Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
MOI. Il faisait déjà nuit noire lorsque tu es revenue du travail. Après cette froide journée d’hiver, j’étais allé prendre un bain en attendant ton retour. J’étais mollement avachi dans mon sarcophage d’émail, vaguement somnolent, lorsque tu es entrée sans ménagement dans le hammam brumeux de la salle de bains. En quelques contorsions, te voilà toute nue, habillée de vapeur.
- La nuit va être glaciale ! as-tu annoncé d’un ton péremptoire. D’ailleurs, il a commencé à geler.
Tu as filé à la douche. Derrière la vitre granitée de la cabine, je distingue la masse trouble de ton corps nu, tes bras levés vers la pluie chaude, la blancheur laiteuse de tes fesses… Tu fredonnes une chanson d’amour de Julio Iglesias, car tu es une sentimentale.
Enfin, te voilà qui ressors de la cabine. Toute mouillée, ta longue touffe, collée, dégoulinante, pendouille entre tes cuisses comme le pelage d’une chienne qui sort de l’eau. J’en bande instantanément. Tu viens t’asseoir face à moi, au bord de la baignoire. Mon pied droit remonte ta jambe, puis ta cuisse et, doucement, se glisse dans ta vulve savonneuse. Tu t’ouvres à l’extrême. Mon pied s’enfonce en toi profondément, jusqu’à te caresser le col de l’utérus avec les orteils. Tu jouis comme ça, les pieds dans l’eau chaude, les fesses sur l’émail.
Plus tard, je te fourre mon gros orteil dans le trou du cul pendant que tu te shampouines la touffe. C’est à mon tour de jouir. J’éjacule dans la mousse. Mes giclées de sperme font comme un petit remous à la surface de l’eau, rien de plus.
ELLE. Quelle mouche t’a donc piqué de nous quitter ainsi, de façon si impromptue ? En pleine partie, si l’on peut dire. Certes tu avais des obligations citadines, mais cela ne pouvait-il pas attendre un peu ? En partant, tu avais abandonné le manuscrit d’une nouvelle : une cinquantaine de pages dactylographiées que je t’envoie par courrier. Je dois t’avouer que je n’ai pu résister à la tentation : je les ai lues. En avais-je le droit ? J’ai considéré que cet oubli était peut-être un présent.
Dès les premières lignes, je t’ai retrouvé. C’était comme si tu étais de nouveau là, tout près de moi, à me chuchoter des indécences à l’oreille, à m’enlacer de tes guillemets, à me titiller de tes virgules, à me caresser lentement de tes points de suspension.
L’histoire m’importait peu : seuls comptaient les mots, leur musique si douce à mon corps. Je m’étais enfermée à l’étage, dans une des chambres d’amis, tu sais celle au papier peint à fleurs et au vieux lit bateau. Tu y as même couché quelques nuits, au temps où nous ne nous étions pas encore apprivoisés. Le couvre-lit et le creux de l’oreiller avaient gardé un peu de ton odeur, légère et fragile comme une empreinte de pied d’enfant.
La chambre n’avait pas été chauffée de l’hiver : le carrelage était froid, l’air un peu humide. Mi-assise, mi-couchée, la nuque appuyée contre la tête de lit en chêne, le manuscrit posé sur les cuisses, je te lisais à voix basse.
Malgré le froid et la solitude, j’avais le ventre en sueur. Alors, pour tourner les feuilles récalcitrantes, je mouillais mon index avec la salive de ma vulve marécageuse. J’en avais tellement envie que j’ai joui dix pages avant la fin de l’histoire.
M’en voudras-tu beaucoup si quelques coins de feuilles ont gardé la trace de mon désir ?
MOI. Nuit de tempête sur l’Atlantique. Le vent gémit dans les volets et sur le toit. Tu es venue avec Jean passer
quelques jours chez nous. Il n’est pas loin de deux heures du matin lorsque je me réveille aux aguets. Dans mon sommeil, j’ai cru entendre un bruit insolite, comme un cri dans le fracas du vent.
Julia dort à mes côtés… Je me lève… Pieds nus, je descends au rez-de-chaussée. La maison est plongée dans les ténèbres. En tombant, des arbres ont provoqué une coupure d’électricité. Et pourtant,
tout au bout du couloir carrelé, il y a une lumière indécise qui suinte de la porte entrebâillée de la cuisine. Je devine la lueur vacillante d’une bougie. J’ouvre la porte en grand. Tu es là,
assise sur une chaise, la chemise de nuit retroussée jusque sous les seins. Tu es en train de te branler avec une aubergine luisante d’huile. Tu me regardes et tu me souris.
Tes lèvres bougent ; tu dois sans doute me dire quelque chose mais, avec le hurlement du vent, je n’entends rien. Et puis soudain l’orgasme te saisit. En jouissant, tu fais autant de
bruit que la tempête qui fait rage dehors. C’était donc ça qui m’avait réveillé : tu n’en étais pas à ton premier coup !
Quand c’est fini, tu me fais signe d’approcher. Tu souffles la bougie et tu me prends dans ta main huileuse.
ELLE. Portes-tu encore le pantalon bleu nuit que nous avions choisi ensemble ? Tu sais, celui avec une
braguette à boutons cuivrés. De la cabine d’essayage, tu m’avais appelée à l’aide : les boutonnières étaient si serrées que tu n’arrivais plus à te déshabiller. Et me voilà, à genoux, en
train de me bagarrer avec ta braguette rebelle. Souviens-toi, nous étions en plein dans les soldes d’hiver : il y avait foule. Noyé de musique, le magasin bruissait de mille voix. À
force de patientes manipulations, je t’ai enfin libéré. Mon Dieu !
Tu bandais dans ton boxer soudain trop étroit. Ton ventre était devant mon visage… Je t’ai sorti, je t’ai pris les couilles à pleine paume, je t’ai décalotté entièrement le gland. Que ta bite
était belle ainsi dans la pénombre rougeâtre du rideau tiré sur notre intimité ! Je t’ai gobé. Ma bouche t’a aspiré, mes lèvres t’ont bagué le gland, ma langue en gouttière t’a guidé vers le
fond de ma gorge… Tu pouvais soupirer et geindre à ta guise : le brouhaha de la fièvre acheteuse était le meilleur garant de notre impunité. Tu m’as tout lâché au plus profond de la gorge,
au plus près de la luette. De plaisir, j’en ai mouillé le fond de ma culotte.
J’étais en train de me lécher le bord des lèvres quand j’ai vu une petite main écarter le rideau pour laisser passer une tête blondinette de gamin. Il a écarquillé les yeux, je lui ai souri.
- Maman ! Le monsieur, il a pas de pantalon ! Qu’est-ce qu’elle fait la dame ?
- Elle aide le monsieur, mon chéri… Mais il ne faut pas regarder comme ça dans les cabines, ce n’est pas bien ! Allez, donne-moi la main, on s’en va.
Correspondance
Préambule : il y a quelques années, lorsque j’ai entrepris l’écriture de
mon roman : « La Seconde Vie de Maximilien Bémol », j’ai recueilli des témoignages de femmes à forte pilosité qui m’ont raconté, par lettres, leur sexualité. Avec l’une
d’entre elles, une femme d’une cinquantaine d’années originaire du Languedoc-Roussillon, notre échange de lettres se prolongea bien au-delà de ma recherche documentaire et devint, au fil des
mois, une correspondance d’une grande obscénité où nous échangions confidences et fantasmes. Cette correspondante très particulière servit de modèle au personnage de la Maréchale dans le roman.
Ces lettres constituèrent en 2003 la matière première à une nouvelle pornographique que j’ai intitulée tout simplement « correspondance ». Dans ce texte inédit, j’ai donné le nom de
Corinne à ma compagne épistolaire… Voici donc « correspondance », nouvelle inédite et particulièrement graveleuse, qui fait partie du second tome (à paraître) de mes nouvelles
érotiques.
MOI. Je me souviens que c’était en septembre, à l’occasion du mariage tardif d’une amie commune. L’assemblée était nombreuse. En fin de banquet, ça chantait, ça buvait, ça riait… J’ai profité de la bruyante confusion d’une chanson à boire pour me glisser sous la table afin de voir sous les jupes des femmes. Déception ! Rien que des jambes croisées ou des cuisses serrées, des collants rébarbatifs et hostiles, des pantalons cadenassés. La table est en fer à cheval. À quatre pattes, j’avance entre deux rangées de genoux revêches. Et puis, brusquement, là-bas, tout au bout de la dernière allée, j’aperçois enfin une paire de jambes écartées. La femme porte une robe courte, retroussée à mi-cuisses, des bas sombres qui laissent voir plus haut un peu de chair nue. Elle n’a pas de culotte et sa chatte poilue m’attire comme un aimant. De loin, sa vulve aux lèvres humides et luisantes me sourit aimablement. Au fur et à mesure que je m’approche, la femme ouvre les cuisses et laisse doucement ses fesses glisser jusqu’au bord de la chaise. L’odeur fauve du désir flotte sous la nappe. Mon visage plonge littéralement au cœur du buisson de poils noirs. À grandes lapées, je lui lèche la fente. Elle lâche la sauce. C’est chaud et visqueux.
