au jour le jour

Mardi 17 juin 2008 2 17 /06 /Juin /2008 10:06

10 janvier. Vu à Paris, sur un large trottoir près de la Place de l'hôtel de ville, en face du BHV, une grosse femme noire, encore jeune,  au fessier imposant, en jupe de cotonnade bariolée, à quatre pattes au-dessus d'une bouche d'aération du métro. Elle psalmodiait une sorte de mélopée triste... Autour d'elle, son bric-à-brac de SDF fait de cartons, sacs plastique, lambeaux de couvertures... Il faisait un vent glacial et une température de deux degrés. Je songeais à ses rêves d'occident, à ses illusions perdues, à son destin qui l'avait menée jusque-là, jusqu'à cette grille absurde sur un trottoir de Paris... C'est sans doute aussi cela, la mondialisation.
20 janvier. Facile : le chameau blatère, l'homme déblatère.
9 février. Il était une fois un homme avec une si petite bite qu'on l'avait appelé Virgule.
22 février. En grand uniforme noir et blanc, la pie arpente la cour de son pas de majordome. Elle veille à ce que chaque chose soit à sa place ; elle ne supporte pas le désordre.
4 mars.Voyage à F... Aucune poésie, mais du sordide, du brutal. Après, il ne reste plus que la honte de soi-même, la honte de s'être livré à cette transaction sordide. La femme était laide, d'une immense tristesse rance... Et pourtant, il y avait ce ventre envahi d'une pilosité clairsemée, cette crevasse humide et chaude, grande ouverte. J'étais venu pour ça... D'une certaine façon, on peut dire que j'en ai eu pour mon argent. Qu'est-ce que j'étais allé m'imaginer : de la beauté, du fantasme devenu réalité, du glamour ?
4 mai. Séance de pose pour des photos X. Elle est très mouillée. Sexe gonflé de désir... Sublime.
16 mai. Pique-nique entre presque inconnus. Parmi tous, il y a un couple : lui travaille dans la finance, elle est femme au foyer. Lui français pur jus, elle maghrébine, la quarantaine, brune, bien taillée. Une poitrine généreuse, un cul sublime à en juger par les rondeurs de son jean... Et grande avec ça ! Côté face, ce grand triangle à la très large base inversée... Non pas triangle, plutôt trapèze. Je devine tout : le moelleux du pubis, la fourrure abondante dont je traque les indices sur ses tempes, sur sa nuque découverte... Je regarde ses lèvres pour voir sa bouche secrète, son nez pour deviner la grosseur de son bouton nacré... Elle respire la fente épaisse, la vulve juteuse, la chatte velue... Il paraît qu'elle s'appelle B* Ah ! Si j'avais le temps, si j'osais, j'y mettrais tout mon courage et mon ardeur n'aurait plus de fin...
29 mai. Gala bisannuel de danse. Tous ces ventres plats, ces seins juvéniles, ces corps écartelés, ces déhanchements lascifs, ces poses provocantes. Par centaines, jusqu'à l'écoeurement visuel. 
29 juin.Il y a sur Internet des merveilles pileuses. J'en reviens toujours, et parfois malgré moi, à ce fantasme pileux qui occupe de plus en plus de place dans ma vie. Il faudrait d'abord inventer des mots nouveaux pour ces chattes, ventres et entrefesses velus : ne pourraient-ils pas être touffeteux ou touffelus ? Les amateurs pourraient se regrouper en association, avec des statuts, un président, un secrétaire, un trésorier, et une revue... Tout cela doit bien exister ?  

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Vendredi 13 juin 2008 5 13 /06 /Juin /2008 14:41
Détournement d'une pub de Renault pour la nouvelle Clio. J'aurais souhaité mettre un gros gode à disposition posé sur les draps entre les deux conjoints mais je n'ai pas trouvé d'image de la bonne dimension.
Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
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Lundi 9 juin 2008 1 09 /06 /Juin /2008 17:52

