Vendredi 7 décembre 2007
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Relu dans une interview de John Kenneth Galbraith, économiste de renommée mondiale cette phrase : " Rien ne donne autant l'illusion de l'intelligence qu'une
relation personnelle avec de grosses sommes d'argent." Je pensais que cette réflexion pourrait sans peine s'appliquer à nos dirigeants... Suivez mon regard !
Jeunes filles au chat. Deux versions : celle de Renoir et celle de Paris-Hollywood des années 60. Les deux sont charmantes, érotiques aussi. Il suffit de regarder les yeux clos, le sourire,
l'épaule nue de la jeune fille de Renoir. La seconde a un beau regard et semble fière de son corps qu'elle montre sans retenue ( malgré l'ombre pudique du censeur ).
Par michel koppera
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Jeudi 6 décembre 2007
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- Le pauvre homme qui doit se contenter du triste minimum.
_ Une gourmette d'argent tinte à son poignet droit : c'est un homme domestique.
- Les gamines de Balthus, les veuves de Clovis Trouille, les endormies de Delvaux, les femmes bleues sans regard de Labisse, les invisibles de Jean-Marie Poumeyrol, les corps nus et gras
d'Ingres, les poupées tourmentées d'Hans Bellemer, les opulentes de Félicien Rops, sans oublier les dodues de Boucher, toujours nues, les fesses offertes à l'amant voyeur et sodomite.... Telles
pourraient être les premières oeuvres de mon musée secret... Le temps que je rassemble les tableaux et dans quelque temps, j'inaugurerai sur ce blog la galerie Michel koppera...
En attendant....
Clovis Trouille et François Boucher
Par michel koppera
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Mercredi 5 décembre 2007
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/2007 11:47
Petite histoire grivoise
- Robert ! Viens voir, c'est une honte... Regarde un peu le journal télé, ils montrent des gens en train de faire l'amour !
- Hein ? Mais non, voyons, c'est juste Fidel Castro qui mange une banane !
Blaise Cendrars écrivait ces mots sublimes : " Elle est toute nue, n'a pas de corps. Elle est trop pauvre."
Le pieux adore les saints et leurs auréoles, alors que moi, au pieu, j'adore les seins et leurs aréoles.
Par michel koppera
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Lundi 3 décembre 2007
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/2007 09:32
Entendu cette info, il y a une vingtaine d'années à la radio : " En Angleterre, un jeune garçon se rend à pied à sa leçon de violon. Pour ouvrir
une barrière, il pose quelques instants son étui sur la chaussée. Arrive un bus qui écrase et éventre l'étui. L'élève, consterné, ramasse les débris de son instrument et découvre une inscription
à l'intérieur, inscription qu'il n'avait jamais vue, et pour cause ! "Stradivarius !" C'était un violon que ses parents lui avaient acheté 20 £ chez un brocanteur. Un Stradivarius en état valait
à l'époque au moins 5 millions de francs ! Et en morceaux ? "
Article de dictionnaire érotique imaginaire
J'avais inventé les mots "scopophilie" et "scopomanie"
SCOPOMANIE : Propension pathologique, obsédante et irrépressible à observer. La scopomanie se distingue du voyeurisme par son absence de sentiment de culpabilité.
Dérivé : AUTOSCOPOMANIE. Fantasme sexuel où l'excitation, voire la jouissance, repose en grande partie sur la contemplation du reflet de son propre corps dans un miroir. Bien que
voisine du "syndrome de la psyché", l'autoscopomanie en diffère par le fait qu'il ne s'agit pas nécessairement d'un plaisir solitaire puisque l'autoscopomane peut éprouver du plaisir à se
regarder en compagnie d'un ou d'une partenaire " À propos de l'autoscopomanie, où le ça se confond avec le moi, peut-on encore parler d'objet du désir ? Ne serait-il pas plus
approprié de parler de sujet du désir ? "(J. Lacan) v. narcissisme,
nombrilisme.
Jeune femme autoscopomane en train de contempler son
sexe dans un miroir.
autoscopomane narcissique en lingerie rouge devant son miroir
Par michel koppera
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Dimanche 2 décembre 2007
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/2007 16:26
Ma fille dessine. Elle a 12 ans, ça promet ! Surtout quand on voit la vignette du vendredi...
Par michel koppera
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Samedi 1 décembre 2007
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Pas le temps de m'occuper de mon blog aujourd'hui. Alors juste un conseil de lecture :
un petit bijou de Philippe Bertrand paru aux éditions de la Musardine ( P. Bertrand, vous savez, l'animateur de l'émission de France Inter "L'as-tu vu on p'tit loup" ). Les dessins sont super, le
texte pas mal non plus. à plus.
