au jour le jour

Lundi 29 décembre 2008 1 29 /12 /Déc /2008 21:47

J'ai retrouvé cette image de presse dans un magazine. Il est évident qu'il y a moyen d'en tirer quelque chose de marrant, mais au lieu de vous imposer comme d'habitude ma version détournée, j'aimerais que cette fois nous obtenions une sorte d'oeuvre collective. Allez, lancez-vous, osez , même le plus saugrenu. J'attends vos suggestions.

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 24 décembre 2008 3 24 /12 /Déc /2008 16:22
Pour noël, deux détournements de pubs. Rien de bien méchant. Allez, joyeuses fêtes et rions un peu en attendant la crise !
Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 12 novembre 2008 3 12 /11 /Nov /2008 16:51


Devant cette photo de Bernadette Soubirous, je n'ai pu résister à la tentation de me livrer à ce petit montage sacrilège. Il faut dire qu'en matière de pornographie athée, j'ai de glorieux aînés, tels Félicien Rops ( 1833-1926)   qui avait compris combien la mystique religieuse était de l'ordre du sexuel. Je vous avais déjà présenté une gravure de Rops avec le numéro 7 de la revue Fascination. En voici deux nouvelles, très explicites, ( Saint-Marie Madeleine et l'Idole) reproduites dans l'excellent album paru chez Henri Veyrier en 1975 et intitulé tout simplement " Félicien Rops"

 

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 2 novembre 2008 7 02 /11 /Nov /2008 09:09
Sur beaucoup de pubs fashion, les mannequins ont l'air d'une tristesse à mourir ( bien vu en ce jour des morts ! )... On peut se demander pourquoi. Alors, je leur ai posé la question :
- Vous êtes belle et vous faites la gueule ! Pourquoi ? "

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 25 octobre 2008 6 25 /10 /Oct /2008 10:47

Une petite pause en trois pubs détournées.
Tout d'abord, une pub pour la classe affaires de British Airways.

Puis, une photo de la campagne de pub New Man. La photo est signée Alandair MacLellon.

Enfin, ma préférée, une de la campagne Louis Vuitton mettant en scène des célébrités. Ici, c'est Francis Ford Coppola et sa fille Sofia, que j'ai imaginés en Arnolphe et Agnès. J'ai intitulé ça, l'Ecole des Femmes ( version 2008) Le petit chat est vraiment mort !


Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 15 octobre 2008 3 15 /10 /Oct /2008 14:19

Un petit intermède en ces temps de crise. Je me suis donc amusé à détourner, ou ici plus précisément à ajouter quelques bulles très personnelles à des pubs parues ces derniers temps dans nos hebdmadaires nationaux. Vous reconnaîtrez donc dans l'ordre d'apparition : une page de pub pour les sanibroyeurs SFA, puis une pour la compagnie aérienne Lufthansa, enfin une pour les salons Stressless... À chaque fois, la cible est la "ménagère de moins de 50 ans"...Je vous laisse juges ! 

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 7 septembre 2008 7 07 /09 /Sep /2008 13:38

Juste pour le plaisir, j'ai revu et corrigé cette pub pour l'huile d'olive Carapelli. J'ai toujours pensé en la voyant que cette femme tenait la bouteille comme une bite. Alors je me suis permis cette fantaisie. Comparez l'original et son détournement. Qu'en pensez-vous ?

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour - Communauté : Fantasmes et écriture
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 23 juin 2008 1 23 /06 /Juin /2008 18:16

17 janvier. Sur internet, des cons, toujours des cons ! Cons velus, cons tout nus, convenus.
11 février.Lu cette information : la DS Citroën avait ceci de particulier qu'on ne pouvait déverrouiller la portière avant-droite ( celle du passager avant) de l'intérieur. Pour faire monter quelqu'un, ou en l'occurrence quelqu'une, le conducteur devait donc sortir et faire le tour de la voiture afin d'ouvrir la portière à sa passagère, si bien que les possesseurs de DS passaient , et sans doute malgré eux, pour des hommes d'une galanterie exemplaire.
13 septembre.Choses vues, en fin d'après-midi au supermarché. Trois filles dans les rayons habillement femme. C'est l'été. Elles sont en tenue légère, surtout deux d'entre elles. Ces deux-là sont les plus provocantes : la première, un peu boulotte, cheveux bruns, yeux très maquillés porte une jupe ultra-courte et un haut moulant ; la seconde, en pantalon blanc chemisier assorti largement déboutonné qui laisse déborder une forte poitrine à peine contenue par un soutien-gorge noir qui ne lui couvre que les tétons. La troisième, plus grande, en tenue plus conventionnelle - pantalon et tee-shirt - les accompagne avec en main un appareil photo numérique. Elles ont une vingtaine d'années, pas plus. Les deux premières se choisissent des fringues et des sous-vêtements et partent les essayer dans les cabines d'essayage, une sorte de couloir un peu en retrait, avec plein de miroirs sur les murs. La responsable du rayon les surveille du coin de l'oeil mais les laisse faire, peut-être par crainte d'un incident ou d'un esclandre... Les filles se changent en laissant la cabine entrouverte, rideau à moitié écarté... L'autre les photographie dans des poses obscènes : elles exhibent leurs seins, leur cul et même leur chatte, accroupies au fond de la cabine... Je surprends des caresses en solitaire ou échangées. leur manège dure un bon quart d'heure... Enfin, elles remettent tout en place et finissent par quitter le rayon sans rien acheter. Plus tard, je les retrouve à la caisse voisine de la mienne : elles n'ont quasiment rien dans leur caddie ( deux bouteilles de Coca et des bricoles à grignoter) . La grande prend toujours des photos; Elles rigolent haut et fort.
 