9 janvier. Elle se prénomme Sandra, ça doit être comme ça qu'elle dort. Il y a toujours dans ses rapports avec les hommes un-je-ne-sais-quoi de sensualité provocante, comme sa façon de s'asseoir sur une banquette, un rien avachie, les cuiises écartées, de manière à ce que son jean épouse bien l'arrondi de son mont de Vénus qu'elle a d'ailleurs bien rebondi... Et elle nous regarde droit dans les yeux, comme si elle nous disait :" Allez, viens me baiser ! Qu'est-ce que tu attends ?"
18 février. Rêve classé X. Je suis assis nu sur un tapis, la tête entre ses genoux écartés. Elle est accroupie sur le canapé, elle n'a gardé que ses bas. J'ai devant les yeux sa fantastique touffe noire et une vue imprenable sur son sexe et son cul. Je la lèche, je lui demande de pousser fort comme si elle voulait m'offrir son ventre. Alors, elle pousse et je vois l'intérieur de son vagin comme une grotte mystérieuse et son anus qui prend l'aspect d'un cul de poule sur le point de pondre un oeuf. je lui dis que c'est magnifique ; elle mouille...
Plus tard, je lui enduis la fente et le cul d'un gel spécial fist. Je lui introduis mes doigt gantés de latex dans la chatte ( quatre doigts) puis dans le cul ( un, deux, enfin trois doigts) Pour terminer, je la baise avec une grosse courgette sous préservatif. Elle jouit en continu. Sur le latex, il y a un liquide visqueux et blanchâtre, c'est sa mouillure. À aucun moment, je n'entends sa voix, ni ne regarde son visage.
5 mars. Jeux de mots ( exercice de style)
Je me souviens de votre ventre ouvert, de vos lèvres visqueuses de salive ovarienne, du vertige de votre mont de Vénus, de votre vulve bivalve, de votre vagin vorace et de la vallée velue de votre valseur révulsé.
 Je me souviens de ses seins pointus, de ses fesses charnues, de son petit trou goûtu, mais aussi de sa poitrine menue, de ses mamelons grenus, de sa chair nue, de sa motte chevelue, de sa chatte poilue, de ses lèvres à-bouche-que-veux-tu, de ses exhibitions saugrenues, de ses fausses pudeurs convenues, de ses bas suspendus, de ses trings ingénus, de ses cris retenus, de ses orgasmes en continu, de ses poses en petite tenue, de son fruit défendu, de ses soupirs éperdus, de son sourire entendu, de ses reins tendus, de ses aisselles touffues, de son clitoris en mal d'absolu, de sa fente velue, de toutes les années perdues à oublier son cul... 
21 avril. On vide le grenier, c'est comme un lavage de cerveau.
8 septembre. Paris. Au Musée d'Orsay, nous avons vu le tableau de Courbet "L'origine du Monde". Superbe et beaucoup plus sensuel qu'en photo. pendant l'orage, nous avons vu des Pakistanais ou des Sri Lankais qui vendaient des parapluies sous des trombes d'eau qui les trempaient de la tête aux pieds... À Montmartre, j'ai vu le string des femmes assises sur les marches du Sacré-Coeur. Rue de la Gaieté, nous avons croisé de jeunes prostitués qui marchandaient avec un homme vénérable. Au restaurant chinois, j'ai vu une femme en petite tenue sous une petite loupe au fond de mon verre de liqueur de litchi...
6 octobre. les jeux olympiques sont terminés. Je ne regardais que les épreuves où l'on peut voir des femmes en short ou en maillot. J'observe le renflement de leur pubis et quand elles sautent, j'espère toujours entrevoir quelques poils de cul ou de con déborder des coutures trop ajustées à mon goût... Je ne pense plus qu'au con des femmes, je n'écris plus que des histoires de cul, je ne lis plus que des livres de cul, je ne suis plus qu'une pensée unique tourné vers le cul. Je voudrais être l'homme invisible pour n'être plus qu'un regard, une paire d'yeux qui se glisserait sous les jupes des femmes ou sous leurs draps pendant qu'elles dorment... Il y a aussi Aurélie, la voisine, dont le corps dégage une onde de chaleur lubrique que je dois être le seul à entendre et ressentir... À table, elle mange sans vraiment fermer la bouche si bien que sa mastication évoque de gargouillis vaginaux. Il y a dans les traits de son visage une sorte de mollesse générale, presque pornographique...
25 octobre. - Sire, soyez concis ! demande le grand Vizir à son calife.
29 octobre. Voyage en Enfancie : on y retrouve des objets aux couleurs passées
, les clefs aux serrures rouillées... Mais tant de choses ont changé et les arbres font de l'ombre.

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Mercredi 4 juin 2008 3 04 /06 /Juin /2008 11:39

1er février.Marie, arrête de me regarder comme ça en remuant les fesses ! Je pourrais te présenter mon petit Jésus.

15 février. Enfant voleur, enfant menteur, enfant tricheur enfant violeur, enfant violent... Enfant tumeur, enfin tu meurs...

