Jeudi 28 mai 2009 4 28 /05 /Mai /2009 17:06

Le numéro 5 de Zoom était presque entièrement consacré à David HAMILTON, avec le texte d'un article d'Alain Robbe-Grillet en personne (excusez du peu !)
Citation !: " L'adolescente est en train de regarder ses seins naissants, dans la glace, comme étonnée par la présence incongrue de ces deux petits hémisphères de chair tendre qui auraient poussé cette nuit, pendant son sommeil" C'est du Robbe-Grillet, si si, je vous le garantis... Et tout le reste de l'article est de la même veine !
Difficile, voire impossible de parler de la photo de charme des années 1970 sans évoquer David Hamilton. C'était LA référence.
Automne 1970. Pour comprendre l'impact de ces photos, je crois qu'il est nécessaire de revenir sur cette époque.
- Octobre 1970. De Gaulle n'est pas encore décédé, même si c'est Pompidou qui est devenu Président de la République.
- L' IVG est encore un délit et la majorité est à 21 ans.
- La censure est encore toute puissante
Alors, dans ce contexte, les photos de Hamilton sont très, très osées. Je vous en ai sélectionné 5 et je vais à chaque fois essayer de vous expliquer mon choix
1) Pour son petit cul, surtout la contraction de son muscle fessier, ainsi que pour le reflet de son visage dans le miroir au mur.

2) Photo parue dans Vogue Italie. Pub pour de la lingerie. Amour lesbien. La pose alnaguie de la jeune fille allongée sur le lit est sans ambiguïté : elle attend.

3) La jeune fille dans le fauteuil a les yeux posés sur le sexe de l'autre, l'autre qui se regarde le ventre. Que voient-elles ?

4) Très belle jeune fille. la poitrine est superbe.

5) Pour la main sous la jupe. Ainsi les jeunes filles se branlent et n'en éprouvent aucune honte ! Image en vente libre dans tous les kiosques qui bouscule bien des tabous et idées reçues.

6 ) Photo de Franz Gruber ( Autrichien, né en 1945.) Très belle image. Le jeune fille a un profil de madone florentine, mais son ventre nu évoque les plaisirs de la lecture qu'on devine licencieuse.

7) Un dessin de Michèle Pierret ( née entre 1940 et 1944 ) Je n'en sais guère plus. 


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Mercredi 27 mai 2009 3 27 /05 /Mai /2009 14:09

Numéro 4, la revue prenait petit à petit ses marques. Numéo intéressant car il présentait notamment un portfolio de Gim GERALD( 29 ans en 1970, donc né en 1941, d'origine anglaise) Les 3 photos que je vous ai sélectionnées sont bien  représentatives de sa production de l'époque. Je suis particulièrement sensible à sa façon de rendre hommage au cul des modèles, comme sur la troisième image où le cul cambré de la femme de gauche est d'un érotisme absolu ( on a envie d'y mettre la main, la bouche et plus encore )







































Autre portfolio, une série de photos de Claude CAILLOUX d'où j'ai extrait cette femme voilée ( enfin, le visage voilé, pas le reste ) qui sonne étrangement quelque quarante années plus tard...

Une photo de Isi VALERIS, né en 1941, d'origine française mais américain depuis 1960. Une belle photo de modèle black.

Enfin, pour terminer, une gravure de Philippe MOHLITZ, dont je vous laisse apprécier la finesse.


Pour Camille, une seconde gravure de Molhitz
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Lundi 25 mai 2009 1 25 /05 /Mai /2009 14:59

Baiser dans un musée

 

On filait plein sud vers la Méditerranée. Pendant qu’Odile conduisait, je feuilletais le guide touristique de la région. Cette année-là, on avait décidé de faire dans le culturel. Finies les après-midi drap de bain sur la plage à se mélanomiser malin ! Ce serait visites guidées d’abbayes cisterciennes, concerts de musique baroque dans les ruines de forteresses médiévales, expositions d’artistes locaux et très naïfs, dégustations de produits du terroir et randonnées botaniques. Enfin, quand j’écris on, je devrais plutôt dire Odile, car c’était avant tout son idée. Moi, les journées à glander en transat au soleil, ça ne me culpabilisait pas plus que ça ! Un ou deux cinoches, une soirée disco, une balade dans l’arrière-pays, pourquoi pas ? Je ne voyais pas la nécessité d’en faire des tonnes ! Mais Odile s’était mis dans la tête qu’on était des péquenots et qu’il était grand temps qu’on se mette au diapason du monde. Etre au diapason, c’était une de ses expressions favorites. Elle voulait être au diapason de tout : de la mode, d’une société plus humaine, de la conscience écolo, de la pensée universelle…

- Tiens, on pourrait assister à une corrida, ça fait partie du patrimoine local, non ?

- T’es dingue ou quoi ! Cherche-nous plutôt des musées intéressants, au lieu de raconter des conneries !

J’aimais bien taquiner Odile, titiller sa fibre S.P.A.  C’était son côté Brigitte Bardot en colère, dont elle avait aussi la blondeur.

Deux semaines plus tard, notre programme culturel avait sérieusement du plomb dans l’aile. Pour ce qui était du patrimoine régional, on avait essentiellement vu des parties de pétanque et un vide-grenier où Odile avait acheté, à vil prix, une poterie « typique ». Côté musique, un radio-crochet sur la plage et un concours de air-guitar sur écran géant ; côté gastronomie, on avait fait la tournée des pizzerias et sacrifié au culte de l‘huile d’olive à toutes les sauces. Par contre, le soleil avait cuivré nos épaules et comme javellisé la chevelure d’Odile. C’est en choisissant des cartes postales à envoyer à ses collègues de travail qu’elle fut saisie de remords.

- Demain, on sort ! declara-t-elle en faisant tourner le présentoir à souvenirs.

- Comment ça, on sort ?

Le lendemain, il faisait très chaud, un de ces après-midi torrides où les pavés sont brûlants, le soleil vertical et les siestes profondes. Odile ne portait que des sandales et une petite robe de coton fuchsia ; moi un bermuda, un t-shirt et une paire de tongs fatiguées. « Muséum d’archéologie littorale », ça en jetait !  Une vénérable bâtisse en pierre ocre, une guichetière indolente entre deux âges, deux billets plein tarif. On commence par les salles du rez-de-chaussée et du premier étage. On se tape des alignements de vitrines replies d’objets de la vie quotidienne gallo-romaine : fibules, vases plus ou moins complets, boucles d’oreilles et lampes à huile… Quand Odile se penche pour lire les notices explicatives, cela découvre un peu plus ses cuisses bronzées et je me sens à l’étroit dans mon bermuda. Entre des portes, dans une encoignure, un gardien à casquette somnole sur une chaise.

On termine la visite par les salles voûtées du sous-sol, là où sont exposées les statues. Il y fait frais. Odile en frissonne de plaisir. Nous sommes seuls. La douce lumière des spots caresse la pierre millénaire, les courbes des hanches minérales, comme ma main qui soulève la robe d’Odile. Nous nous embrassons à l’ombre d’un Apollon sans tête, au sexe pré-pubère. La peau des fesses d’Odile a la blancheur du marbre antique, sa chatte blonde est aussi émouvante et chaude que le pubis glabre des Vénus romaines. On baise en bonne compagnie, sous le regard aveugle d’une Minerve en armes, de sévères sénateurs en toge, de bustes d’empereurs à tête couronnée de lauriers, de nymphes et de naïades lascives. Odile est ma déesse callipyge, je suis son Priape domestique ; ses seins sont d’albâtre, ma bite est d’airain. Tout en forniquant me revient en mémoire la scène finale des Visiteurs du soir, lorsque les deux amants sont métamorphosés en statues de pierre par Satan en personne. J’ai tellement peur que j’en oublie de jouir. Pas Odile qui avant de quitter la galerie se permet de caresser le cul de l’Apollon sans tête et même de lui embrasser le zizi de marbre où elle laisse un peu de gloss vermillon

- On devrait sortir plus souvent, me dit Odile dans la rue abrutie de chaleur. Finalement, les trucs culturels, c’est pas aussi chiant que je croyais.