15 septembre. Amour, comme la voiture, souvent en panne.
16 septembre. Si I** me proposait de baiser, je crois que je ne dirais pas non. Elle a beau être blonde, elle doit avoir une belle touffe, en forme de coquille Saint-Jacques... En plus, il paraît qu'elle a ses règles deux fois par mois ! Je ne sais pas pourquoi, mais ça la rend bigrement intéressante. Je m'imagine qu'elle doit avoir aussi deux périodes de rut postmenstruels, où elle doit être féconde mais surtout excitée comme jamais et mouillée en permanence. Le genre de femme avec laquelle il ne faut pas oublier ses capotes.¨Pas mal l'idée de la chatte en forme de coquille Saint-Jacques... Esparbec pour sa part parle de "sexe en carapace de tortue", c'est aussi une belle trouvaille !
30 octobre. Mon oncle est mort. Ce n'était pas un oncle d'Amérique. Il s'appelait Marcel, marcel qu'il portait avec tant d'élégance quand il était encore jeune et bel homme.   

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 17 juin 2008 2 17 /06 /Juin /2008 14:39

23 septembre. Entendu à France Inter. Une journaliste,  Caroline Cartier, pose des questions à des enfants dans une cour d'école. Le sujet du jour, ce sont les précautions à prendre avec des inconnus : refuser les bonbons, de monter dans leur voiture ou de leur donner son adresse, etc. Il y a un petit garçon qui dit : "Sinon, on peut se faire kidnapper !" Derrière lui, on entend une petite voix de gamine qui reprend :" Oui, on se fait canaper !" La vérité sort de la bouche des enfants, dit-on... 
12 octobre.Seconde visite chez une professionnelle, enfin plutôt occasionnelle. Autant la première visite avait été désastreuse ( voir le 4 mars ) autant celle-ci ne manquait pas de charme. Femme de 35 ans, de type méditerranéen, polie, agréable, souriante, douce et accueillante ( c'est le mot juste ). Belle touffe noire, très fournie, épaisse. Vulve large aussi, profonde. Elle avait tout prévu... Je ne connais même pas son nom.
25 octobre. Branlons-nous jusqu'à la mort... Si la vie a encore un sens.



























25 novembre.
Saint Catherine : ton désir prend-il racine ?
3 décembre.Au supermarché, je croise B* ( voir 16 mai . Elle sortent poussant son caddie, je rentre les mains libres. On se fait la bise, les quatre conventionnelles régionales. Elle me dit :" C'est la course, on est toujours pressés". Je lui réponds qu'on est tous dans la même situation. Elle s'en va... Elle est toujours aussi désirable. Il parait qu'elle est couturière, qu'elle retouche des vêtements pour des particuliers... Elle est retoucheuse... et toucheuse ? Attoucheuse ?
Je me souviens que le jour du pique-nique de printemps, son mari était venu avec son ordi portable pour montrer des photos des enfant lors des différentes compétitions de l'année passée. Puis en fin d'après-midi, une fois bien chauffé par le soleil et le rhum, il avait montré aux hommes, toute une série de photos X stockés sur son disque dur... Tel que je le connais et que je la devine, je suis sûr que, quelque part, dans un dossier connu de lui seul, avec code d'accès secret, il garde des photos obscènes de sa femme. Même pas des photos de charme, mais directement des photos hard. j'en suis intimement persuadé. Elle ne peut rien lui refuser, elle lui doit tout. Ces choses-là se sentent...
4 décembre.Se masturber, est-ce baiser par défaut ? Non, c'est du pur bonheur, au même titre qu'un film de Kubrick, qu'un portrait de Modigliani, qu'un récital de Maria Callas, qu'une gamine de Balthus, qu'une veuve callipyge de Clovis Trouille, qu'un roman de Gabriel Garcia Marquez, qu'un poème d'amour d'Alfred de Musset, qu'une valse de Chopin, qu'un site de cul sur internet, qu'un beau timbre-poste, qu'une étiquette de Château Margaux, qu'un Paris-Brest, qu'une gorgée de Sauternes, qu'une lettre d'un ami qu'on croyait perdu, qu'un souvenir de première fois...
11 décembre.Fantasme. mardi 15 novembre, le patron m'envoie en urgence pour un dépannage en centre-ville. Il est 14 heures. C'est dans une petite bijouterie : plus d'électricité dans l'arrière-boutique et système d'alarme en carafe. La patronne est un peu paniquée, elle est seule. Je suis accueilli comme le sauveur. Avec sa lampe torche, elle me guide jusqu'au tableau électrique, dans un petit placard sombre au bout d'un couloir. Rien de bien grave : l'installation est vétuste. Il suffit de remplacer un fusible et la batterie de secours du système d'alarme. Elle m'éclaire avec la torche. Le magasin n'ouvre qu'à 15 heures. Quand c'est terminé, elle me dit :" Je ne sais comment vous remercier !". Je le regarde dans la lumière revenue du couloir : elle a une cinquantaine d'années, blonde sans doute décolorée. Elle porte des lunettes et un tailleur rose-beige. Elle est plutôt dodue, avec une grosse poitrine. Je ne sais pas ce qui me passe par la tête, mais je lui pose la main droite sur la hanche : soit je me prends une bonne gifle, soit c'est gagné... En retour, elle pose sa main baguée directement sur ma braguette. Et nous voilà tous les deux à nous caresser dans l'étroit couloir. Je fourrage sous sa jupe de tweed, elle sent bon le parfum de luxe. Dessous, elle porte des bas couleur chair et une culotte en dentelle...Sa touffe est châtain foncé, elle mouille. On se branle, on se suce à tour de rôle. C'est la sonnerie de son portable qui nous arrête : son mari qui vient aux nouvelles à propos de la panne. Elle se rajuste :" C'est réparé, mon chéri, l'électricien a fait le nécessaire. À ce soir, je t'embrasse moi aussi." C'est tout.


Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 17 juin 2008 2 17 /06 /Juin /2008 10:06

10 janvier. Vu à Paris, sur un large trottoir près de la Place de l'hôtel de ville, en face du BHV, une grosse femme noire, encore jeune,  au fessier imposant, en jupe de cotonnade bariolée, à quatre pattes au-dessus d'une bouche d'aération du métro. Elle psalmodiait une sorte de mélopée triste... Autour d'elle, son bric-à-brac de SDF fait de cartons, sacs plastique, lambeaux de couvertures... Il faisait un vent glacial et une température de deux degrés. Je songeais à ses rêves d'occident, à ses illusions perdues, à son destin qui l'avait menée jusque-là, jusqu'à cette grille absurde sur un trottoir de Paris... C'est sans doute aussi cela, la mondialisation.
20 janvier. Facile : le chameau blatère, l'homme déblatère.
9 février. Il était une fois un homme avec une si petite bite qu'on l'avait appelé Virgule.
22 février. En grand uniforme noir et blanc, la pie arpente la cour de son pas de majordome. Elle veille à ce que chaque chose soit à sa place ; elle ne supporte pas le désordre.
4 mars.Voyage à F... Aucune poésie, mais du sordide, du brutal. Après, il ne reste plus que la honte de soi-même, la honte de s'être livré à cette transaction sordide. La femme était laide, d'une immense tristesse rance... Et pourtant, il y avait ce ventre envahi d'une pilosité clairsemée, cette crevasse humide et chaude, grande ouverte. J'étais venu pour ça... D'une certaine façon, on peut dire que j'en ai eu pour mon argent. Qu'est-ce que j'étais allé m'imaginer : de la beauté, du fantasme devenu réalité, du glamour ?
4 mai. Séance de pose pour des photos X. Elle est très mouillée. Sexe gonflé de désir... Sublime.
16 mai. Pique-nique entre presque inconnus. Parmi tous, il y a un couple : lui travaille dans la finance, elle est femme au foyer. Lui français pur jus, elle maghrébine, la quarantaine, brune, bien taillée. Une poitrine généreuse, un cul sublime à en juger par les rondeurs de son jean... Et grande avec ça ! Côté face, ce grand triangle à la très large base inversée... Non pas triangle, plutôt trapèze. Je devine tout : le moelleux du pubis, la fourrure abondante dont je traque les indices sur ses tempes, sur sa nuque découverte... Je regarde ses lèvres pour voir sa bouche secrète, son nez pour deviner la grosseur de son bouton nacré... Elle respire la fente épaisse, la vulve juteuse, la chatte velue... Il paraît qu'elle s'appelle B* Ah ! Si j'avais le temps, si j'osais, j'y mettrais tout mon courage et mon ardeur n'aurait plus de fin...
29 mai. Gala bisannuel de danse. Tous ces ventres plats, ces seins juvéniles, ces corps écartelés, ces déhanchements lascifs, ces poses provocantes. Par centaines, jusqu'à l'écoeurement visuel. 
29 juin.Il y a sur Internet des merveilles pileuses. J'en reviens toujours, et parfois malgré moi, à ce fantasme pileux qui occupe de plus en plus de place dans ma vie. Il faudrait d'abord inventer des mots nouveaux pour ces chattes, ventres et entrefesses velus : ne pourraient-ils pas être touffeteux ou touffelus ? Les amateurs pourraient se regrouper en association, avec des statuts, un président, un secrétaire, un trésorier, et une revue... Tout cela doit bien exister ?  

Par michel koppera - Publié dans : au jour le jour
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés