Dimanche 4 janvier 2009 7 04 /01 /Jan /2009 16:18

2 janvier : L'année s'est achevée dans le doute et l'inquiétude. Toujours la peur immémoriale de la mort. Des réponses dans quelques jours, le temps de procéder aux examens d'usage.
6 janvier. Présidentielles. Sarkozy en Corse, Ségolène en Chine... Une organisation d'extrême droite sert de la soupe au porc aux SDF? ça doit être ce qu'on appelle la "discrimination positive" !
29 janvier. Je n'ai jamais été attiré par le mythe américain, ni par les grands espaces, ni la conquête de l'ouest, ni l'hymne à la liberté ( sauf peut-être un petit penchant pour le rock and roll...) Par contre l'Inde, l'Afrique et l'extrême orient ( sauf la Chine et le japon) m'ont toujours intéressé.
13 février. Car jacking, happy slapping... Les mots de la violence gratuite. Les mots sont trompeurs, ils cachent des coups, du sang et parfois, tout au bout, la mort.
13 mars.Quel mois ! On baise à tout va, on se branle, on se lèche, on s'exhibe, on se dit des choses les plus secrètes... La sodomie est au menu. La semaine prochaine, première escapade sexuelle à La Rochelle, à l'Hôtel du Vieux Port... du vieux porc ?
20 mars: Dicton du Togo : " Lorsque l'argent parle, la vérité se tait."
29 mai. Il y avait naguère une chanson qui disait :" Je ne sais pas ce qui 'arrive, je suis amoureux de ma femme..." Tout un programme !
- Elle est tellement grasse qu'elle en suinte... Sarkozy est si petit qu'il en paraît grand.
- Je me souviens qu'en 1971, on avait proposé aux étudiants de mon université une formation en informatique. je m'y étais inscrit mais la formation n'eut jamais lieu faute d'un nombre suffisant de candidatures.
9 octobre. Dicton africain :"Le vieil homme assis voit plus loin que le jeune homme debout."
4 décembre.Sarkozy au pouvoir : le star-system avec le talent en moins.
16 décembre.Vulve. Que le mot est beau, aussi beau que la chose. J'aime les deux V qui sont comme les deux lèvres grandes ou petites. Ce sont les lèvres de la bouche vaginale qui attend le baiser d'une autre bouche. Le V, c'est le vase ouvert, le réceptacle du désir, la coupe au divin breuvage... Et le L, c'est la mouillure du plaisir, la lance du clitoris qui veille à l'entrée du vagin, la luxuriance de la fente... Et puis "vulve", cela sonne comme valve, pulpe, poulpe, bulbe, palper ; comme le "volver" espagnol qui signifie revenir"... le goût du revenez-y... Si j'étais maître du lexique, j'aurais créé le mot voulve pour désigner une vulve entrouverte, aux lèvres comme tuméfiées de désir, visqueuse, chaude, une vulve en manque d'amour, dans l'attente d'amour...

pour terminer, ce superbe dessin de Hans Bellmer, un des maîtres de l'érotisme "troublant"...
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Mercredi 31 décembre 2008 3 31 /12 /Déc /2008 17:59

TEMPS DE CRISE .
Jusqu'à noêl, vous avez eu la chatte, pour la nouvelle année vous allez l'avoir dans le cul !
Bonne année à tous.

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Lundi 29 décembre 2008 1 29 /12 /Déc /2008 21:47

J'ai retrouvé cette image de presse dans un magazine. Il est évident qu'il y a moyen d'en tirer quelque chose de marrant, mais au lieu de vous imposer comme d'habitude ma version détournée, j'aimerais que cette fois nous obtenions une sorte d'oeuvre collective. Allez, lancez-vous, osez , même le plus saugrenu. J'attends vos suggestions.

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Mercredi 24 décembre 2008 3 24 /12 /Déc /2008 16:22
Pour noël, deux détournements de pubs. Rien de bien méchant. Allez, joyeuses fêtes et rions un peu en attendant la crise !
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Samedi 20 décembre 2008 6 20 /12 /Déc /2008 15:55

Editions J.C. Lattès, collection «  Les classiques interdits », 1980.

Les « Tableaux des mœurs du temps dans les différents âges de la vie » furent imprimés en un seul exemplaire en 1745. Il s’agissait d’une commande du certain Fermier Général de La Popelinière. Ces tableaux sont sans doute l’œuvre de Crébillon Fils. Voici une scène qui mêle couleurs de peau et découverte du divin gode ( pages 297-298 de la présente édition.)