22 juillet. Je me souviens que lorsque j'avais 15 ou 16 ans, j'aimais feuilleter les romans feuilletons ( je veux dire les romans-photos) italiens que vendait ma grand-mère. Il y avait des scènes érotiques : on y voyait des femmes brunes en dessous sexy ( culotte et soutien-gorge en dentelle blanche, porte-jarretelles et bas sombres) mais surtout, elles avaient du poil aux aisselles et cela me faisait bander. Je me branlais jusqu'à jouir en les regardant et j'aimais voir mon sperme éclabousser leurs touffes noires sous les bras...
       Par contre, je détestais Paris-Hollywwod parce que les photos étaient retouchées pour effacer toute trace de poil pubien. Ces filles ressemblaient à des nymphes ou des naïades de Ingres. Depuis, j'ai acheté des livres où l'on peut enfin voir ces photos non retouchées. Certains modèles avaient des touffes superbes.
       Sur internet, il y a à ce jour plus de 400.000 sites où sont répertoriés les mots-clefs : "hairy cunt"ou "hairy pussy" (photos de Serge Jacques,  première retouchée pour la censure, la seconde "naturelle")
































17 août.
Barcelone. Tout près de la colonne de Christophe Colomb, au bas des Ramblas. Vu, à un feu rouge, parmi le groupe de piétons qui attend de pouvoir traverser, il y a un jeune couple. Elle est appuyée sur un petit caddie à provisions, debout, les jambes très écartées, le tête reposant sur ses bras repliés sur le caddie... Elle est brune et encore jeune. Le gars est à genoux en face d'elle, la tête sous sa jupe relevée à mi-cuisses, il est en train de lui lécher la chatte. De sa main droite passée derrière les fesses de la fille, il lui écarte le slip. Les passants les observent, médusés. Quand c'est terminé, la fille sort un billet de 10 euros de son porte-monnaie et le donne au gars. Ils se remettent en route ensemble. Qu'est-ce que c'était ? une passe, un pari ? On ne saura jamais...
        C'était la troisième fois que je voyais des couples se livrer à des jeux de bouche en public. La première fois, c'était en décembre  1992 à la Réunion, une fille qui taillait une pipe à un mec, sur un banc, dans l'ombre des arbres d'un petit parc public. La seconde fois, c'était à Paris, en août 2002, dans une allée proche de l'entrée du jardin des Plantes. Sur un banc, il y avait un couple d'homosexuels. Celui qui était le plus jeune, la tête posée sur les cuisses de son compagnon, était en train de le sucer doucement. L'autre, la main posée sur ses cheveux, accompagnait du bassin, les mouvements de va-et-vient de sa tête.

8 octobre.La chimie des arômes, l'alchimie du désir... Les phéronomes frénétisent ses sens. Elle se rapproche, elle recherche les frôlements furtifs, les attouchements anodins.
Vieillesse. Inexorablement les traits s'affaissent, comme une lente putréfaction sans odeur.

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Mercredi 28 mai 2008 3 28 /05 /Mai /2008 14:21

3 janvier. Je me souviens de la magnifique touffe noire de Catherine Ringer quand elle n'était pas encore la chanteuse des Rita Mitsouko. Dieu qu'elle était belle !    et qu'elle doit l'être encore. ( voir les deux photos ci jointes )

15 juillet. Elle avait parfois cette position d'une grnde obscénité sensuelle. Montrer, cacher... Montrer tout en cachant, cacher tout en montrant...


3 septembre. Coliques néphrétiques : tout ça pour pisser du sable !
- J'ai deux amours : la chatte et le cul.
3 décembre. je me souviens qu'il y avait dans les années 80 une groupe de musiciens des rues qui s'appelait "Urban Sax". Ils défilaient lentement, tout de blanc vêtus d'une combinaison et de gants immaculés, la tête enveloppée d'une capuche et d'une sorte de masque blanc, sans aucune expression. Ils jouaient une musique lancinante, monotone et sinistre comme une sirène annonçant l'apocalypse...
 

