Mercredi 7 mai 2008 3 07 /05 /Mai /2008 15:00
Quatrain n° 34.
Nadine D. 30 ans, mariée, 1 enfant. Petite poitrine, aréoles peu sensibles. Peau mate, un peu grenue. Sexe aux poils noirs, rêches et piquants comme une barbe. Chatte assez étroite au début, mais qui s'élargit à mesure que monte l'excitation. Sécrétions abondantes et liquoreuses. Adore visionner des films porno, les séances de photos X, les gadgets érotiques ( godes en particulier). Porte de la lingerie sexy. Se laisse prendre par tous les trous, adepte de la double pénétration. Aime le sperme et s'en barbouille le ventre. Infatigable suceuse de bites. ( voir photo ci-jointe)

Nadine adorait le sandwich
Une dans le con, l'autre dans le cul,
Elle jouissait à bouche-que-veux-tu
Et se beurrait de foutre les miches.

Quatrain n° 35.
Samyra, toute jeune beurrette,
Pour moi seul prenait la pose,
Me montrait sa tendre craquette
Et beaucoup d'autres choses.
( photo jointe)

Quatrain n° 36.
Nadia C. Gros seins très sensibles. Soupire et ferme les yeux de bonheur, inonde sa chatte dès qu'on lui touche les mamelons. Parvient à l'orgasme par simple léchage des tétons. Peau de métisse, mate et épaisse.. Sexe aux poils châtains, très fins et mousseux. Petite touffe, entrefesses dépourvu de poils. Chatte à la saveur épicée. Inexpérimentée malgré ses 26 ans. Ne sait pas sucer et se laisse lécher la chatte sans vraiment comprendre ce qui lui arrive. Mouille abondamment. Jouit en gémissant et en serrant très fort les cuisses.
Nadia, superbe métisse,
Me fit souffrir l'enfer
Elle était nue, toute lisse,
Telle un galet roulé par la mer.
Par michel koppera - Publié dans : inédits
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Lundi 5 mai 2008 1 05 /05 /Mai /2008 18:19

Paru en 1988 aux éditions du Seuil, ce court roman est à coup sûr un chef d'oeuvre. Rien à dire de plus, sinon d'en citer un court extrait qui sera suffisant pour vous en faire comprendre toute la richesse sensuelle : pages 74 à77 de l'édition de poche.

         " Je me levai, m'agenouillai jambes ouvertes au-dessus de sa tête. Sans me mettre à portée de son visage, j'écartai de mes deux mains mes grandes lèvres, lui fis regarder ma vulve, longtemps.
      Puis je la caressai lentement, avec un mouvement tournant, de l'anus au clitoris.

      J'aurais voulu des ciels gris où l'espoir se concentre, où les arbres en tremblant tendent leurs bras e fée, des songes capricieux emportés dans les herbes embrassées par le vent, j'aurais voulu entre mes cuisses sentir le souffle immense des millions d'hommes de la terre, j'aurais voulu, regarde, regarde bien ce que je veux... 
       
      J'enfonçai mes doigts gauches dans mon vagin, continuai à frotter. mes doigts ne sont pas mes doigts, mais un lourd lingot, un gros lingot carré fiché en moi, éblouissant d'or au plus noir de mon rêve. j'allais de plus en plus vite des deux mains ; je chevauchai l'air convulsivement, jetai la tête en arrière, jouis en sanglotant sur ses yeux. ( ...)
       

Quand je me réveillai contre son sexe, je le pris dans ma bouche, l'aspirai plusieurs fois de la langue, le sentis gonfler, toucher au fond de ma gorge. Je massai ses bourses, les léchai, revins à sa verge. Je me la mis dans le creux de chaque oeil, sur le front, sur les joues, contre le nez, sur la bouche, le menton, dans le cou y posai la nuque, la coinçai entre mon omoplate et ma tête penchée, dans mon aisselle, dans l'autre, la frôlai de mes seins jusqu'à les en faire presque jouir, y frottai mon ventre, mon dos, mes fesses, mes cuisses, la serrai à l'intérieur de mes bras et de mes jambes pliés, y appuyai la plante du pied, jusqu'à en garder l'empreinte sur tout mon corps.
          Puis je la remis dans ma bouche et la suçai très longuement, comme on suce son pouce, le sein de sa mère, la vie, pendant qu'il gémissait et haletait, toujours, jusqu'à ce qu'il éjacule, dans une plainte aiguë, et que je boive son sperme, sa sève, son don."
 