Par michel koppera
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Mercredi 28 novembre 2007
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/2007 14:53
Le catalogue est arrivé comme tous les mois par la poste, "sous pli discret". Le sexe en libre service. Voici la liste de quelques titres de DVD proposés
dans le n° 125, de nov-déc 2007 : " Gonzo attitude ; Etudiantes, les pièges de la prostitution ; Les fantasmes interdits ; Amatrices prises par l'anus ( elles pourraient être vos voisines ) ;
Filmés entre amis ; 20 strip-teases ; Salopes d'infirmières ; Sirop d'orgie ; Explosion de gros seins ; Petites bouffeuses de chattes ; Bagarres de femelles ; Enculeuses de femmes ; Rachida et
ses soeurs ( politiquement incorrect ? ) ; À nous les petites beurrettes ; Bites noires, culs blancs ; J'aime les bites noires ; Soif d'anal ; Dans l'anus SVP ; Vieille canaille ; Jeunes
minets pour femmes mûres ; Des hauts et des bas ; La rentrée des pisseuses ; Fist à gogo ; Fessée extrême ; Nurses scato ; El perro Chingador ; Trans anal brazil 2 ; 100% amateurs
; Turbo baise ; Chauds lapins libertins ; Big mamas ; etc
Il ne reste plus qu'à se branler et là encore, on trouve tout ce qu'il faut :
Par michel koppera
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Mardi 27 novembre 2007
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- Fruit pulpeux de son ventre, mûr, sans armure, où murmure et sussure la chair dure qui dure.
- Le corps à la fenêtre, penché entre les deux rideaux en percale rose de son ventre blond : il pleut du désir.
- Je devais avoir sept ans et il y avait un refrain que j'entendais chanter à la fin des banquets et autres repas de mariage :
" Je ne suis pas curieux, mais je voudrais savoir,
Pourquoi les femmes blondes ont les poils du chat noir ! "
Cette chanson me plaisait. Je n'y comprenais rien mais instinctivement, je pressentais que,
derrière les mots, se cachait un secret, une énigme. Il me suffisait, pour m'en convaincre, d'observer les minauderies, les éclats de rire et autres rougeurs sur les joues des femmes que les
paroles provoquaient chez les convives.
Par michel koppera
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Lundi 26 novembre 2007
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1 ) Septembre, visite au château d'O, aux confins de l'Orne. Le groupe suit le guide. Une mère avec sa fille d'une
douzaine d'années ( c'est du moins l'âge qu'elle paraît... ) Dans chaque salle, à chaque arrêt du guide, l'enfant s'arrange pour isoler sa mère dans un coin, puis elle l'enlace, l'embrasse,
lui lèche le cou. Plusieurs fois, elle lui caresse les seins à deux mains. Un vrai massage... À deux reprises, elle lui glisse la main entre les cuisses et lui caresse lentement le sexe à travers
le tissu du pantalon. Une masturbation en bonne et due forme? La mère se laisse faire, très passivement, sans même chercher à écarter sa fille... Elle continue à écouter les explications du
guide, ainsi que son mari ( père ou beau-père ?) qui semble se désintéresser complètement des manoeuvres érotiques de la
gamine.
2) Il y a quelques années, un mois de mars, j'étais à Venise, seul. Un étrange voyage, encombré de solitude. Ce n'est que maintenant que je réalise combien
ce voyage était fabuleux, combien j'étais en quête d'identité.
Je me revois assis, à la tombée du jour, au pied de la colonne du Lion de venise. En face, Santa Maria del Salute, San Giorgio Maggiore et, à l'horizon, les premières lueurs du
Lido. Les vaporetti allant et venant sans bruit. Les gondoles vides, comme des cormorans posés sur l'eau.
La brume venait de la lagune, inexorable.
J'allais. Je traversais San Marco et m'enfonçais dans le dédale des ruelles... Jusqu'à trouver une trattoria où manger un plat de spaghettis ou une friture de poissons.
La nuit venue, je marchais de nouveau, longtemps et loin, jusqu'aux arsenaux, jusqu'à leurs grands murs sombres et aveugles. Vers minuit, je rentrais à l'hôtel, sans hâte.
Certains jours, je prenais un bateau pour une île plus lointaine comme Torcello.
Un soir, j'ai repris le train bleu pour Paris, pour la terre des hommes.
Par michel koppera
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Vendredi 23 novembre 2007
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Demain, je tournerai - provisoirement ? - la dernière page de l'album interdit de Maximilien Bémol. J'ai entrepris l'écriture de ce roman en avril 1992. Dans les premiers temps, ce n'était qu'une nouvelle d'une vingtaine de pages, mais très
vite, il me devint évident que je ne pourrais jamais "épuiser" mon sujet en si peu de pages. La nouvelle s'enrichit de nouvelles situations, puis de nouveaux personnages jusqu'à devenir le livre
actuel. Tout cela ne s'est pas fait en un jour : il y eut des abandons, des remodelages plus ou moins importants, des remords, des retouches innombrables... Jamais je n'étais satisfait. Il a
fallu pourtant un jour se décider : le manuscrit est parti chez l'éditeur... Dix jours plus tard, par un dimanche ensoleillé de novembre 2004, alors que j'arpentais une plage de
l'Atlantique, mon téléphone portable a sonné : c'était le directeur de la maison d'édition qui m'appelait pour me dire qu'il était intéressé par mon roman et décidé à le publier... Imaginez
la scène: l'océan lisse comme un miroir, le soleil bas de novembre... Et la bonne nouvelle ( même si cet ouvrage était ma 4ème publication, l'émotion est toujours identique, comme
à l'annonce de la naissance d'un enfant ! ). Mon rêve serait maintenant de voir ce roman adapté en B.D. ou plus modestement quelques scènes transposées en image... Illustrateurs, vous
êtes les bienvenus. à bon entendeur salut!
Par michel koppera
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