 

« Kalibeka était toute nue, debout entre les cuisses d’une jeune négresse, qui s’était assise sur un carreau et de chaque main lui empoignait le bas de la jambe, pendant qu’elle avait le visage collé, ou sur son ventre, ou sur ses cuisses, et lui léchait incessamment, et avec un air d’avidité, toute cette partie du devant de son corps. Zaïrette, en même temps, aperçut deux autres négresses beaucoup plus petites ; elles étaient debout derrière elle, embrassaient ses genoux et promenaient leur langue, avec une prestesse admirable et à l’envi l’une de l’autre, le long de ses cuisses, sur ses fesses et sur tout le contour de son cul, qui, parmi ces figures noires, paraissait d’une blancheur extrême et d’une grande beauté.

Zaïrette fit beaucoup attention à cette nouvelle cérémonie, qui l’occupa et la réjouit un instant. Kalibeka, entre ces négresses, se remuait, s’agitait ou pirouettait incessamment…

Tout cet exercice avait été entrecoupé de paroles de part et d’autre si vives, même de quelques cris si souvent répétés, qu’on eût cru entendre une querelle, si l’on n’eût pas vu que ce n’était qu’un jeu. Mais alors il y eut un profond silence, et qui dura quelques moments. Kalibeka se réveilla enfin comme d’un sommeil ; elle se releva, soutenue par ses négresses, et se plongea dans un bain. Les trois jeunes négresses se retirèrent : il en vint une autre qui l’étuva et la parfuma avec une promptitude et une adresse extraordinaires.

Kalibeka sortit du bain. Zaïrette comprit qu’on allait l’habiller ; elle revint et se rapprocha du lit où cette dame l’avait laissée. Elle allait s’y asseoir, lorsqu’elle y remarqua un instrument que la dame avait oublié d’emporter avec elle ; elle crut d’abord que c’était une espèce de fruit du pays, étant pointu par un bout, où elle voyait la forme d’un bouton de rose vermeil ; mais elle le prit et se détrompa quand elle le vit couvert de velours de la même couleur. Elle mesura ; il était plus long que sa main. Elle l’empoigna ; c’est tout ce qu’elle put faire. Elle le sentit assez ferme du toucher, sans être dur ; elle prit garde à deux petites boules qui tenaient à l’autre bout ; elle les pressa de la main tout de même, et alors qu’elle fut assez surprise de voir qu’autant de fois elle pressait il jaillissait, à la pointe de ce bouton de rose, un filet d’eau d’une odeur douce et agréable. Zaïrette comprit d’abord l’usage auquel ce petit instrument était destiné… »

 

 

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Mercredi 17 décembre 2008 3 17 /12 /Déc /2008 15:56

Hugdebert vient de me faire un présent exceptionnel : un dessin original représentant Teresa Dos Santos, personnage principal de mon roman " La Seconde Vie de Maximilien Bémol". Et vous, lecteurs fidèles ou occasionnels de mon blog, je vous offre aussi ce dessin. C'est pour ainsi dire votre cadeau du Père Noël... Qu'en pensez-vous ? Qu'est-ce qu'on dit à Michel Koppera ?
J'attends vos commentaires.

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Mardi 16 décembre 2008 2 16 /12 /Déc /2008 08:41

Numéro 24 avec un "gros dossier" c'est le cas de le dire consacré au fessier, au "fétichisme du podex" comme disent les savants, aux femmes callipyges pour les littéraires, aux gros culs comme pense chacun de nous...

En attendant, quelques frivolités :
Une belle photo de nu sur canapé. Elle avait tout pour plaire : une belle paire de fesses, des bas noirs, une gracieuse touffe de poils aux aisselles, annonciatrice de pilosités pubiennes abondantes et ce visage grave qui contraste violemment avec la douceur du corps... Troublant.

Deux photos de Man Ray (1890-1976). Une superbe croupe datée de 1930 et intitulée " La Prière" ou "Close-up" et une photo sans titre datée de 1934, très surréaliste... L'homme à la barbe postiche évoque Landru... Etrange...
































Trois vignettes d'un "eight pages" mettant en scène Connie ( de son  vrai nom Constance Kurridge) actrice très populaire aux USA dans les années 30

Une lithographie (de Devéria ou de Bouchot ? )  pour illustrer une chanson "le vrai diabolo". C'est mignon. 

Une aquarelle de Peter Fendi ( vers 1935) ou équitation rime avec fornication

Maintenant, le gros dossier
Illustration n° 1 : Photo de J. Recknagel ( 1er novembre 1904)  Sans commentaire, il n'y a qu'à regarder et admirer.
Iluustration n° 2 : Photo de Georges Maurevert. Le cul de Brigitte ( Paris, 1983). Avec les poils en prime !

illustration n° 3 : Une photo de Bradsky pour illustrer un conte de Jean Miremont , " La chasse et l'amour", photo parue dans le numéro 41 de la revue "Pour lire à deux" ( octobre 1937 ) Magnifique image chargée d'érotisme : les bottes et surtout cette croupe largement offerte, on imagine la vulve ouverte, le clitoris frottant sur le dos du cheval... La femme est penchée en avant, elle jouit... J'ai rarement vu d'image aussi sensuelle !
 