Les trois derniers dessins sont évidemment de Georges Pichard, l'indispensable illustrateur des aventures de la gironde Paulette.

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 5 mai 2008 1 05 /05 /Mai /2008 11:07
Quatrain n° 31. Bénédicte
Bénédicte la grande
La main entre les cuisses
Et les doigts en coulisse
Me demandait : " Tu bandes ? "

Quatrain n° 32. Anncik S*. Divorcée, 1 enfant ( quatrain assez méchant, et sans doute injuste )
Très grosse poitrine, un peu grasse. Elle aimait se faire lécher les mamelons. peau blanche et veloutée. Sexe aux poils blonds, assez longs et raides. Entrefesses peu poilu. Grosse chatte grasse, profonde, large, très élastique. Saveur huileuse. Aime regarder les films et les revues pornos. Suce très bien, et apprécie qu'on lui rende la pareille. Se laisse aussi bien fister que sodomiser ou baiser. Aime sentir le sperme lui gicler dans le vagin ou le rectum... Jouit en gémissant et en écartant très largement les cuisses pour être pénétrée au plus profond.
Annick hoche-queue
Aux grosses mamelles
Et petite cervelle
Qui disait "malgré que..."

Quatrain n° 33. Françoise E*. Divorcée, 1 enfant.
Enorme poitrine, imposante, avec de tout petits mamelons. peau très blanche. Sexe peu poilu, avec des poils châtains clairsemés. Entrefesses glabre. Chatte étroite et insipide. Baise sans beaucoup bouger, assez passivement. Jouit en se faisant caresser l'anus. Se livrait à d'autres plaisirs plus insolites... 
Françoise à la poitrine laitière
Se faisait lécher la chatte
Par sa chienne familière
Tout en me suçant à quatre pattes.


Par michel koppera - Publié dans : inédits
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Mercredi 30 avril 2008 3 30 /04 /Avr /2008 15:43

Acariens. Le pou d'agouti, si petit mais si grand appétit

Passage à l'Euro

. Avant en Guyane, une passe c'était 200fr. Maintenant c'est 30 €. Le sida ( ou au mieux l'herpès) à 30 €, ça fait pingre... Et le préservatif à même pas 30 centimes ! A ce prix-là, ça n'inspire pas confiance... Moi, je me méfierais : sans doute de la camelote !

Grattage. Elle gratte et se gratte. À coups de pièce de monnaie, ou des deux doigts, parfois même en se pompant avec un gode. À chaque fois, l'espoir de décrocher le gros lot.

Ethnologie. En Guyane, les femmes n'ont pas froid aux yeux, ni nulle part ailleurs.

Ethnologie encore. Que reste-t-il des Indiens d'Amazonie ? Des lambeaux de mémoire, une indicible souffrance masquée par le silence et une paresse tenace. Ils s'abreuvent de bière et de tristesse.

Pub. Le bonheur, c'est simple comme un coup de fil. Le malheur aussi...

Société. À la plage, les femmes s'exhibent, les ados s'inhibent, les hommes s'imbibent.

Zoologie. " Vous savez, dit la pie, je cause, je cause, mais c'est sans conséquence !"

Vie de famille : Déménager, cela ressemble à un verbe d'adultère. On change d'adresse comme si on divorçait.

Comptine. " Baisons-ci, baisons-là, lève la queue et puis s'en va. Ne jamais sous-estimer la queue du chat."


Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Lundi 28 avril 2008 1 28 /04 /Avr /2008 17:16

       Quatrain n° 24.                                                                               Quatrain n° 25
Maryvonne la secrétaire                                                           Brigitte en tailleur tulipe
Me montrait la blondeur                                                            Relevé sur la chaise
De son cul en chaleur                                                                 Attendait que je la baise
Et s'envoyait en l'air.                                                                  En écartant son slip.

Double quatrain pour Michèle n° 26 et 27.
Michèle E*, mariée, 1 enfant. Poitrine ronde aux mamelons petits et durs. Aime bien qu'on lui morde les tétons. Peau très douce, presque onctueuse. Sexe aux poils noirs, courts mais drus. Entrefesses sans poils. Sécrétions vaginales très amères, comme l'odeur de son sexe. Chatte assez étroite, pénétration parfois laborieuse. Une vraie chienne. Rêve et ne parle que de se faire enculer, mais ne peut pas car ses muqueuses anales sont trop fragiles, ce qui la frustre  si bien qu'elle se laisse avilir pour une grosse bite. Drague parfois en voiture autour des boîtes de nuit. Jouit en fermant les yeux et en bloquant tout. Mord et griffe pendant l'orgasme, pleure parfois aussi. Buvait et fumait beaucoup trop.

Michèle sous la pinède                                       Michèle fumait des gauloises vertes
La chatte déjà moite                                            Et vidait les bouteilles de vin
Regardait ma queue droite                                  Le cul nu, le ventre en alerte,
Devenir plus que raide.                                       À la recherche de l'orgasme divin.

Quatrain n° 28.                                                     Quatrain n° 29
Brigitte la plus belle                                            Marinette en chemise
Nue sous la soie verte                                         À l'heure du café
Dansait les cuisses ouvertes                              Me laissait décoiffer
Où je léchais le miel.                                           Son poil noir qui frise.

Quatrain n° 30
Catherine C* mariée, 1 enfant. Petite poitrine à peine formée, aux mamelons très durs. Jambes sublimes. Peau très blanche. Sexe très étroit, poils peau abondants, mousseux. Chatte fine, mais très savoureuse. Sécrétions sucrées. Pénétration un peu difficile, mais une fois en place, ma queue est bien calée, prise dans un fourreau de velours. Se laisse enfiler deux doigts dans le cul en baisant. Aime toutes les positions. Jouit en bavant, la bouche entrouverte, pendant que son vagin se contracte en cadence.

Catherine aux jambes fuselées 
Aux fesses si haut suspendues
M'ouvrait sa croupe ensorcelée
Et m'astiquait la bite tendue.
  


Il est évidemment inutile de présenter Aslan, l'auteur de ces dessins qui ont fait pendant des décennies le bonheur mensuel des lecteurs de Lui  (ce dessin me rappelle Maryvonne...)                        

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Vendredi 25 avril 2008 5 25 /04 /Avr /2008 19:20

     Bien que peu sensible aux textes de Sade, je dois reconnaître que si je devais en garder un, ce serait celui-là. En effet, le récit de Juliette paraît d'emblée plus spontané et plus "vivant" que les autres textes plus laborieux et parfois indigestes de Sade, je pense notamment aux "120 journées de Sodome" ou même à "la philosophie dans le boudoir" dont la renommée me semble un peu surfaite, tant à cause de l'emphase un peu prétentieuse de la langue que de l'alternance répétitive des discours moralisateurs et  tableaux fornicatoires. Rien de tout cela chez Juliette... Certes il y a des horreurs, mais cela reste presque joyeux, bon enfant... On ne se prend pas au sérieux.
      De tous temps, l'oeuvre de Sade a inspiré les illustrateurs. Pour accompagner l'extrait que je vous ai sélectionné, j'ai choisi quelques images de la bande dessinée de Philippe Cavell et Francis Leroi, intitulée "Juliette de Sade", parue en 1979 dans la collection Vertiges bulles  ( éditions Dominique Leroy, Paris)
    Le passage choisi est tiré de l'édition parue 10/18 n°446-447 parue en 1969, page 111.On y retrouve Juliette en compagnie de la supérieure Clairwill qui va l'initier au vice et à la volupté. Il va de soi que tout cela se passe dans un couvent, haut lieu de fantasmes et de sexualité débridée, bien dans l'esprit 18ème où toute religieuse ne peut être qu'une tribade en puissance.  


