Mercredi 9 janvier 2008 3 09 /01 /Jan /2008 14:34

terres-maudites-1.jpg

Après de longues années de silence, le narrateur retrouve un camarade d'université à l'occasion du mariage de ce dernier. Or, il devient vite évident que ce mariage est pour le moins étrange. Et voilà les deux amis en train de baiser ensemble la belle-mère du nouveau marié.
        " Solange a allongé François sur le dos, à même le tapis de laine du Cachemire, puis agenouillée au-dessus de lui, elle s'est empalée sur sa bite, me présentant le trou de son cul dilaté.
        - Vas-y, me souffla François. Son cul est une vraie merveille, crois-moi !
       - Oui, encule-moi, mon petit Michel, a ajouté Solange en se cambrant davantage pour déposer une noix de pommade lubrifiante sur son anus entrouvert.
        J'ai posé la tête de ma bite entre ses fesses écartées, et elle est entrée toute seule, sans aucune résistance ; d'abord la tête pourpre du gland, puis la colonne, centimètre par centimètre, jusqu'à la racine... Et, tout contre ma bite, je sentais celle de François, bite jumelle, juste séparée de la mienne par deux fines enveloppes de chair saturée de désir. Le cul de Solange était effectivement une merveille, onctueux, aussi confortable qu'un vagin, à peine plus étroit, mais plus chaud...
       Une fois bien calés, on a commencé à limer Solange, en alternance, comme une mécanique à deux pistons parfaitement huilés."
terres-maudites-2.jpg

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Mardi 8 janvier 2008 2 08 /01 /Jan /2008 18:01

Dans le Nouvel Observateur de cette semaine, du 4 au 11 janvier, trois clichés parus à quelques pages d'intervalle ont retenu mon attention, et je n'ai pu m'empêcher de les rapprocher et de les confronter.
1) En couverture, le cul de Simone de Beauvoir, photographiée en 1952 dans une salle de bains à Chicago, photo prise par un certain Art Shay, ami de l'amant de Simone, l'écrivain américain Nelson Algren. ( vous ne pouvez pas avoir raté cette une !)
Quel cul ! Fessier musculeux, chute de riens sublime accentuée par les mules à talons hauts qui forcent la cambrure. Quel âge avait-elle en 1952 ? 44 ans ! L'âge de la maturité. Dire que Sartre a caressé ces fesses, baisé ce cul merveilleux ! Mais aussi Claude Lanzmann et combien d'autres... Il y a dans ce cliché toute la dualité de l'écrivain, à la fois personnage public, froide icône médiatique, et la personne privée, secrète et sensuelle... Je crois que j'aurais volontiers donné une année de mon existence pour partager une nuit, en 1952, avec Simone de Beauvoir dans une chambre à Chicago. Pas vous ?
simone-de-beauvoir-1952.jpg
2) Quelques pages plus loin, cette photo de Julien Gracq datée de 2004. Il vient de mourir le mois dernier, quelques jours avant Noël. Une autre image de l'écrivain, sans doute plus conforme aux idées reçues: être solitaire, comme évoluant dans un autre monde, un univers intérieur qui nous est inaccessible. L'homme semble en harmonie avec le paysage qui l'entoure, avec cette grève herbeuse, cette végétation épaisse mais accueillante, ce clocher qui émerge au-dessus de la cime des arbres, ce ciel chargé de promesses d'orage... L'homme est en marche, fragile mais serein, presque souriant. Il ne nous regarde pas. Il marche. Il était né en 1910 à Saint Florent le Vieil, sur les bords de la Loire ; il est mort le 22 décembre 2007 à Saint Florent le Vieil sur les bords de la Loire, dans la douceur de l'hiver angevine... Tout Gracq est dit dans ces deux dates. Relisons Du Bellay ! " Quand reverrai-je hélas, de mon petit village, fumer la cheminée, et en quelle saison... "
julien-Gracq.jpg


