Illustration n° 4 : Dessin anonyme publié dans les années 1930. Le nez fouineur, ou les délices du reniflage. 

illustration n° 5 : Photo interdite de Paris-Hollywood... Tous les codes du fétichisme du beau cul en une seule image.

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Vendredi 5 décembre 2008 5 05 /12 /Déc /2008 18:41

Réédité en 1994 aux éditions Stock avec une très longue et fouillée préface de J.J Pauvert, « Ma vie secrète » est paru initialement en 1902. Il s’agit du journal intime et anonyme d’un jeune homme de l’Angleterre de la fin du 19ème siècle. Les initiations et expériences érotiques se succèdent à un rythme frénétique, donnant une impression d’une grande dépense d’énergie dans le seul but d’assouvir une sexualité exacerbée. Voici quelques passages puisés au hasard des pages du premier tome.

Extrait 1 «  Camille s’allongea sur le flanc, une jambe sur le lit, une jambe appuyée au sol, remonta sa chemise au-dessus de son nombril, ses grandes jambes en bottines et bas immaculés, ses cuisses de la teinte légèrement brune que l’on voit aux femmes du Sud, entre elle un grand buisson de toison noire comme le jais, à travers laquelle une strie carminée se montrait juste. Elle leva un de ses bras au-dessus de sa tête, et sous le corsage lacé montra le poil noir de jais de l’aisselle. Je n’avais jamais vu un spectacle aussi délicieux (…)  Me mettant entre ses genoux, je regardai entre ses jambes, le splendide buisson de poils noirs. Loin d’essayer de se lever, ou m’empêcher, elle ouvrit plus grand les cuisses. J’écartai les lèvres du con : là, dégouttant d’un orifice rouge foncé, était mon essence. À cette vue, ma pine se dressa, toujours dégoulinante, et s’introduisit dans le conduit bordé de sperme. (…) Avec Camille tout était comme nouveau. Elle me prévoyait même. Si je la poussais sur le bord du lit, elle basculait sur le dos et ouvrait les jambes avec douceur, révélant sa fente de la manière la plus voluptueuse, sans parler. Si je m’efforçais d’ouvrir ses cuisses, elles s’ouvraient aussi largement que leur propriétaire le pouvait, me laissant ouvrir, fermer, pincer, branler , ou souder son con, comme j’en avais envie. Sur une suggestion, elle écartait des deux doigts les lèvres pour permettre l’inspection la plus complète. Si je la retournais, elle tombait sur le lit le cul en l’air comme un gobelet. »

Extrait 2 «  La femme s’était jetée sur le lit et, sa tête appuyée sur sa main, me regardait. Sa chemise avait glissé de ses épaules, dévoilant de gros seins blancs, et le noir buisson de poils d’une aisselle. Sa chemise était au-dessus de sa taille, une jambe fléchie, un mollet gras pressé contre une grosse cuisse, l’autre allongée contre le lit ; les cuisses étaient grandes ouvertes, sur son con le majeur de sa main gauche qui ne parvenait pas à cacher la masse de poils noirs croissant sur son ventre. Elle branlait son clitoris avec son majeur et souriait de manière engageante. «  Viens et prends-moi, j’en ai tellement envie –je ne me suis pas fait tirer depuis une quinzaine ». Mon amour d’un gros cul et d’un grand con poilu me revint d’un coup. »

Extrait 3 (voyeurisme )«  Je jetai un coup d’œil et mes deux cousines entrèrent. « Seigneur, quelle quantité de poils elle a sur le con ! » s’exclama mon éhonté cousin. Je les vis toutes les deux nues (…) « Voilà Mrs Maria » C’était elle. Elle se déshabilla. Une belle femme entre deux âges, ronde et charnue, avec une masse de toison noire entre les cuisses : ce spectacle aurait roidi un coussin de sofa. Fred était enflammé."

 

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Mercredi 3 décembre 2008 3 03 /12 /Déc /2008 14:35


À la suite du précédent, le numéro 23 de Fascination complétait le grand dossier sur la "langue au chat", ce qui constituera l'essentiel des illustrations de cet article.
Avant cela, juste un dessin pour la nouvelle "Madame Dollar" de Félicien Champsaur

Mais revenons-en à ce qui nous intéresse, à savoir le divin cunnilingus
1° Une leçon de piano très particulière  ( dessin de Martin Van Maele pour "la Grande Danse Macabre des Vifs", daté de 1908)

2° Une illustration non signée pour le roman "Suzon en vacances" (vers 1935) anonyme lui aussi. Chères vacances !