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Lundi 26 mai 2008 1 26 /05 /Mai /2008 10:48
Pour le plaisir, le détournement d'une pub Hermès...
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Vendredi 16 mai 2008 5 16 /05 /Mai /2008 17:43

23 janvier.
- CDrom avec de pures merveilles obscènes, et le gros cul d'Internet, d'Internénettes...
- Le lapin, il grignote, il crotte... et ainsi de suite, jusqu'au civet final.
- Elle s'appelle Servane. C'est presque un nom de voiture. justement, on a comme une envie de se mettre au volant, de toucher à tous les boutons du tableau de bord, de lui soulever le capot, de lui vérifier les niveaux et de faire ronronner son petit moteur.
6 février. Lu ce matin un gros titre de magazine : "Orgasme : jouissance ou tyrannie ? " Déjà le titre est étrange, mais en plus le "ou" est incompréhensible. Où est l'alternative ?
3 mars. Relevé dans un petit catalogue de revues et vidéos X  ces quelques bribes d'anthologie : " Je baise ma mère, j'encule ma soeur. Ces filles sont nées pour être enculées, ça ne fait pas l'ombre d'un doute. Chatte perdue sans collier. Trois belettes accompagnées de leur moitié masculine à la couille glabre. Fellationnement vôtre. Éjaculations punitives..."
24 mars. Quelques blagues sans conséquence:
- À quoi voit-on qu'un avocat est en train de mentir ? Ses lèvres bougent.
- Donnez un franc à une blonde qui a une idée... elle vous rendra la monnaie
3 mai. Conversation.
- Laëla ! Laëla ! Elle est ou Laëla ?
- Elle est pas là.


23 mai.Bureaux L'instinct du chasseur ! Une remplaçante brune, petit ventre rond, peut-être 35 ans. Elle a l'air un peu coincée, mais je suis sûr que, entre ses jambes, c'est de la braise. j'ai deviné la touffe généreuse couleur anthracite, le clito arrogant... Bref, la super affaire au lit. Bon courage ! À consommer avec modération.
22 juillet. Je me souviens qu'adolescent, je m'allongeais sur le dos, entièrement nu, le sexe coincé entre mes cuisses serrées, rien que pour imaginer quelques instants que j'étais une jeune fille. Ce spectacle avait quelque chose de troublant.
11 septembre. Bienvenue dans le troisième millénaire !

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Jeudi 8 mai 2008 4 08 /05 /Mai /2008 17:04

27 janvier 2000. Lu dans l'Odyssée, cette description de l'entrée de la grotte de Calypso :
      " Il (Hermès) passa sur la terre jusqu'à la vaste grotte que la nymphe aux cheveux bouclés habitait. Il la trouva devant un grand feu ; l'odeur du cèdre et du thuya ardents parfumait toute l'île. La nymphe chantait d'une belle voix, tissant une toile avec une navette d'or. Une forêt verdoyante environnait la grotte ; à l'entrée poussait une jeune vigne dont les grappes mûrissaient, quatre sources d'eau claire arrosaient de molles prairies de violettes et de persil. le Messager rapide et clair s'arrêta, et, ayant tout admiré, entra dans la vaste grotte."
Il ne s'agit  là que d'une édition destinée aux collégiens. Voici maintenant le même passage dans une traduction plus universitaire ' Garnier-Flammarion, n° 64, Traduction de Médéric Dufour et Jeanne Raison,1965)
     " Sur la terre, il (Hermès) allait jusqu'à ce qu'il eût gagné la grotte spacieuse où habitait la nymphe aux belles boucles. Il la trouva chez elle. Un grand feu flambait sur le foyer ; au loin, se répandait l'odeur du cèdre et du thuya facile à fendre (...) Un bois luxuriant avait poussé tout autour de la grotte : aulne, peuplier noir, odorant cyprès et sous les branches nichaient des oiseaux de large envergure, chouettes, faucons, tapageuses corneilles marines qui besognent le mer. Aux parois de la grotte, une vigne déployait ses rameaux vivaces, d'où les grappes pendaient en abondance. Quatre fontaines versaient une eau claire, elles étaient voisines et dirigées en sens divers. Tout  autour, de molles prairies de violettes et de persil étaient en fleur..."
      Bandant non ? Cela me rappelle un film de Bertrand Blier, "Calmos" où les hommes s'aventurent dans une vulve géante, sorte de grotte originelle... ( je me représente Calypso comme cette belle fille en noir et blanc, et sa chatte c'est la grotte mythique !)


