
- Vous êtes belle et vous faites la gueule ! Pourquoi ? "



Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Une petite pause en trois pubs détournées.
Tout d'abord, une pub pour la classe affaires de British Airways.
Puis, une photo de la campagne de pub New Man. La photo est signée Alandair MacLellon.
Enfin, ma préférée, une de la campagne Louis Vuitton mettant en scène des célébrités. Ici, c'est Francis Ford Coppola et sa fille Sofia, que j'ai imaginés en Arnolphe et Agnès. J'ai intitulé ça,
l'Ecole des Femmes ( version 2008) Le petit chat est vraiment mort !
Un petit intermède en ces temps de crise. Je me suis donc amusé à détourner, ou ici plus précisément à ajouter quelques bulles très personnelles à des pubs parues ces derniers temps dans nos
hebdmadaires nationaux. Vous reconnaîtrez donc dans l'ordre d'apparition : une page de pub pour les sanibroyeurs SFA, puis une pour la compagnie aérienne Lufthansa, enfin une pour les salons
Stressless... À chaque fois, la cible est la "ménagère de moins de 50 ans"...Je vous laisse juges !
Juste pour le plaisir, j'ai revu et corrigé cette pub pour l'huile d'olive Carapelli. J'ai toujours pensé en la voyant que cette femme
tenait la bouteille comme une bite. Alors je me suis permis cette fantaisie. Comparez l'original et son détournement. Qu'en pensez-vous ?
17 janvier. Sur internet, des cons, toujours des cons ! Cons velus, cons tout nus, convenus.
11 février.Lu cette information : la DS Citroën avait ceci de particulier qu'on ne pouvait déverrouiller la portière avant-droite ( celle du passager avant) de l'intérieur. Pour
faire monter quelqu'un, ou en l'occurrence quelqu'une, le conducteur devait donc sortir et faire le tour de la voiture afin d'ouvrir la portière à sa passagère, si bien que les possesseurs
de DS passaient , et sans doute malgré eux, pour des hommes d'une galanterie exemplaire.
13 septembre.Choses vues, en fin d'après-midi au supermarché. Trois filles dans les rayons habillement femme. C'est l'été. Elles sont en tenue légère, surtout deux d'entre
elles. Ces deux-là sont les plus provocantes : la première, un peu boulotte, cheveux bruns, yeux très maquillés porte une jupe ultra-courte et un haut moulant ; la seconde, en pantalon blanc
chemisier assorti largement déboutonné qui laisse déborder une forte poitrine à peine contenue par un soutien-gorge noir qui ne lui couvre que les tétons. La troisième, plus grande, en tenue
plus conventionnelle - pantalon et tee-shirt - les accompagne avec en main un appareil photo numérique. Elles ont une vingtaine d'années, pas plus. Les deux premières
se choisissent des fringues et des sous-vêtements et partent les essayer dans les cabines d'essayage, une sorte de couloir un peu en retrait, avec plein de miroirs sur les murs. La
responsable du rayon les surveille du coin de l'oeil mais les laisse faire, peut-être par crainte d'un incident ou d'un esclandre... Les filles se changent en laissant la
cabine entrouverte, rideau à moitié écarté... L'autre les photographie dans des poses obscènes : elles exhibent leurs seins, leur cul et même leur chatte, accroupies au fond de la
cabine... Je surprends des caresses en solitaire ou échangées. leur manège dure un bon quart d'heure... Enfin, elles remettent tout en place et finissent par quitter le rayon sans rien acheter.
Plus tard, je les retrouve à la caisse voisine de la mienne : elles n'ont quasiment rien dans leur caddie ( deux bouteilles de Coca et des bricoles à grignoter) . La grande prend toujours
des photos; Elles rigolent haut et fort.
15 septembre. Amour, comme la voiture, souvent en panne.
16 septembre. Si I** me proposait de baiser, je crois que je ne dirais pas non. Elle a beau être blonde, elle doit avoir une belle touffe, en forme
de coquille Saint-Jacques... En plus, il paraît qu'elle a ses règles deux fois par mois ! Je ne sais pas pourquoi, mais ça la rend bigrement intéressante. Je m'imagine qu'elle doit
avoir aussi deux périodes de rut postmenstruels, où elle doit être féconde mais surtout excitée comme jamais et mouillée en permanence. Le genre de femme avec laquelle il ne faut pas oublier
ses capotes.¨Pas mal l'idée de la chatte en forme de coquille Saint-Jacques... Esparbec pour sa part parle de "sexe en carapace de tortue", c'est aussi une belle trouvaille !