3) et puis, en page 37, Sarko et Carla Bruni sur le tarmac de l'aéroport de Louxor le 25 décembre 2007. On croirait une mauvaise doublure d'Al Pacino dans le Parrain. Un vrai chef mafieux ! Tout y est : les Rayban, le col de chemise largement ouvert, la moue dédaigneuse, l'escort-girl de luxe... Il ne manque que la gourmette, la chevalière en or massif avec inittiales gravées... La panoplie complète ! Mais ce n'est pas de la fiction, c'est l'image bling-bling de notre chef d'état... On se la fait à la Poutine, mi-playboy, mi-demi-sel... Misère et décadence.
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Voir ces 3 images juxtaposées me laisse une étrange impression de malaise... Cherchez l'erreur !

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Mardi 8 janvier 2008 2 08 /01 /Jan /2008 16:21

Le narrateur qui est parti faire sa vie de l'autre côté de l'Atlantique, apprend la mort de son oncle Robert. Il se rend aux obsèques et y retrouve une lointaine cousine. Il se trouve qu'il doit partager avec elle un héritage bien insolite. Evidemment, leurs retrouvailles iront plus loin que prévu....
       " Je m'assis à ses côtés et posai la main directement entre ses cuisses qu'elle écarta complaisamment. C'était bien ce que je pensais : elle était quasiment nue là-dessous, avec juste un string mauve qui lui cachait à peine la touffe. Les poils de sa chatte étaient longs et soyeux. Florence était déjà trempée de désir. (...)
       Avec les moyens du bord, ma bite, ma bouche et mes doigts, je me suis employé à lui procurer les plaisirs qu'elle me réclamait. Je ne sais si c'était l'évocation de nos vacances passées, les effets de la cassette vidéo, ou plus simplement un manque de luxure au quotidien, mais Florence en voulait. Elle commença par me gratifier d'une bonne pipe, comme pour me prouver qu'elle n'avait rien perdu de ses talents d'adolescente. Je retrouvai de lointaines sensations. Mais, depuis, Florence était devenue une femme mûre, avide de sexe plus hard, sans ménagement. Alors, elle se laissa lécher la chatte et le cul, se prêta volontiers aux jeux de doigts dans le vagin et l'anus, se fit baiser et enculer sans réticence. Elle avait les hanches généreuses, les tétons tojours aussi pointus, les seins lourds et la vulve huileuse. Elle m'encourageait des fesses et de la voix :
     - Vas-y Michel, mets-la bien au fond, que je sente que ta bite me remplisse le con ! Oui, comme ça, plus vite ! Non, ne t'en va pas, pas encore.
.."  
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Lundi 7 janvier 2008 1 07 /01 /Jan /2008 09:50

Le narrateur qui est employé au tri postal rencontre fortuitement une de ses anciennes professeurs dans un bar de nuit. La femme l'invite à passer le lendemain après-midi prendre le thé chez elle. Elle est veuve... L'alcool aidant, la visite de courtoisie tourne vite à la partie de cul :
" La croupe en l'air, madame Cabard agitait les bras et chechait de nouveau à saisir ma queue. Elle m'a empoigné avec autorité et attiré vers son cul Elle n'a pas eu besoin de lubrifier la collerette déjà visqueuse : j'ai tout enfoncé d'un coup, jusqu'à ce que l'anneau de sa chair dilatée vienne toucher mes couilles. Dans son intestin, la chaleur était intense. J'en ai totalement oublié que j'étais en train d'enculer une femme laide et ivre morte. En ces instants, elle n'était plus qu'un cul avec ma queue plantée en plein milieu, une vulve où je glissais quatre doigts pour baratter la sève de son désir. madame Cabard rugissait avec force, contractait violemment ses sphincters sur ma bite de marbre...
 Lorsque je lui ai tout lâché dans le boyau, elle a continué à s'agiter en attendant de toucher elle aussi au sommet de son plaisir."
 
