Mardi 13 novembre 2007 2 13 /11 /Nov /2007 17:55

Chapitre 11, page 173 :
       " Charles, la main sur une bouteille de tequila, improvisa une conférence publique sur les poils pubiens des cinq continents. Comme il avait passé de longues années d'adolescence en Afrique de l'est; il commença par les pubis des femmes noires, semblables à de petits paillassons, avec des poils vrillés sur eux-mêmes, durs comme des grains de poivre noir..."

Par michel koppera - Publié dans : lectures x
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Lundi 12 novembre 2007 1 12 /11 /Nov /2007 11:04

     Lu dans le journal local : "Une femme va rendre visite à son frère qu'elle n'a pas vu depuis 25 ans. Le soir, il l'invite à dormir chez lui dans la chambre d'ami. Pendant la nuit, le frère retrouvé pénètre dans la chambre de sa soeur endormie et, sous la menace de son berger, il la viole." 
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    Dans les chroniques d'Alexandre Vialatte ceci : " Melville raconte qu'il habitait une maison d'où il voyait, sur la montagne, une autre maison, lointaine, où semblait habiter le bonheur. Il y alla et, de ce point élevé, il vit la sienne à l'horizon. Et ce fut la sienne, à ce moment-là, qui lui fit la même impression.
     Le bonheur n'est jamais qu'en face. "  

à Carteret.

À Carteret elle était nue                                            Nos deux enfants en habit de soleil
Loin des vagues, proche des rêves                            Traçaient d'étranges mots
De simple brume vêtue                                              De leurs pas sans sommeil
Que le vent dissipait sans trêve                                  Sur la marge des flots

Un ressac martelait la falaise                                      À Carteret, elle rêvait nue
Comme le sang ses hanches                                       D'une vague silence
Pâles où luisait la braise                                             Dont sa main retenue
Dans l'ombre de sa peau blanche                                Brisait la morne danse.

"Elle était comme une noix : dure, sèche et lourde à digérer. Je préfère les oranges"

Par michel koppera - Publié dans : inédits
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Dimanche 11 novembre 2007 7 11 /11 /Nov /2007 14:25
- " Ma sirène, ma si reine, masse Irène ! "

-" Ma poule a une dent contre moi. "

- Dicton: 
"Domfront, ville de malheur, 
Arrivé à midi, pendu à une heure."

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Par michel koppera - Publié dans : inédits
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Dimanche 11 novembre 2007 7 11 /11 /Nov /2007 13:52
Hier soir, Nantes, concert de Calogero. Zénith plein comme un oeuf ! Super concert, super feeling entre le chanteur et le public.  Chansons cultes. Bonne sono. 1h50 de bonheur. Et c'est ça qui compte, non ?
calogero.jpg  
Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Samedi 10 novembre 2007 6 10 /11 /Nov /2007 14:13
" Elle est comme une étoile. Elle ne brille que la nuit ; de jour, on ne la remarque même pas."

" Mettre la main au panier ; il faut osier ! "

Recette
" Trois petits cochons à la guerre
Tuent le loup en habit vert
Le chaperon rouge à la cantine
Cuisine le loup en nougatine."

" Le cynisme n'est qu'une technique, un savoir-faire mal."
Par michel koppera - Publié dans : inédits
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Samedi 10 novembre 2007 6 10 /11 /Nov /2007 11:46

En 1972, Bertrand Blier publiait son roman  "Les Valseuses" qu'il allait plus tard adapter au cinéma pour réaliser le film culte que l'on connaît.
Voici deux extraits de ce roman. Le premier présente Marie-Ange, personnage interprété par Miou-Miou dans le film.
    " Pierrot
avait le regard d'une étrange précision, braqué sur l'entrejambe de Marie-Ange qu'il suivait dans tous ses déplacements autour du tabouret, un vrai radar. Il arrêtait pas de fixer la tache sombre sous l'indémaillable avec les poils rebelles qui dépassaient les élastiques ou transperçaient carrément le coton. Il les comptait à la loupe, les poils, et les yeux commençaient à lui sortir sérieusement de la tête.
    Mais alors là où ça clochait sa jeunesse, sa fragilié, sa pudeur et tout le bordel, c'est qu'elle avait entre les cuisses une véritable anatomie de mère de famille, épanouie comme si elle avait pondu trois enfants à grosse tête, et une mère de famille plutôt garce pour être précis.
    Il s'étalait généreusement son engin, et il remontait haut par devant, sur une grosse bosse, pour qu'on le voie mieux. Un étalage une veille de fête. Une grande marée d'équinoxe qui laissait tout à découvert, poulpes, varechs, étoiles. L'univers à soi tout seul... Sacrée Marie-Ange ! Quelle embouchure !"
Le second extait est consacré au personnage de Jeanne qui ne sera pas repris dans le film.
     " Jeannne avait tort de vouloir dissimuler ses poils gris. Je suis descendu leur parler, leur expliquer qu'ils me plaisaient. Jeanne, sensible à ce langage, s'ouvrait comme une fleur enfin libre, une belle fleur de cimetière. Je suis monté sur elle et je l'ai fait jouir trois fois (...) Elle nous laisse faire provision d'images fumantes... Voilà ! Elle dit. Ca y est : vous êtes des grands ! Vous avez vu une femme nue.  Vous êtes contents ? Vous allez pouvoir drôlement les épater les petits copains de la communale ! Un régal ! ... Une vraie bonne femme, les mecs ! Une mémé qu'avait bien trente berges ! Et complètement à poil ! Elle nous a tout montré ! Ses gros nichons ! Et tous ses poils entre les cuisses ! Qu'est-ce qu'elle en avait ! Des noirs et des tout bouclés ! Même qu'elle nous a fait toucher ! Et même qu'elle s'est foutue à plat ventre pour qu'on lui voie les fesses." 
les-valseuses.jpg     

Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 9 novembre 2007 5 09 /11 /Nov /2007 17:39

Extrait de Dom Bougre ( Gervaise de La Touche, 1741)
     " Au plaisir que je ressentais, je reconnus le centre de la volupté. Il était ombragé d'un poil épais, noir et frisé. Toinette avait les jambes écartées. Il semblait que sa paillardise fût d'accord avec ma curiosité pour ne me rien laisser à désirer.
       Je m'enivrai de ce charmant spectacle : un bas proprement tiré, noué sur le genou avec une jarretière feu et argent, une jambe faite au tour, un petit pied mignon, une mule la plus jolie du monde, des cuisses, ah ! des cuisses dont la blancheur éblouissait, rondes, douces, ferme, un con d'un rouge de carmin entouré d'une haie de petits poils plus noirs que le jais et d'où sortait une odeur plus douce que celle des parfums les plus délicieux." 

Bribes de mon journal :

- Oui, j'ai envie de vous caresser la cuisse...
- Laquelle ? 
- Qu'importe ! La plus proche de votre désir.

" Les sillages des avions, comme des fils de laine qui tissent l'azur. Les hommes tricotent le ciel."  

Hiver, froidure : "Entrez donc, vous prendrez bien une poignée de feu !"

Amsterdam. Ruelles nocturnes du quartier rouge. Les haies de putains qui ondulent comme des peupliers au passage des hommes. 

Par michel koppera - Publié dans : lectures x
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Jeudi 8 novembre 2007 4 08 /11 /Nov /2007 22:09
Salade

Véronique, cette belle velue,
A dans le con une longue courgette
Et dans la bouche un gros noeud bienvenu
Qui glisse entre ses canines fourchettes.
Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 7 novembre 2007 3 07 /11 /Nov /2007 10:00

Petit quatrain lubrique.

                 
Pose
En simple culotte blanche ou en string moulant,
La folie de ses poils déshabille le jour :
Crins noirs, drus, pluie sombre sur le ventre, roulant
L'obscène posture de l'attente d'amour.

Lecture de Maximilien Bémol : "Le libertin de qualité" Mirabeau, 1783
" Nous restons seuls, ma belle se plonge dans un sopha ; sans s'amuser à la bagatelle, je saute dessus ; dans un tour de main, la voilà au pillage. Je trouve une gorge d'un rouge brun ; mais dure comme du marbre, un corps superbe, une motte en dôme et la plus belle des perruques..."

Quelques aphorismes extraits de mon journal :

" Il la regardait, le ventre droit comme un i."

"Conversation :
- Tiens,mais c'est Abel ! Comment ça va ?
- Bof, cahin-caha..."

"Déjà au lit ? ! Vous êtes vraiment couchée de bonheur !"

" - Moi monsieur, je suis employé de bureau !
  - Ah bon !... Dans quel tiroir ?"

Par michel koppera - Publié dans : inédits
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Mardi 6 novembre 2007 2 06 /11 /Nov /2007 09:58
Le con de Juliette

Le con de Juliette, noir corbeau,
Dont les poils poussent sur les cuisses
S'ouvre à la manière d'un tombeau
Sur la raideur du clitoris.

J'aimerais passer à mon gland
La bague fourrée de son vagin
Et toucher le bout du sein blanc
Pendant qu'elle sucerait mon engin,

Et sentir son con en fièvre
Qui suinte, bâille et mouille,
Mon doigt qui écarte ses lèvres
Et sa main qui masse mes couilles.

Mais je ne connais de Juliette
Que le sein blanc et le con,
Je n'ai jamais vu sa tête
Ni entendu sa bouche qui dit non. 

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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