3° Un dessin d'Edouard Chimot pour une édition de "Trois filles de leur mère" parue au début des années 1930.

4° Une superbe illustration anonyme de 1938 pour le roman d'Héléna Varley, "Une jeune fille à la page".... Où la mariée offre une délicieuse gâterie à sa demoiselle d'honneur, à une camarade de pensionnat ou une servante, au choix...

5° Se sucer, c'est mieux à trois ! Dessin anonyme publié en 1933 dans l'album "volets clos"

6° Illustration de Philippe Cavell pour "Nini Tapioca" ( 1978 )

7° Enfin, un brin de zoophilie simiesque ( dessin anonyme des années 1900-1910). La femme a l'air d'apprécier la langue experte du singe dont le petit vit en érection atteste de l'effet érotique des sécrétions vaginales de l'honorée ( notez le visage réjoui et admiratif de la sucée !
)


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Mercredi 26 novembre 2008 3 26 /11 /Nov /2008 13:38

3) Nogalès (Arizona ) décembre 1948

« Une salle fraîche où tournent, au plafond, des ventilateurs aux pales de bois. Autour d’une des tables, six, huit filles qui babillent dans un langage que nous ne connaissons pas, ni espagnol, ni anglais, ni indien. Un mélange. Certaines causent ou tricotent. Toutes sont belles et jeunes, très différentes selon que le sang espagnol domine plus ou moins le sang indien et même le sang américain. Des clients assez disséminés  boivent du tequila ou de la bière mexicaine, entre hommes, emmenant parfois une des femmes au-delà d’une des portes. Nous y avons passé de nombreuses soirées (…)

- Alors, Jo ? Pourquoi pas Marina, qui en brûle d’envie…

Moi aussi. Et D. s’excitait en me voyant disparaître avec Marina ou une autre. (…)

- Tu n’as jamais couché avec une Indienne, je parie, Jo ?

- C’est vrai. Pas tout à fait. J’en ai connu une lors d’une de mes traversées du canal de Panama. Celle-ci me paraît trop jeune…

Elle parle à la jeune fille. Il faut lui reconnaître le don de se faire entendre dans la plupart des langues, ce qui n’est pas mon cas.

- Elle me dit qu’elle a treize ans mais qu’elle est pubère depuis longtemps. Moi, je l’étais bien à neuf ans.

Elle parlera souvent de ses neuf ans et de ses premières règles, sans me convaincre.

- Sa sœur, qui a quinze ans, s’est mariée à douze ans, alors qu’elle attendait un enfant. Elle en a eu deux autres depuis…

La petite a d’immenses yeux noirs fixée attentivement sur moi et j’ai l’impression d’y lire une prière que je crois comprendre. C’est une question, pour elle, de ne pas perdre la face devant ses aînées, plus formées qu’elle, qui la regardent en souriant.

 

Je l’emmène à contrecoeur. Je n’ai jamais été attiré vers les filles très jeunes, ni même vers les jeunes filles. Si je suis la petite Indienne, au port déjà très digne, comme celui des Noires de la brousse africaine, c’est afin de ne pas lui faire de la peine, mais je sais que nos relations n’iront pas loin.

Dans la chambre blanchie à la chaux, où un Christ tient la place d’honneur, et où l’on voit, sur la commode, une Vierge sous verre, elle laisse tomber sa robe de coton rouge sous laquelle il n’y a que son petit corps, ses seins bien dessinés, son pubis déjà ombragé par une légère toison noire.

Elle me parle et je ne comprends pas. Elle me fait signe de me déshabiller à mon tour et, comme je ne bouge pas, elle s’approche à la fois candide et fière, dégage ma verge qu’elle tient à caresser. Gêné, furieux contre moi-même, je ne parviens pas à empêcher l’érection. Alors, triomphante, elle se couche sur le lit, jambes écartées et, de ses doigts bruns et délicats, ouvre les lèvres de son sexe.

Je secoue la tête et sa bouche devient boudeuse. Alors, je me contrains à la caresser et je suis étonné de ses réactions qui sont celles d’une femme faite. Ce n’est pas un rôle qu’elle joue, car j’ai bientôt la main mouillée et elle ne tarde pas à se raidir dans un sursaut de jouissance. Je ne suis pas fier, lui fais signe de se relever et lui tends sa robe. Elle me donne un baiser furtif sur les lèvres avant de refermer la porte, s’avance fièrement vers le cercle de ses compagnes où elle reprend sa place. »

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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