l-heure-du-the.jpg  

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Dimanche 6 janvier 2008 7 06 /01 /Jan /2008 10:57

Dans cette nouvelle, le narrateur, cadre dans une grande entreprise, est envoyé en mission de remplacement dans une sucursale de province, en plein hiver. C'est la galère, jusqu'au dernier jour où bloqué par la neige, il ne peut reprendre la route de la ville. Il est amené à dormir chez une vieille fille célibataire au fessier rebondi qui va se révéler une amante insatiable :
     " Me reprenantt en main, elle m'entraîna par la bite vers sa chambre discrètement éclairée par une petite lampe de chevet qui laissait plus deviner qu'elle ne dévoilait les tendresses du lit.
       En deux mouvements, elle a quitté sa robe de chambre et relevé des deux mains sa chemise de nuit bien au-dessus de sa taille. Elle a tourné deux ou trois fois sur elle-même, dévoilant tantôt son ventre rond, ses cuisses grasses, sa touffe drue, tantôt sa croupe rebondie où les deux globes laiteux de ses fesses étaient séparés par un sillon profond et sombre qui se perdait dans les méandres de sa chair... Par devant, par derrière ? À votre convenance !
       J'ai choisi l'envers du décor et, comme je la poussais doucement vers le lit, elle s'est laissé lentement basculer vers l'avant. Le buste sur les draps, jambes écartées, elle est restée comme suspendue, le cul en l'air, à m'offrir la fascination de sa croupe de matronne."
 

illustration de Peter Fendi, le grand spécialiste des femmes callipyges.
la-succursale.jpg

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Samedi 5 janvier 2008 6 05 /01 /Jan /2008 11:19

Dans cette nouvelle, le narrateur est un jeune professeur de mathématiques qui est le souffre-douleur de sa directrice. Grâce à une lotion à l'androstérone, il parvient à la séduire, du moins attribue-t-il son succès à ce produit miracle.
     " Madame Rougerie reposa le téléphone et d'un coup de reins m'engloutit tout entier. j'eaus l'impression de m'enfoncer au coeur d'un essaim de méduses chaudes, perpétuellement agitées de spasmes langoureux. C'était doux et visqueux.
      Nous étions chevillés l'un à l'autre. moi debout, elle allongée perpendiculairement qui me retenait dans l'étau de ses cuisses. je lui caressais les seins et le cou. De temps à autre, je passais une main impertinente sous ses fesses pour lui exciter l'anus qu'elle avait fort dilaté et trempé. Elle continuait inlassablement de se branler le clitoris tout en serrant les dents pour contenir ses gémissements de plaisir.
     Elle jouit une première fois, souffle bloqué, corps tendu.
    - Attendez, souffla-t-elle en s'écartant pour fouiller dans la pile de papiers au coin du bureau.
    Elle s'empara d'un formulaire officiel et, tout en me branlant de la main gauche, elle commença à rédiger :
    Appréciation générale : professeur qui a fait ses preuves professionnelles. Consciencieux et efficace, M. Legoff donne entière satisfaction. Note proposée : 30 sur 40 

   - Signez, s'il vous plaît ! dit-elle en glissant la feuille vers moi.
sciences-naturelles.jpg

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Vendredi 4 janvier 2008 5 04 /01 /Jan /2008 09:57

Troisième nouvelle du recueil, "Coeur croisé" raconte l'initiation d'un adolescent aux jeux de l'amour. Cet apprentissage se fait en compagnie d'une jeune fille d'un an sa cadette. Plus jeune certes, mais plus délurée. Dans l'extrait qui va suivre, elle initie le narrateur à la pratique du 69.