30 octobre. Mon oncle est mort. Ce n'était pas un oncle d'Amérique. Il s'appelait Marcel, marcel qu'il portait avec tant d'élégance quand il était encore jeune et bel
homme.
23 septembre. Entendu à France Inter. Une journaliste, Caroline Cartier, pose des questions à des
enfants dans une cour d'école. Le sujet du jour, ce sont les précautions à prendre avec des inconnus : refuser les bonbons, de monter dans leur voiture ou de leur donner son
adresse, etc. Il y a un petit garçon qui dit : "Sinon, on peut se faire kidnapper !" Derrière lui, on entend une petite voix de gamine qui reprend :" Oui, on se fait canaper
!" La vérité sort de la bouche des enfants, dit-on...
12 octobre.Seconde visite chez une professionnelle, enfin plutôt occasionnelle. Autant la première visite avait été désastreuse ( voir le 4 mars ) autant celle-ci ne manquait pas
de charme. Femme de 35 ans, de type méditerranéen, polie, agréable, souriante, douce et accueillante ( c'est le mot juste ). Belle touffe noire, très fournie, épaisse. Vulve large aussi,
profonde. Elle avait tout prévu... Je ne connais même pas son nom.
25 octobre. Branlons-nous jusqu'à la mort... Si la vie a encore un sens.
25 novembre.Saint Catherine : ton désir prend-il racine ?
3 décembre.Au supermarché, je croise B* ( voir 16 mai . Elle sortent poussant son caddie, je rentre les mains libres. On se fait la bise, les quatre conventionnelles régionales.
Elle me dit :" C'est la course, on est toujours pressés". Je lui réponds qu'on est tous dans la même situation. Elle s'en va... Elle est toujours aussi désirable. Il parait qu'elle est
couturière, qu'elle retouche des vêtements pour des particuliers... Elle est retoucheuse... et toucheuse ? Attoucheuse ?
Je me souviens que le jour du pique-nique de printemps, son mari était venu avec son ordi portable pour montrer des photos des enfant lors des différentes compétitions de l'année passée. Puis en
fin d'après-midi, une fois bien chauffé par le soleil et le rhum, il avait montré aux hommes, toute une série de photos X stockés sur son disque dur... Tel que je le connais et que je la devine,
je suis sûr que, quelque part, dans un dossier connu de lui seul, avec code d'accès secret, il garde des photos obscènes de sa femme. Même pas des photos de charme, mais directement des photos
hard. j'en suis intimement persuadé. Elle ne peut rien lui refuser, elle lui doit tout. Ces choses-là se sentent...
4 décembre.Se masturber, est-ce baiser par défaut ? Non, c'est du pur bonheur, au même titre qu'un film de Kubrick, qu'un portrait de Modigliani, qu'un récital de Maria Callas,
qu'une gamine de Balthus, qu'une veuve callipyge de Clovis Trouille, qu'un roman de Gabriel Garcia Marquez, qu'un poème d'amour d'Alfred de Musset, qu'une valse de Chopin, qu'un site de cul sur
internet, qu'un beau timbre-poste, qu'une étiquette de Château Margaux, qu'un Paris-Brest, qu'une gorgée de Sauternes, qu'une lettre d'un ami qu'on croyait perdu, qu'un souvenir de première
fois...
11 décembre.Fantasme. mardi 15 novembre, le patron m'envoie en urgence pour un dépannage en centre-ville. Il est 14 heures. C'est dans une petite bijouterie : plus d'électricité
dans l'arrière-boutique et système d'alarme en carafe. La patronne est un peu paniquée, elle est seule. Je suis accueilli comme le sauveur. Avec sa lampe torche, elle me guide jusqu'au tableau
électrique, dans un petit placard sombre au bout d'un couloir. Rien de bien grave : l'installation est vétuste. Il suffit de remplacer un fusible et la batterie de secours du système d'alarme.
Elle m'éclaire avec la torche. Le magasin n'ouvre qu'à 15 heures. Quand c'est terminé, elle me dit :" Je ne sais comment vous remercier !". Je le regarde dans la lumière revenue du couloir :
elle a une cinquantaine d'années, blonde sans doute décolorée. Elle porte des lunettes et un tailleur rose-beige. Elle est plutôt dodue, avec une grosse poitrine. Je ne sais pas ce qui me
passe par la tête, mais je lui pose la main droite sur la hanche : soit je me prends une bonne gifle, soit c'est gagné... En retour, elle pose sa main baguée directement sur ma braguette. Et
nous voilà tous les deux à nous caresser dans l'étroit couloir. Je fourrage sous sa jupe de tweed, elle sent bon le parfum de luxe. Dessous, elle porte des bas couleur chair et une culotte
en dentelle...Sa touffe est châtain foncé, elle mouille. On se branle, on se suce à tour de rôle. C'est la sonnerie de son portable qui nous arrête : son mari qui vient aux nouvelles à propos de
la panne. Elle se rajuste :" C'est réparé, mon chéri, l'électricien a fait le nécessaire. À ce soir, je t'embrasse moi aussi." C'est tout.
