Vendredi 5 décembre 2008
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Réédité en 1994 aux éditions Stock avec une très
longue et fouillée préface de J.J Pauvert, « Ma vie secrète » est paru initialement en 1902. Il s’agit du journal intime et anonyme d’un jeune homme de l’Angleterre de
la fin du 19ème siècle. Les initiations et expériences érotiques se succèdent à un rythme frénétique, donnant une impression d’une grande dépense d’énergie dans le seul but d’assouvir
une sexualité exacerbée. Voici quelques passages puisés au hasard des pages du premier tome.
Extrait 1 « Camille s’allongea sur le flanc, une jambe sur le lit, une jambe appuyée au sol, remonta sa chemise au-dessus de son
nombril, ses grandes jambes en bottines et bas immaculés, ses cuisses de la teinte légèrement brune que l’on voit aux femmes du Sud, entre elle un grand buisson de toison noire comme le jais, à
travers laquelle une strie carminée se montrait juste. Elle leva un de ses bras au-dessus de sa tête, et sous le corsage lacé montra le poil noir de jais de l’aisselle. Je n’avais jamais vu un
spectacle aussi délicieux (…) Me mettant entre ses genoux, je regardai entre ses jambes, le splendide buisson de poils noirs. Loin d’essayer de se
lever, ou m’empêcher, elle ouvrit plus grand les cuisses. J’écartai les lèvres du con : là, dégouttant d’un orifice rouge foncé, était mon essence. À cette vue, ma pine se dressa, toujours
dégoulinante, et s’introduisit dans le conduit bordé de sperme. (…) Avec Camille tout était comme nouveau. Elle me prévoyait même. Si je la poussais sur le bord du lit, elle basculait sur le dos
et ouvrait les jambes avec douceur, révélant sa fente de la manière la plus voluptueuse, sans parler. Si je m’efforçais d’ouvrir ses cuisses, elles s’ouvraient aussi largement que leur
propriétaire le pouvait, me laissant ouvrir, fermer, pincer, branler , ou souder son con, comme j’en avais envie. Sur une suggestion, elle écartait des deux doigts les lèvres pour permettre
l’inspection la plus complète. Si je la retournais, elle tombait sur le lit le cul en l’air comme un gobelet. »
Extrait 2 « La femme s’était jetée sur le lit et, sa tête appuyée sur sa main, me regardait. Sa chemise avait glissé de ses
épaules, dévoilant de gros seins blancs, et le noir buisson de poils d’une aisselle. Sa chemise était au-dessus de sa taille, une jambe fléchie, un mollet gras pressé contre une grosse cuisse,
l’autre allongée contre le lit ; les cuisses étaient grandes ouvertes, sur son con le majeur de sa main gauche qui ne parvenait pas à cacher la masse de poils noirs croissant sur son ventre.
Elle branlait son clitoris avec son majeur et souriait de manière engageante. « Viens et prends-moi, j’en ai tellement envie –je ne me suis pas fait tirer depuis une quinzaine ». Mon
amour d’un gros cul et d’un grand con poilu me revint d’un coup. »
Extrait 3 (voyeurisme )« Je jetai un coup d’œil et mes deux cousines entrèrent. « Seigneur, quelle quantité de poils elle a sur le con ! » s’exclama
mon éhonté cousin. Je les vis toutes les deux nues (…) « Voilà Mrs Maria » C’était elle. Elle se déshabilla. Une belle femme entre deux âges, ronde et charnue, avec une masse de toison
noire entre les cuisses : ce spectacle aurait roidi un coussin de sofa. Fred était enflammé."
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