   " Quelques contorsions plus tard, je n'avais plus devant les yeux que les globes de ses fesses blanches, réunies par un sombre vallon. On a coutune de dire que les premières fois sont inoubliables, et on a raisn. Plus, ce sont les fondations mêmes de notre mémoire. Comment ne pas se souvenir de la saveur si particulière de son fruit exotique, juteux et tendre ? Comme l'impression de plonger à pleine bouche dans la pulpe intarissable d'une mangue dénoyautée, d'une papaye égrenée... Plus rien d'autre n'existait. Rien, sauf ces sensations inconnues, au bas de mon ventre, où je me devinais palpé, caressé, léché, absorbé... Chaleur intense de ses lèvres en fourreau et frémissement de ses cheveux déployés sur mes cuisses et mon ventre nus. Malgré ses quatorze ans, elle engloutit sans hésiter toute ma jouissance qui s'écoula dans sa bouche juvénile." 
coeur-croise.jpg  j'ai perdu le nom de cet illustrateur. Si quelqu'un le connaît, merci de me l'indiquer.

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Jeudi 3 janvier 2008 4 03 /01 /Jan /2008 10:01

Seconde nouvelle du recueil, "la bibliothèque rose" met en scène un couple et leur femme de ménage. Dans l'extrait qui va suivre, le mari regarde par une sorte de guichet dérobé les deux femmes en train de se caresser.
    " La femme de ménage esquissa une vague résistance, mais Valérie avait déjà pris possession de son ventre moite. Ses doigts caressants fouillaient dans le sombre buisson. La femme de ménage poussa un gémissement, ses jambes fléchirent. Elle avait fermé les yeux.
     Valérie lui saisit la main et la guida jusqu'au centre brûlant de son désir.
    Elles en tremblaient toutes les deux. Valérie l'entraîna sur la moquette épaisse, posant ses lèvres sur sa bouche, sur ses seins lourds, entre ses cuisses ouvertes. De l'autre côté, je jouissais sans discontinuer, flot après flot.
    Maintenant intégralement nues, elles s'embrassaient ave passion, jambes nouées, sexe contre sexe, vulve à vulve, ventousées l'une à l'autre, mêlant leur fièvre et leurs halètements..." 


biblioth--que-rose.jpg dessin de Hugdebert, un des maîtres du genre

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Mercredi 2 janvier 2008 3 02 /01 /Jan /2008 13:59

Pour commencer l'année, je vais vous présenter quelques extraits choisis des nouvelles qui constituent le recueil "Body Gym" paru en août 2007 aux éditions Le Cercle. Chaque extrait des 13 nouvelles de l'ouvrage sera accompagné d'une illustration (dessin ou photo). Je m'excuse par avance auprès des illustrateurs dont j'utiliserai les dessins sans référernce à leur auteur ( références perdues ).
Voici donc le premier extrait, issu de la nouvelle 'Body Gym" qui a donné son nom au recueil.

" Ca faisait longtemps que je n'avais pas fait ça en plein jour. J'en ai profité pour me gaver les yeux de sa chatte. Je l'ai regardée partout, écartant les lèvres pour voir à l'intérieur, comme si je voulais la pénétrer avec un périscope, jusqu'au fond. J'y ai mis les doigts, j'y ai enfoncé la langue, mêlant ma salive aux sécrétions visqueuses qui coulaient de sa vulve empourprée. ma bouche glissait aussi entre ses fesses où je lapais sa vallée culière sur toute sa longueur, du périnée au bas des reins, pointant un bout de langue curieux dans le trou de son cul dilaté."
body-gym-1.jpg

 

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Dimanche 30 décembre 2007 7 30 /12 /Déc /2007 10:31
Météo. La tempête pèle les toits, comme des poissons dont elle éparpille les écailles dans les jardins détrempés.

Visite. Il arrive chez elle comme dans un cimetière, avec des fleurs.

Botanique. Il paraît que la fleur du rosier est une souffrance. Et ta fleur, ma compagne ? Ta fleur pourpre, épanouie et montée sur tiges...

Inédit. Quatrain ibérique.
Toréador qui n'a pas la trouille
Au taureau qui le menace
Balance dans les couilles
Un grand coup de godasse.




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