       " - Juliette, je t'adore, me dit Clairwill, faisons tout ce que tu voudras.
        Et mon amie fut aussi nue que moi; dans l'instant, nous nous examinâmes d'abord plusieurs minutes en silence. Clairwill s'enflammait à la vue des beautés que m'avait prodiguées la nature. Je ne me rassasiais pas d'admirer les siennes. jamais on ne vit une plus belle taille, jamais une gorge mieux soutenue... Ces fesses ! Ah Dieu ! C'était le cul de la Vénus adorée des Grecs : je n'en vis jamais de coupées plus délicieusement je ne me lassais point de baiser tant de charmes, et mon amie, se prêtant d'abord avec complaisance, me rendait ensuite au centuple toutes les caresses dont je l'accablais.
         - Laisse-moi faire, me dit-elle enfin, après m'avoir couchée sur l'ottomane, les cuisses très ouvertes, laisse-moi te prouver, ma chère bonne, que je sais donner du plaisir à une femme.
          Deux se ses doigts alors travaillèrent mon clitoris et le trou de mon cul, pendant que sa langue, enfoncée très avant dans mon con, pompait avidement le foutre qu'excitaient ses titillations. Je n'avais jamais,de ma vie, été branlée de cette manière ; je déchargeai trois fois de suite dans sa bouche avec de tels transports, que je pensai m'en évanouir. Clairwill, avide de mon foutre, changea , pour la quatrième course, toutes ses manoeuvres avec autant de légèreté que d'adresse. Ce fut un de ses doigts qu'elle enfonça cette fois-ci dans mon con, pendant qu'avec un autre, elle frétillait sur mon clitoris, et que sa langue douce et voluptueuse pénétrait au trou de mon cul...
      - Que d'art... que de complaisance ! m'écriai-je... Ah ! Clairwill, tu me fais mourir !
        Et de nouveaux jets de foutre furent le fruit des procédés divins de cette voluptueuse créature."     

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Jeudi 24 avril 2008 4 24 /04 /Avr /2008 09:28

Quatrain n° 20
Marie-Christine G*. Grosse poitrine ronde, peu sensible. Peau assez épaisse et très douce Sexe aux poils châtain foncé, très drus et assez étendus. Entrefesses poilu. Chatte large, très visqueuse. Ne suce pas, ne se laisse pas lécher. Aime dominer l'homme, c'est elle qui le chevauche. Jouit en silence, à grandes giclées de secrétions vaginales. Se branle le clitoris en baisant. Aime particulièrement qu'on lui éjacule sur la vulve, elle se malaxe les lèvres vaginales enduites de sperme. 
          
Marie-Christine m'embrassait
           Les doigts dans ma braguette,
           Le cul sur la banquette
           Se laissait renverser.
Quatrain n° 21
Jocelyne G *. Pas plus d'un mètre cinquante. Tout petits seins ronds, très sensibles. Peau très blanche. Sexe aux poils châtain clairs, très clairsemés sur le mont de Vénus. Fesses pommelées et fermes. Entrefesses glabre. Un peu maso. Aime les très grosses bites. S'empale dessus sans ménagement. Fente étroite, sèche à l'extérieur. Se fait enculer avec douleur et plaisir, avec juste un peu de vaseline au bord du trou. Elle jouit bouche ouverte, les yeux révulsés, en bavant un peu.
          