10 janvier. Vu à Paris, sur un large trottoir près de la Place de l'hôtel de ville, en face du BHV, une grosse femme
noire, encore jeune, au fessier imposant, en jupe de cotonnade bariolée, à quatre pattes au-dessus d'une bouche d'aération du métro. Elle psalmodiait une sorte de mélopée triste... Autour
d'elle, son bric-à-brac de SDF fait de cartons, sacs plastique, lambeaux de couvertures... Il faisait un vent glacial et une température de deux degrés. Je songeais à ses rêves d'occident, à
ses illusions perdues, à son destin qui l'avait menée jusque-là, jusqu'à cette grille absurde sur un trottoir de Paris... C'est sans doute aussi cela, la mondialisation.
20 janvier. Facile : le chameau blatère, l'homme déblatère.
9 février. Il était une fois un homme avec une si petite bite qu'on l'avait appelé Virgule.
22 février. En grand uniforme noir et blanc, la pie arpente la cour de son pas de majordome. Elle veille à ce que chaque chose soit à sa place ; elle ne supporte pas le
désordre.
4 mars.Voyage à F... Aucune poésie, mais du sordide, du brutal. Après, il ne reste plus que la honte de soi-même, la honte de s'être livré à cette transaction sordide. La
femme était laide, d'une immense tristesse rance... Et pourtant, il y avait ce ventre envahi d'une pilosité clairsemée, cette crevasse humide et chaude, grande ouverte. J'étais venu pour ça...
D'une certaine façon, on peut dire que j'en ai eu pour mon argent. Qu'est-ce que j'étais allé m'imaginer : de la beauté, du fantasme devenu réalité, du glamour ?
4 mai. Séance de pose pour des photos X. Elle est très mouillée. Sexe gonflé de désir... Sublime.
16 mai. Pique-nique entre presque inconnus. Parmi tous, il y a un couple : lui travaille dans la finance, elle est femme au foyer. Lui français pur jus, elle
maghrébine, la quarantaine, brune, bien taillée. Une poitrine généreuse, un cul sublime à en juger par les rondeurs de son jean... Et grande avec ça ! Côté face, ce grand triangle à la très large
base inversée... Non pas triangle, plutôt trapèze. Je devine tout : le moelleux du pubis, la fourrure abondante dont je traque les indices sur ses tempes, sur sa nuque découverte... Je regarde
ses lèvres pour voir sa bouche secrète, son nez pour deviner la grosseur de son bouton nacré... Elle respire la fente épaisse, la vulve juteuse, la chatte velue... Il paraît qu'elle
s'appelle B* Ah ! Si j'avais le temps, si j'osais, j'y mettrais tout mon courage et mon ardeur n'aurait plus de fin...
29 mai. Gala bisannuel de danse. Tous ces ventres plats, ces seins juvéniles, ces corps écartelés, ces déhanchements lascifs, ces poses provocantes. Par centaines, jusqu'à
l'écoeurement visuel.
29 juin.Il y a sur Internet des merveilles pileuses. J'en reviens toujours, et parfois malgré moi, à ce fantasme pileux qui occupe de plus en plus de place dans ma vie.
Il faudrait d'abord inventer des mots nouveaux pour ces chattes, ventres et entrefesses velus : ne pourraient-ils pas être touffeteux ou touffelus ? Les amateurs pourraient
se regrouper en association, avec des statuts, un président, un secrétaire, un trésorier, et une revue... Tout cela doit bien exister ?
9 janvier. Elle se prénomme Sandra, ça doit être comme ça qu'elle dort. Il y a toujours dans ses
rapports avec les hommes un-je-ne-sais-quoi de sensualité provocante, comme sa façon de s'asseoir sur une banquette, un rien avachie, les cuiises écartées, de manière à ce que son
jean épouse bien l'arrondi de son mont de Vénus qu'elle a d'ailleurs bien rebondi... Et elle nous regarde droit dans les yeux, comme si elle nous disait :" Allez, viens me baiser !
Qu'est-ce que tu attends ?"