 

© Michel Koppera, mai 2009


Avouez que je vous ai gâtés pour les illustrations ! La 3ème image, celle de la femme en porte-jarretelles qui chevauche un Apollon est signée Brian Bagnall.
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Dimanche 24 mai 2009 7 24 /05 /Mai /2009 11:21

Coucou, me revoilà après une escapade normande. Au menu, le numéro 3 de la revue Zoom.
D'abord deux dessins signés Didier Moreau: , dont un qui accompagnait ce poème de Georges Bataille
" Tu m'étrangles comme la mort
Je sais cela misérablement
Je ne te trouve qu'agonisant
Tu es belle comme la mort

Je t'aime comme on délire
Tu sais que ma tête meurt
Tu es l'immensité la peur"
























































Puis deux photos de Jean François Bauret. Portraits de famille très troublants, je veux dire qu'ils transgressent des tabous... Pourrait-on aujourd'hui publier de telles photos sans soulever le tollé des bien-pensants, des politiquement corrects ? je n'en suis pas sûr...


P.S :Enfin, pour terminer quelque chose qui n'a rien à voir. Pendant ce court séjour normand, je suis allé voir une exposition de dessins de Hugo Pratt. Si vous passez par Cherbourg, n'hésitez surtout pas, ça vaut vraiment le déplacement. Oui, je sais, c'est loin, c'est au bout du bout, mais l'entrée est gratuite, alors...

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Mercredi 20 mai 2009 3 20 /05 /Mai /2009 05:22

Aujourd'hui, départ sur les routes pour la grande transhumance du pont de l'Ascension. Je serai donc absent pour quelques jours ( retour dimanche). En attendant  je vous laisse avec ce montage photo . Il s'agit d'un tirage effectué en superposant deux négatifs : en arrière-plan, vous distinguez le sexe de Valérie ( avec ses lèvres très charnues et sa belle touffe), et au premier plan, une photo de menhir prise quelque part dans la campagne bretonne. Menhir éminemment phallique, comme de bien entendu. J'avais donné pour titre à ce tirage particulier : "Soeur Anne, ne sens -tu rien venir ?"

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Mardi 19 mai 2009 2 19 /05 /Mai /2009 05:27

Dans ce numéro 2, on trouvait essentiellement un portfolio de photos de Francis Goldstein ( comme cette très obscène femme tenant un appareil photo à hauteur de son sexe : l'objectif vide ne peut qu'évoquer son vagin béant )

Un second portfolio de Jean-Pierre Bourgeois ( photographe de charme très connu ) Dans ce portfolio, je vous ai choisi ce modèle black pour la beauté de son cul.

Enfin, un long entretien avec l'illustrateur Gérard Gachet ( il avait 34 ans en 1970)  2 dessins :
1° une illustration pour une nouuvelle de Claude Seignolle : " Le bahut noir"

2° une oeuvre sans titre ( femme assise de dos )

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Lundi 18 mai 2009 1 18 /05 /Mai /2009 05:23

Photo à contrejour, spontanée, à l'improviste.  Par chance, j'avais l'appareil à portée de main. Juste le temps d'appuyer sur le déclencheur, sans prendre le temps de faire des mises au point, sans le temps de réfléchir. Cela ne dure qu'un instant. Nous sommes dans l'éphémère.
Cela donne cette jeune femme au chat, photo que j'ai prise il y a très longtemps. C'est tout simplement beau.