Jocelyne au pied bot
           Le cul déjà rempli
           Parlait philosophie
           Et c'était encore beau.
Quatrain n° 22

Dominique D*. Divorcée, 2 enfants. Petite poitrine, aux mamelons durs qu'elle aime qu'on mordille. Peau douce et blanche. Sexe aux poils blonds, plutôt clairsemés. Petite chatte, étroite, presque toujours sèche à l'extérieur, mais chaude et humide dedans. Entrefesses sans poils. Aime se faire lécher la moule, le cul et les doigts de pieds. Bonne suceuse aussi. Aime voir le sperme. Langage souvent obscène pendant l'amour. Aime se faire enculer et se voir dans un miroir baisée ou enculée. Jouit en criant presque, en gémissant, en se tortillant comme un serpent. Cou très rouge pendant l'orgasme.
          

 

Dominique quarante ans
           Redoutait la rouille
           Et me massait les couilles
           Avant, après, pendant.
Quatrain n° 23
ValérieL* Poitrine en poire, aux seins assez lourds. Quelques poils sur les aréoles. Peau mate. Sexe aux poils noirs, très abondants. Pilosité pubienne très étendue, poils fourni entre les fesses. Chatte odorante, chaude, gluante.Clitoris très sensible, lèvres vaginales gonflées. Aime la lingerie sexy, regarder des photos pornos de bites en érection, sa propre image ( se branle devant des miroirs). Assez exhibitionniste. Se branle avec tout : doigts, gode, légumes, poire de douche... Apparence timide, langage très réservé. Se laisse lécher la moule, le cul, mais pas sodomiser, mais apprécie quand même qu'on lui glisse un doigt dans le cul pendant qu'elle baise. Orgasmes en chaîne, jusqu'à 5 ou 6 à la suite. Contractions vaginales, doigts de pieds en éventail, souffle coupé... Aime qu'on lui éjacule dans la bouche, s'en barbouiller le visage, la vulve, le cul, les seins...  La plus grande des baiseuses. Unique !
            
Valérie au ventre noir
             S'ouvre des doigts le con
             Et s'enfile le piston
             En regardant le miroir.

Ces deux dessins de Martin Veyron évoquent certaines chaudes soirées en compagnie de Valérie, dans le salon, quand il faisait si froid dehors, surtout cette façon impudique de montrer son désir, par les gestes et par les mots...
 

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Mercredi 23 avril 2008 3 23 /04 /Avr /2008 09:49

     Réédité en 1978 par Eurédif dans la collection " Aphrodite Classique",n° 25,  Les Confessions d'un Cagot, sous-titrés "les errements d'un enfant pervers, d'après les papiers de monsieur de la ville aumonier des galères (1720)" raconte les mésaventures d'un jeune homme, membre malgré lui de la communauté des cagots. La préface de l'ouvrage présente ainsi les cagots : " Au début du 18ème siècle, on accusait les cagots d'avoir la lèpre mais, en général, ils étaient surtout les descendants d'hérétiques divers. Cagots en Gascogne, ils étaient appelés colliberts dans le Maine, le Poitou et la Saintonge, caqueux ou caquins en Bretagne, marrons dans le Centre. Tenus à l'écart des communautés urbaines, regroupés dans des "cagoteries", ils étaient obligés de porter une casaque rouge marquée d'une patte d'oie ou de canard. Ils n'étaient admis aux offices religieux que par une porte basse et dans un coin réservé, ne pouvaient prendre l'eau bénite qu'au bout d'un bâton. Ils ne pouvaient exercer que les professions de bûcheron ou de charpentier. Dépendant civilement et pénalement de l'Eglise, ils furent émancipés à la révolution de 1789."
Voici donc un extrait de l'ouvrage, pages 114-115 :
        " - Mon petit Pierrot, viens m'enculer.
          La Muller lui avait appris ce mot mais jusque-là, on s'en souvient, elle n'avait jamais voulu en venir à cette extrémité.
         - Bonne idée, dit l'Allemande, et pendant ce temps je vais te gamahucher assise en dessous  de toi entre tes jambes. mais d'abord, je vais oindre le vit de Pierrot de salive.
         Elle me suça donc, me mouillant abondamment, et je forçai le petit trou brun de Louison. Elle serra les dents sur la douleur que je lui causais puis gémit de satisfaction et donna de furieux coups de reins lorsque son plaisir approcha.
        - Va chercher ton simulacre, dit-elle à la Muller. Je veux que tu me l'imposes pareillement .
        - Mais il est du double, la prévint la gouvernante.
        - Ça ne fait rien. Je vais faire tête-bêche avec Pierrot. Et toi tu profiteras du moment où je serai en pâmoison pour me le mettre. Si ce M. de V... croit me trouver intacte de ce côté-là, il aura une belle surprise.
         