Plus tard dans la nuit, je t’ai invitée à danser. Tu m’as dit que tu te prénommais Corinne, mais que je pouvais t’appeler
Corie.
ELLE. Je n’oublierai jamais cette première nuit de la Saint Sylvestre que nous avons passée ensemble. Tu étais
venu seul, ta femme était en voyage, très loin. Tu as fait la connaissance de Jean, mon mari ; dès les premiers mots j’ai senti que vous seriez compères… Après minuit, vous avez écarté les
assiettes et les verres, puis vous m’avez allongée nue, couchée sur le dos, cuisses écartées au milieu des restes de victuailles.
Vous avez continué à manger, mon mari près de mon visage, toi à l’autre bout de la table entre mes pieds. Mon mari m’a enduit les seins avec la crème au beurre du Paris-Brest et il a commencé à
me malaxer la poitrine pour me faire durcir les tétons. Pendant ce temps, tu m’agaçais la chatte avec un gros boudin blanc que tu frottais tout le long de ma fente… Quand j’ai été bien huilée, tu
me l’as enfoncé dans le vagin. J’avais l’impression d’être baisée par un géant en saindoux. J’ai joui une première fois. Debout, les cuisses appuyées sur le bord de la table, Jean a posé sa bite
à la chantilly sur mes lèvres. Je l’ai embouché, sucé, tété jusqu’à ce qu’il éjacule en grognant. J’avais son scrotum sous les yeux et, plus haut, ses hanches que je tenais fermement à deux
mains. Toi, tu avais dégainé le boudin blanc et, maintenant, je le sentais qui fourrageait plus bas, dans le buisson entre mes fesses, à la recherche du trou de mon cul. Je me suis ouverte
davantage pour t’aider. C’est rentré tout seul, en douceur, comme un étron inversé. C’était divin.
Suite de l'article d'hier, une illustration de Dennis Magdich parue dans Playboy il y a plusieurs décennies. Je
vous en propose deux versions : celle de Playboy (format portrait ) où l'on voit les cuisses gainées de bas de Marilyn, une autre avec un cadrage différent, (en format paysage), qui met plus en
valeur l'allusion à Van Gogh au détriment des jambes de Marilyn. Personnellement, j'ai un faible pour la version Playboy car les cuisses de Marilyn y sont super sexy. Elle reprend tous les
ingrédients de la panoplie fétichiste : le tissu noir aux reflets brillants, les bas noirs avec leur haut plus sombre, la chair nue que l'on devine plus que l'on ne la voit, le sexe enfin, si
proche et si lointain à la fois... On est proche de la perfection !
Quant à la photo qui aurait pu servir de modèle à Dennis Magdich, je n'ai pu formellement l'identifier. Tout ce que j'ai retrouvé sur le net, c'est ce cliché en noir et blanc où j'ai cru
reconnaître la robe. Pourtant, je suis persuadé qu'il y a une photo de Marilyn ( photo de tournage, de plateau ou de séance photo ?) où elle pose ainsi... Si quelqu'un peut la
retrouver qu'il me donne l'info.
Je ne connais pas l'origine de la référence à Van Gogh. Evidemment, l'oreille coupée reprend l'anecdote de Van Gogh se coupant lui-même l'oreille et l'offrant à une prostituée peu avant de
sombrer définitivement dans la folie... Je ne vois pas d'autre explication, même si ce n'est pas forcément très flatteur pour l'actrice...
Nouveauté ! Ce jour même, je viens d'ouvrir un nouvel
album que j'ai intitulé "vulves bovines", entièrement dédié aux vagins larges, béants et généreux... Je vous souhaite une bonne et heureuse navigation !
Je viens de retrouver dans mes archives le fameux cliché de
Marilyn photographiée en 1951 par Tom Kelley pour le calendrier "Golden Dreams". Et puis, cela m'a rappelé un dessin de Topor paru dans un magazine il y a maintenant plus de 20 ans ( j'ai oublié
la date exacte, ainsi que le nom du magazine) Si vous pouvez m'aider à retrouver, ces informations seront les bienvenues.
Comment interpréter le cimetière, la présence de cet homme avec son lapin armé d'un couteau sorti de son chapeau ? Evidemment, le lapin évoque les
"Bunny girls" de Playboy... mais à part ça. Je vous laisse avec ces questions sans réponse. Reste le plaisir des yeux...
Vu cette semaine dans le Nouvel Observateur, cette photo à archiver de toute urgence : Geneviève Mulmann élue Miss
élégance en 1957 ( elle avait 25 ans !). Il s'agit évidemment de Madame de Fontenay que vous découvrez ici en maillot de bain une pièce. Elle était quand même super bien foutue. J'admire les
jambes, la taille de guêpe et surtout le bombé presque obscène de son mont de Vénus... Rien que de la regarder, je la déshabille en pensée...
La photo est signée Michel Jeanneau, de l'Agence SIPA
Encore tout un échantillonnage d'images extraites d'un numéro de Fascination. Avec le numéro 26, on se rapproche
tout doucement de la fin de cette revue trimestrielle. Nous étions au début 1985 et la rédaction nous proposait cette fois un grand dossier consacré à "l'olisbos, ami des
demoiselles"
La couverture nous présentait une belle illustration de André Lambert ( 1917) et intitulée "L'orgueil" ( on serait orgueilleuse à moins ! )
Un illustrateur anonyme de Verlaine (vers 1931) proposait cette magnifique scène de léchage de chatte. Je suis toujours en admiration pour ces dessinateurs qui parviennent
en quelques traits à rendre compte de ''intensité du désir et ici du plaisir. Cette femme sur le lit est visiblement aux anges et sa lécheuse en plein travail. Il suffit de voir la chute de ses
reins pour deviner toute l'énergie qu'elle consacre à rendre sa partenaire heureuse. Très beau travail... remarquez au passage les éléments du quotidien qui donnent encore plus de force
érotique à la scène : la chaise paillée en bas à droite, le couvre-lit bien modeste.
Une midinette, ma foi bien affriolante, signée René Giffey ( 1884- 1965 )
Un joyeux clystère anonyme paru vers 1920 dans un recueil de poésies gaillardes, ayant pour titre "Insolation"
Grand dossier :
1) " Le divin gode", photographie signée Michel Simon ( vers la fin des années 1930 )
2 ) Levrette anonyme mais bien excitante de 1935
3) Dessin anonyme illustrant un épisode du roman de Héléna Varley, " Une jeune fille à la page". À la page, elle semble l'être ! J'adore ces scènes qui ont pour
cadre des toilettes. La cuvette, le réservoir de la chasse d'eau, la chaîne... Nous sommes bien aux chiottes et c'est un lieu érotique en puissance. la preuve !
Enfin, l'illustration de couverture d'un album de 46 gravures intitulé " Nous deux" et paru aux Editions Curiosa. Première édition 1929. Beau travail !
Dans l'actualité, pas grand-chose à se mettre sous la dent, alors il reste les archives
Je viens justement de retrouver dans mon journal de l'année 1996, cette image de la campagne de l'IFAW 1996 en Italie. Il s'agissait de protester contre le massacre des bébés phoques. L'article
de mars 1996 est paru dans le Nouvel Obs. Je crois me souvenir que la femme qui posa pour la photo était l'épouse d'un député italien.... De toute façon, elle était (est ?)
magnifique.
C'est le coeur battant et tous les sens en éveil que j'ai comme d'habitude entrepris la lecture du dernier
Esparbec, intitulé "Monsieur est servi" paru comme de coutume aux Editions de la Musardine.
Hélas, trois fois hélas ! Où est donc passé le génie pornographique qui avait enchanté les pages de "La Pharmacienne", des "Mains Baladeuses", du Pornographe et ses modèles", d'Amour et popotin"
, etc ? Voilà qu'Esparbec se lance dans le roman sado-maso... Et cela ne fonctionne plus !
À l'exception de quelques passages où l'on retrouve la hardiesse et le délicieuse obscénité de situations scabreuses, donc furieusement érotiques, ( je pense notamment aux scènes de
voyeurisme où le narrateur assiste derrière une vitre sans tain aux galipettes de son ex-épouse !), cette histoire d'amours ancillaires -monsieur et sa bonne- outre qu'elle est éculée
jusqu'à la trame, est d'une tristesse sans nom. C'est surtout cela qui déçoit : Esparbec nous avait habitués à une pornographie joyeuse. Il nous livre un livre triste, voire sinistre! On en
sort vaguement nauséeux, avec un arrière-goût de rance... Dommage !
Pour oublier, je vous offre deux dessins,
Le premier de Hoviv histoire de sourire un peu !
Le second pour bander en prime !
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