle m'entraîna par la bite vers sa chambre discrètement éclairée par une petite lampe de chevet qui laissait plus deviner qu'elle ne dévoilait les tendresses du lit.
       En deux mouvements, elle a quitté sa robe de chambre et relevé des deux mains sa chemise de nuit bien au-dessus de sa taille. Elle a tourné deux ou trois fois sur elle-même, dévoilant tantôt son ventre rond, ses cuisses grasses, sa touffe drue, tantôt sa croupe rebondie où les deux globes laiteux de ses fesses étaient séparés par un sillon profond et sombre qui se perdait dans les méandres de sa chair... Par devant, par derrière ? À votre convenance !
       J'ai choisi l'envers du décor et, comme je la poussais doucement vers le lit, elle s'est laissé lentement basculer vers l'avant. Le buste sur les draps, jambes écartées, elle est restée comme suspendue, le cul en l'air, à m'offrir la fascination de sa croupe de matronne."
 

illustration de Peter Fendi, le grand spécialiste des femmes callipyges.
la-succursale.jpg

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Samedi 5 janvier 2008 6 05 /01 /Jan /2008 11:19

Dans cette nouvelle, le narrateur est un jeune professeur de mathématiques qui est le souffre-douleur de sa directrice. Grâce à une lotion à l'androstérone, il parvient à la séduire, du moins attribue-t-il son succès à ce produit miracle.
     " Madame Rougerie reposa le téléphone et d'un coup de reins m'engloutit tout entier. j'eaus l'impression de m'enfoncer au coeur d'un essaim de méduses chaudes, perpétuellement agitées de spasmes langoureux. C'était doux et visqueux.
      Nous étions chevillés l'un à l'autre. moi debout, elle allongée perpendiculairement qui me retenait dans l'étau de ses cuisses. je lui caressais les seins et le cou. De temps à autre, je passais une main impertinente sous ses fesses pour lui exciter l'anus qu'elle avait fort dilaté et trempé. Elle continuait inlassablement de se branler le clitoris tout en serrant les dents pour contenir ses gémissements de plaisir.
     Elle jouit une première fois, souffle bloqué, corps tendu.
    - Attendez, souffla-t-elle en s'écartant pour fouiller dans la pile de papiers au coin du bureau.
    Elle s'empara d'un formulaire officiel et, tout en me branlant de la main gauche, elle commença à rédiger :
    Appréciation générale : professeur qui a fait ses preuves professionnelles. Consciencieux et efficace, M. Legoff donne entière satisfaction. Note proposée : 30 sur 40 

   - Signez, s'il vous plaît ! dit-elle en glissant la feuille vers moi.
sciences-naturelles.jpg

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Vendredi 4 janvier 2008 5 04 /01 /Jan /2008 09:57

Troisième nouvelle du recueil, "Coeur croisé" raconte l'initiation d'un adolescent aux jeux de l'amour. Cet apprentissage se fait en compagnie d'une jeune fille d'un an sa cadette. Plus jeune certes, mais plus délurée. Dans l'extrait qui va suivre, elle initie le narrateur à la pratique du 69.

   " Quelques contorsions plus tard, je n'avais plus devant les yeux que les globes de ses fesses blanches, réunies par un sombre vallon. On a coutune de dire que les premières fois sont inoubliables, et on a raisn. Plus, ce sont les fondations mêmes de notre mémoire. Comment ne pas se souvenir de la saveur si particulière de son fruit exotique, juteux et tendre ? Comme l'impression de plonger à pleine bouche dans la pulpe intarissable d'une mangue dénoyautée, d'une papaye égrenée... Plus rien d'autre n'existait. Rien, sauf ces sensations inconnues, au bas de mon ventre, où je me devinais palpé, caressé, léché, absorbé... Chaleur intense de ses lèvres en fourreau et frémissement de ses cheveux déployés sur mes cuisses et mon ventre nus. Malgré ses quatorze ans, elle engloutit sans hésiter toute ma jouissance qui s'écoula dans sa bouche juvénile." 
coeur-croise.jpg  j'ai perdu le nom de cet illustrateur. Si quelqu'un le connaît, merci de me l'indiquer.

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Jeudi 3 janvier 2008 4 03 /01 /Jan /2008 10:01

Seconde nouvelle du recueil, "la bibliothèque rose" met en scène un couple et leur femme de ménage. Dans l'extrait qui va suivre, le mari regarde par une sorte de guichet dérobé les deux femmes en train de se caresser.
    " La femme de ménage esquissa une vague résistance, mais Valérie avait déjà pris possession de son ventre moite. Ses doigts caressants fouillaient dans le sombre buisson. La femme de ménage poussa un gémissement, ses jambes fléchirent. Elle avait fermé les yeux.
     Valérie lui saisit la main et la guida jusqu'au centre brûlant de son désir.
    Elles en tremblaient toutes les deux. Valérie l'entraîna sur la moquette épaisse, posant ses lèvres sur sa bouche, sur ses seins lourds, entre ses cuisses ouvertes. De l'autre côté, je jouissais sans discontinuer, flot après flot.
    Maintenant intégralement nues, elles s'embrassaient ave passion, jambes nouées, sexe contre sexe, vulve à vulve, ventousées l'une à l'autre, mêlant leur fièvre et leurs halètements..." 


biblioth--que-rose.jpg dessin de Hugdebert, un des maîtres du genre

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Mercredi 2 janvier 2008 3 02 /01 /Jan /2008 13:59

Pour commencer l'année, je vais vous présenter quelques extraits choisis des nouvelles qui constituent le recueil "Body Gym" paru en août 2007 aux éditions Le Cercle. Chaque extrait des 13 nouvelles de l'ouvrage sera accompagné d'une illustration (dessin ou photo). Je m'excuse par avance auprès des illustrateurs dont j'utiliserai les dessins sans référernce à leur auteur ( références perdues ).
Voici donc le premier extrait, issu de la nouvelle 'Body Gym" qui a donné son nom au recueil.

" Ca faisait longtemps que je n'avais pas fait ça en plein jour. J'en ai profité pour me gaver les yeux de sa chatte. Je l'ai regardée partout, écartant les lèvres pour voir à l'intérieur, comme si je voulais la pénétrer avec un périscope, jusqu'au fond. J'y ai mis les doigts, j'y ai enfoncé la langue, mêlant ma salive aux sécrétions visqueuses qui coulaient de sa vulve empourprée. ma bouche glissait aussi entre ses fesses où je lapais sa vallée culière sur toute sa longueur, du périnée au bas des reins, pointant un bout de langue curieux dans le trou de son cul dilaté."
body-gym-1.jpg

 

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Dimanche 30 décembre 2007 7 30 /12 /Déc /2007 10:31
Météo. La tempête pèle les toits, comme des poissons dont elle éparpille les écailles dans les jardins détrempés.

Visite. Il arrive chez elle comme dans un cimetière, avec des fleurs.

Botanique. Il paraît que la fleur du rosier est une souffrance. Et ta fleur, ma compagne ? Ta fleur pourpre, épanouie et montée sur tiges...

Inédit. Quatrain ibérique.
Toréador qui n'a pas la trouille
Au taureau qui le menace
Balance dans les couilles
Un grand coup de godasse.




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Samedi 29 décembre 2007 6 29 /12 /Déc /2007 11:42
Retour au clavier après quelques jours ailleurs.

Nombre. Dioclétien s'allonge entre deux inconnues : DXIX. C'est le 69 romain ?

Pâtisserie. Charlotte se trempe un biscuit cuiller dans la raie culière.

Mal de tête. J'ai le cerveau noué de coliques persistantes.

Rêve. Après la chasse, une fois le gibier tué, le chasseur aimerait le voir se relever, s'enfuir et redevenir inaccessible et lointain.

Communication. Au téléphone, on se regarde pendant les silences. Et la friture sur la ligne, ce sont d'imperceptibles battements de paupières.

Géométrie. L'élève démontre que le triangle est équatorial
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Vendredi 21 décembre 2007 5 21 /12 /Déc /2007 16:46

À tous les visiteurs du blog. Demain, c 'est le départ vers le nord avec femme, enfants et chat pour quelques jours en famille ( noel oblige)Je serai donc quelques jours absent ( retour en fin de semaine).En attendant, je vous livre la plus belle vulve qu'il m'ait été donné de voir. Vulve splendide, onctueuse et généreuse. Dans l'Ecole des Femmes, Arnolphe aurait pu lui adresser ces vers :
"Sans cesse, nuit et jour, je te caresserai,
Je te bouchonnerai, baiserai, mangerai, 
Tout comme tu voudras tu pourras te conduire.
Je ne m'explique point, et c'est cela tout dire."
Acte V, scène 4

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C'est la vulve d'Hélène. N'est-elle point magnifique ? Allez bon Noël à tous et à bientôt

 

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