24 mars 2000. Printemps : la bite aux champs !
28 mars 2000. Paris : manifestation de femmes qui réclament le maintien de la spécialité "gynécologie" dans la formation des médecins. Slogan repris en choeur par les manifestantes : " Une chatte, deux roberts, trois raisons d'être en colère !"
18 avril 2000. Dicton de saison: "Aux Rameaux, secoue-toi le poireau."
15 juin 2000. Il est tellement déshydraté qu'il éjacule en poudre.
23 juillet 2000. Le premier cercle, le deuxième souffle, le troisième homme, la quatrième dimension, la cinquième roue du carrosse, le sixième sens, le septième ciel, la huitième merveille du monde, la neuvième de Beethoven, le dernière chance...
Mais, la première main, la première fois, la première impression, les premières gelées, la première dent, la première fraîcheur, les premières neiges, le premier amour, le premier choix, les premières lignes, la première classe, le premier service, les premiers temps, les premiers hommes, le premier lit, le premier pas, la première communion, les premières loges, les premiers soins...
La dernière fois, le dernier cri, le dernier mot, le dernier vivant, les dernières volontés, la dernière pluie, le dernier des derniers, le dernier carat, le dernier métro, les derniers sacrements, la dernière demeure, la dernière touche, les derniers outrages, le dernier étage, le dernier soupir, les dernières extrémités, le dernier recours, la dernière guerre...
10 août 2000. - Vous ne connaissez pas votre bonheur !
                          - Si, justement ! C'est pour ça que je dois vous quitter...
23 septembre 2000. À la librairie, une employée qui téléphone. En attendant qu'elle en ait terminé de sa conversation, je l'observe : cheveux noirs bouclés, nez assez fort aux narines bien ouvertes,  léger duvet sur les avant-bras... Je sais déjà tout de son sexe : touffe noire très fournie, exubérante, clitoris de belle taille... J'aurais presque envie de le lui dire. Qu'en penserait-elle ?
16 octobre 2000. Écrire, c'est avant tout souffrir. Mais lire, c'est jouir.

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Mercredi 30 avril 2008 3 30 /04 /Avr /2008 15:43

Acariens. Le pou d'agouti, si petit mais si grand appétit

Passage à l'Euro

. Avant en Guyane, une passe c'était 200fr. Maintenant c'est 30 €. Le sida ( ou au mieux l'herpès) à 30 €, ça fait pingre... Et le préservatif à même pas 30 centimes ! A ce prix-là, ça n'inspire pas confiance... Moi, je me méfierais : sans doute de la camelote !

Grattage. Elle gratte et se gratte. À coups de pièce de monnaie, ou des deux doigts, parfois même en se pompant avec un gode. À chaque fois, l'espoir de décrocher le gros lot.

Ethnologie. En Guyane, les femmes n'ont pas froid aux yeux, ni nulle part ailleurs.

Ethnologie encore. Que reste-t-il des Indiens d'Amazonie ? Des lambeaux de mémoire, une indicible souffrance masquée par le silence et une paresse tenace. Ils s'abreuvent de bière et de tristesse.

Pub. Le bonheur, c'est simple comme un coup de fil. Le malheur aussi...

Société. À la plage, les femmes s'exhibent, les ados s'inhibent, les hommes s'imbibent.

Zoologie. " Vous savez, dit la pie, je cause, je cause, mais c'est sans conséquence !"

Vie de famille : Déménager, cela ressemble à un verbe d'adultère. On change d'adresse comme si on divorçait.

Comptine. " Baisons-ci, baisons-là, lève la queue et puis s'en va. Ne jamais sous-estimer la queue du chat."


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Mardi 22 avril 2008 2 22 /04 /Avr /2008 11:01

    

Au cours de mon récent séjour à Marrakech, de passage au jardin Majorelle, j'ai photographié une porte verte. Cette photo m'a rappelé le célèbre film " Behind the green door" (1972) où la belle Marilyn Chambers rayonnait de sensualité. Je me souviens avoir vu le film il y a maintenant quelques années. Rappel : le film est construit à partir d'une sorte de légende qui court dan le milieu des routiers U.S. selon laquelle il y aurait, dans certains restoroutes des grands axes qui traversent les Etats-Unis, une mystérieuse porte verte qui ouvrirait sur un monde secret de fantasmes... Evidemment, la légende devient réalité. Je me souviens surtout des dernières scènes du flm ( l'intrigue est très succinte ) où l'on voit des éjaculations tournées au ralenti, avec ces gerbes de sperme qui traversent l'écran avant de venir éclabousser le corps de Marilyn... On peut parler de pornographie esthétique.


       Marilyn Chambers est née le 22 avril 1952. Elle a donc 56 ans aujourd'hui même. Alors, happy birthday et encore merci !   

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