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Samedi 16 mai 2009 6 16 /05 /Mai /2009 09:22

Préambule. À la différence des textes précédents, l'écriture de cet épisode de la saga des "Baiser" fut pour moi source de souffrance. Alors que d'ordinaire, il me faut un ou deux jours au maximum pour achever mon texte, cette fois cela m'a pris 5 jours. Au début, l'écriture ne me posa pas de problème particulier, c'est arrivé à la moitié que j'ai commencé à ressentir une sorte de gêne, de malaise qui n'a fait que s'aggraver. Cependant, je sentais qu'il fallait que j'aille jusqu'au bout. C'est en écrivant la dernière phrase que j'ai enfin compris d'où venait ma souffrance. Il fallait que les choses soient dites afin que vous compreniez mieux ce que ce chapitre a de particulier. Je ne sais si vous ressentirez aussi cette souffrance...

Baiser dans un camping-car

 

Comme le disent les journalistes qui n’ont pas peur du ridicule, c’est le retour de la belle saison. Et, avec les beaux jours, les camping-cars sont de sortie sur les routes, comme les abeilles et les fourmis dans les jardins. Si vous regardez bien, vous constaterez que très souvent le conducteur est un sexagénaire bedonnant, cheveux gris et moustache à l’avenant, et que sa passagère a tout l’air de sa compagne légitime, ce qu’elle est effectivement. Car les adeptes du voyage en camping-car sont essentiellement des retraités. Je me suis souvent demandé pourquoi. Nos sociologues nous expliquent doctement que les seniors ont un pouvoir d’achat supérieur à la moyenne des Français, parce que leur résidence principale est payée et équipée, qu’ils n’ont plus d’enfants à charge. Comme en plus, ils disposent d’un temps libre quasiment illimité, le camping-car leur offrirait l’opportunité de voyager sans contrainte… J’ai des doutes.

Je croirais plutôt que les retraités achètent des camping-cars pour baiser, tout simplement.
 

Imaginez notre couple qui reste tranquillement à la maison. Après un interminable hiver de solitude, qu’advient-il aux premiers beaux jours ? Chaque week-end prolongé – ou pire encore, pour toutes les vacances scolaires - ils doivent accueillir leurs petits-enfants venus respirer l’air pur de la campagne chez Papy et Mamy, pendant que les parents vont s’éclater aux Baléares ou à Marrakech. Le coup est connu et les gosses insupportables ! La résidence secondaire au bord de la mer ou le chalet à la montagne ne mettent pas à l’abri de ces séjours intempestifs, bien au contraire. Pas plus que le mobil home. Si vous réfléchissez bien, le camping-car, c’est l’idéal : un jour ici, l’autre là ; trop exigu pour y vivre à l’aise à plus de deux personnes. Et, une fois sur les routes, comme Papy et Mamy n’ont pas de portable, ou feignent de ne pas savoir s’en servir, plus moyen de les retrouver pour leur refiler la garde de gamins bouffeurs de pizzas.

Il faut les comprendre. Pour baiser, les retraités ont besoin de temps. Plus question de tirer un coup à la sauvette, entre deux portes, entre la poire et le fromage.

La veille du départ, Papy a fait le plein de gasoil, d’eau douce et de Viagra. Mamy a puisé dans son stock de confit de canard en conserve, de confitures maison et ressorti quelques frivolités en dentelle du dernier tiroir de sa commode. Sur la route, les camping caristes sont comme les motards et les chauffeurs routiers, ils échangent entre eux des appels de phares et des signes kabbalistiques incompréhensibles pour le commun des automobilistes. Ils roulent tout le jour. Mamy nourrit régulièrement l’autoradio de cassettes de Michel Sardou, Papy suit sur Europe 1 le résultat des courses à Vincennes. Ils font halte pour quelques heures devant le viaduc de Millau ou au pied du Mont Saint Michel, le temps de faire des photos et de déjeuner en tête à tête tout en regardant les infos sur la mini télé du living à peine plus spacieux qu’une cage d’ascenseur. Ils échangent quelques considérations sur la météo, la beauté des paysages et la saveur des tomates. Ils ne parlent ni du passé, ni du futur. Ils vivent tout entiers dans le présent. Jusqu’au soir, ils sont irréprochables, scrupuleusement respectueux du code de la route et des convenances.

À la tombée de la nuit, les camping-cars se rassemblent dans des espèces de caravansérails sur bitume où ils se blottissent les uns contre les autres comme des bêtes de somme frileuses. Les vieux ont la réputation de se coucher de bonne heure : c’est juste, mais se coucher ne veut pas dire dormir. En effet, une fois les stores vénitiens baissés, les rideaux tirés, dans le chaleureux cocon de leur camping-car, les retraités s’adonnent sans retenue au plaisir. Elle ouvre le petit coffre où elle a rangé tous ses sex-toys commandés sur internet. Car, s’ils rechignent à utiliser leur portable, ils n’hésitent pas à s’offrir des gadgets dernière génération, des godes multifonction à télécommande, des trucs high-tech qui vibrent, vrillent, tournoient, ondulent, virevoltent, pistonnent, se trémoussent, frétillent et palpitent. Le sourire aux lèvres, elle observe l’effet grandissant du Viagra. Il prépare les gels super lubrifiants, à effet chauffant. Ils ont tout à portée de main : l’eau chaude, les boissons fraîches, les toilettes et la douche juste à côté. Il fait chaud. Elle porte une paire de bas résille, une nuisette vaporeuse, une petite culotte presque transparente ; il est nu, la bite en gloire. Elle a une très grosse chatte, un peu grisonnante ; il a le torse velu, les couilles lourdes et pendantes. Ils baisent longtemps, très lentement. Ils se prennent dans la kitchenette ou dans la mezzanine, sans fausse pudeur, avides de plaisir et de vie. Ils jouissent au ralenti, les mains jointes, en orgasmes prolongés et presque douloureux. Au petit matin, ils se réveillent un peu plus vieux, comme étonnés d’être encore vivants.

Ils ont repris la route et voilà près de dix minutes que je roule derrière leur camping-car qui se traîne dans les côtes, qui me bouche l’horizon mais que je ne me décide pas à doubler de peur de m’y reconnaître au volant.

 

© Michel Koppera, mai 2009   

 

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Vendredi 15 mai 2009 5 15 /05 /Mai /2009 12:17

Ce fut mon dernier dessin à l'encre de Chine ( format 50X70 cm). Je l'avais intitulé " Trois saintes au soleil couchant". Pas grand chose à ajouter, si ce n'est que je leur avais laissé les mains blanches, comme pour signifier leur pureté malgré la lascivite de leurs poses, ainsi que la lubricité de leurs visages.

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Jeudi 14 mai 2009 4 14 /05 /Mai /2009 16:30

En Janvier 1970 sortait le premier numéro de la revue "ZOOM, le magazine de l'image". Revue bimestrielle consacrée certes à la photographie mais aussi aux arts graphiques ( dessinateurs, peintres contemporains et BD) J'ai acheté tous les numéros jusqu'en 1987, c'est à dire jusqu'au numéro 137. Aussi, je vous propose, comme je l'ai fait pour la revue "Fascination" de consacrer une page de ce blog à chacun des numéros de Zoom en vous ofrant quelques images ( mon choix est tout à fait subjectif, mais j'assume) Pour cela, j'ai créé une catégorie entièrement consacrée à cette revue.
La couverture du numéro 1 était une photo de Valérie LAGRANGE ( née en 1942 )prise par le photographe de charme James Baes.Valérie Lagrange fut une actrice-chanteuse culte des années 1970, actrice du mouvement hippie.

Autre photo de James Baes, le modèle Randi LIND qui avait entre autres posé pour le magazine érotique Penthouse. ( Belle photo en éclairage naturel, très sexy...)

On y trouvait aussi un entretien avec le dessinateur Raymond Bertrand ( né en 1945 ) dont je vous ai sélectionné 2 oeuvres datées de 1968 et 1969 ( sans titres ). Les dessins sont bien dans le style de l'époque, parfois surchargés et d'un érotisme qui se voulait raffiné. Pour plus d'oeuvres de Raymond Bertrand, allez voir sur Google, vous trouverez ce que vous cherchez.

Par michel koppera - Publié dans : zoom - Communauté : Fantasmes et écriture
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