Je me couchai sur le lit, ma verge tendue à craquer. Louison s'accroupit dans l'autre sens, ma tête entre ses belles jambes, me donnant sa belle croupe à baiser et à lécher ce dont je ne me privais pas. Je l'huilai de douce salive tandis qu'elle gainait mon gland de sa bouche avide. Puis elle me présenta son sexe dans lequel je fourrai profondément ma langue avant de lui sucer le bouton qui ne cessait de se développer et devenait aussi long  que celui de la Muller. Il faut dire que ce petit rejet de chair sensible ne restait jamais sans caresses ou lécheries. Il lui arrivait de connaître au moins dix frictions dans une journée, ce qui explique sa croissance continue.
          Ainsi placé, je suivis l'opération que préparait la Muller tout excitée. Elle commença par se placer le godemiché dans son propre sexe, pour l'en ressortir luisant de ses humeurs. Puis elle aussi lutina le petit anus de sa langue, l'enfonçant comme un sexe dont elle avait presque la grosseur. J'entends une verge normale. or le godemiché avait des dimensions exagérées, et je craignais le pire pour ma jeune et talentueuse maîtresse.
          Au comble de la rage amoureuse, Louison aspirait ma verge avec frénésie mais comme j'avais déjà grandement éjaculé dans ses entrailles, je n'étais pas pressé de récidiver. Je pensais que le simulacre d'ivoire allait retrouver mon sperme et que cela faciliterait sa pénétration.
            Au moment bien choisi par la Muller, le godemiché se présenta contre le muscle étroit. De mes mains, j'écartai les fesses de Louison au maximum mais sans cesser de la faire jouir de ma bouche. Malgré le plaisir qu'elle ressentait, elle gémit lorsque la gouvernante la força peu à peu. Je vis avec surprise cet anneau brun s'élargir autour du faux gland d'ivoire puis soudain happer entièrement celui-ci. Le simulacre se terminait par deux énormes testicules qui permettaient de le manier avec plus de facilité.
           La jeune fille se déchaîna alors, et ...."


             

      

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Mardi 22 avril 2008 2 22 /04 /Avr /2008 11:01

    

Au cours de mon récent séjour à Marrakech, de passage au jardin Majorelle, j'ai photographié une porte verte. Cette photo m'a rappelé le célèbre film " Behind the green door" (1972) où la belle Marilyn Chambers rayonnait de sensualité. Je me souviens avoir vu le film il y a maintenant quelques années. Rappel : le film est construit à partir d'une sorte de légende qui court dan le milieu des routiers U.S. selon laquelle il y aurait, dans certains restoroutes des grands axes qui traversent les Etats-Unis, une mystérieuse porte verte qui ouvrirait sur un monde secret de fantasmes... Evidemment, la légende devient réalité. Je me souviens surtout des dernières scènes du flm ( l'intrigue est très succinte ) où l'on voit des éjaculations tournées au ralenti, avec ces gerbes de sperme qui traversent l'écran avant de venir éclabousser le corps de Marilyn... On peut parler de pornographie esthétique.


       Marilyn Chambers est née le 22 avril 1952. Elle a donc 56 ans aujourd'hui même. Alors, happy birthday et encore merci !   

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Vendredi 11 avril 2008 5 11 /04 /Avr /2008 17:37

Ce roman de science-fiction érotique est paru en 1969 aux Editions le Terrain Vague( alors dirigées par Eric Losfeld ). Je résume rapidement le thème. Dans une société futuriste où le sexe est devenu une marchandise comme une autre, le narrateur tombe amoureux de Michèle, une femme mystérieuse qui se révélera être une androïde... La jaquette jaune canari du livre était ornée d'un dessin original de Félix Labisse que je vous ai scanné. Je vous ai également sélectionné deux extraits :


Le premier ( pages 32-33) décrit l'affiche d'un film intitulé " Le viol de Frankenstein" :
      " L'affiche déjà, qui dévore toute la façade d'un immeuble, sur vingt mètres de haut, a de quoi laisser rêveur. Dans une lueur d'apocalypse qui ne serait qu'une gigantesque explosion de couleur glauque, le monstre de Frankenstein, sans cesse coupé en morceaux depuis un demi-siècle et perpétuellement ressuscité, avance, les mains en avant, non plus dans un cimetière ou dans une lande déserte, mais dans un véritable labyrinthe de femmes nues qui se tordent de désir sur son passage, offertes, ouvertes, cambrées de la nuque aux chevilles, ruisselantes de sève, dévorées par leurs seins jusqu'aux yeux, fendues de partout, véritables orifices sur pattes qui ne paraissent plus savoir où donner de la bouche, les cheveux au vent, confondus dans la toison de leur sexe avide de prendre le monde en tenailles, cabrées et capturées d'avance, brûlant à grand feu dans leur jus, les unes frôlant du ventre le visage du monstre qui paraît se demander ce qui lui arrive, les autres tombées à quatre pattes, écartelées, narguant les clients de toute la hauteur de leurs silhouettes de géantes affamées de caresses, de fouet, d'orgasmes et de terreur. "

Dans le second extrait ( pages 146-147), l'érotisme est plus retenu, tout en nuances. Le narrateur partage son bain avec Michèle : 
      

" Ma main droite la prit à la nuque, ma main gauche plongea dans l'eau, puis se referma en douceur sur un de ses seins, se droguant de cette certitude que jamais mes doigts ou mes rêves n'auraient pu les modeler plus proches de ce que j'avais cherché si longtemps et souhaité si confusément. De tous ses nerfs, Michèle se crispa, me rentra la chaleur de sa peau dans la paume de mes mains et ma bouche, une fois encore, alla chercher au plus profond de sa nuque cette odeur de femelle que je n'arrivais plus à fuir. Puis, comme si elle se noyait et coulait au ralenti au fond de l'eau, ma main tomba en feuille morte jusqu'à ses cuisses, s'y échouant, comme lourde d'eau et d'agonie, à quelques centimètres des poils de son sexe qui ondulaient sous l'eau, comme cette mousse qui tapisse les pierres des fonds sous-marins. Ma main rampa jusqu'au plus haut des cuisses, je la laissai là, résistant de tous mes muscles à mon désir de la refermer sur ce sexe que l'on devinait gonflé de sève et de remous à la fois impudique et réservé, encore refermé sur ses secrets. Un instant,  ma main virevolta, le frôla simplement comme un poisson se serait approché d'une proie peut-être dangereuse et dissimulée au fond de son repaire.
         Je sentis Michèle me plaquer ses mains trempées dans le cou, tendre, crispée, rejetée en arrière, à moitié sortie de l'eau. De tout son ventre, elle s'arquebouta contre ma main, se labourant de mes doigts, s'y plaquant, sans déchaînement,, avec une inquiétante lenteur, comme assoiffée de jouir en silence, en profondeur, avec une brutalité maîtrisée, les lèvres serrées, les yeux grand ouverts, avide de boire l'amour plutôt que de le faire, de le sucer à la façon d'un sable mouvant, possessive et ralentie, engouffrante et tropiquée, dégoulante et envertigée, tout entière dévorée par une voracité presque invisible à l'oeil nu" 

Par michel koppera - Publié dans : lectures x
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