18 février. Rêve classé X. Je suis assis nu sur un tapis, la tête entre ses genoux écartés. Elle est accroupie sur le canapé, elle n'a gardé que ses bas. J'ai devant les
yeux sa fantastique touffe noire et une vue imprenable sur son sexe et son cul. Je la lèche, je lui demande de pousser fort comme si elle voulait m'offrir son ventre. Alors, elle pousse et
je vois l'intérieur de son vagin comme une grotte mystérieuse et son anus qui prend l'aspect d'un cul de poule sur le point de pondre un oeuf. je lui dis que c'est magnifique ;
elle mouille...
Plus tard, je lui enduis la fente et le cul d'un gel spécial fist. Je lui introduis mes doigt gantés de latex dans la chatte ( quatre doigts) puis dans le cul ( un, deux, enfin trois doigts)
Pour terminer, je la baise avec une grosse courgette sous préservatif. Elle jouit en continu. Sur le latex, il y a un liquide visqueux et blanchâtre, c'est sa mouillure. À aucun moment, je
n'entends sa voix, ni ne regarde son visage.
5 mars. Jeux de mots ( exercice de style)
Je me souviens de votre ventre ouvert, de vos lèvres visqueuses de salive ovarienne, du vertige de votre mont de Vénus, de votre vulve bivalve, de votre vagin vorace et de la vallée velue de
votre valseur révulsé.
Je me souviens de ses seins pointus, de ses fesses charnues, de son petit trou goûtu, mais aussi de sa poitrine menue, de ses mamelons grenus, de sa chair nue, de sa motte chevelue, de sa
chatte poilue, de ses lèvres à-bouche-que-veux-tu, de ses exhibitions saugrenues, de ses fausses pudeurs convenues, de ses bas suspendus, de ses trings ingénus, de ses cris retenus, de ses
orgasmes en continu, de ses poses en petite tenue, de son fruit défendu, de ses soupirs éperdus, de son sourire entendu, de ses reins tendus, de ses aisselles touffues, de son clitoris en mal
d'absolu, de sa fente velue, de toutes les années perdues à oublier son cul...
21 avril. On vide le grenier, c'est comme un lavage de cerveau.
8 septembre. Paris. Au Musée d'Orsay, nous avons vu le tableau de Courbet "L'origine du Monde". Superbe et beaucoup plus sensuel qu'en photo. pendant l'orage, nous avons vu des
Pakistanais ou des Sri Lankais qui vendaient des parapluies sous des trombes d'eau qui les trempaient de la tête aux pieds... À Montmartre, j'ai vu le string des femmes assises sur les marches du
Sacré-Coeur. Rue de la Gaieté, nous avons croisé de jeunes prostitués qui marchandaient avec un homme vénérable. Au restaurant chinois, j'ai vu une femme en petite tenue sous une petite loupe au
fond de mon verre de liqueur de litchi...
6 octobre. les jeux olympiques sont terminés. Je ne regardais que les épreuves où l'on peut voir des femmes en short ou en maillot. J'observe le renflement de leur pubis et quand
elles sautent, j'espère toujours entrevoir quelques poils de cul ou de con déborder des coutures trop ajustées à mon goût... Je ne pense plus qu'au con des femmes, je n'écris plus que des
histoires de cul, je ne lis plus que des livres de cul, je ne suis plus qu'une pensée unique tourné vers le cul. Je voudrais être l'homme invisible pour n'être plus qu'un regard, une paire d'yeux
qui se glisserait sous les jupes des femmes ou sous leurs draps pendant qu'elles dorment... Il y a aussi Aurélie, la voisine, dont le corps dégage une onde de chaleur lubrique que je dois être le
seul à entendre et ressentir... À table, elle mange sans vraiment fermer la bouche si bien que sa mastication évoque de gargouillis vaginaux. Il y a dans les traits de son visage une sorte de
mollesse générale, presque pornographique...
25 octobre. - Sire, soyez concis ! demande le grand Vizir à son calife.
29 octobre. Voyage en Enfancie : on y retrouve des objets aux couleurs passées, les clefs aux serrures
rouillées... Mais tant de choses ont changé et les arbres font de l'ombre.
1er février.Marie, arrête de me regarder comme ça en remuant les fesses ! Je pourrais te présenter mon
petit Jésus.
15 février. Enfant voleur, enfant menteur, enfant tricheur enfant violeur, enfant violent... Enfant tumeur, enfin tu meurs...
22 juillet. Je me souviens que lorsque j'avais 15 ou 16 ans, j'aimais feuilleter les romans feuilletons ( je veux dire les romans-photos) italiens que vendait ma grand-mère. Il y
avait des scènes érotiques : on y voyait des femmes brunes en dessous sexy ( culotte et soutien-gorge en dentelle blanche, porte-jarretelles et bas sombres) mais surtout, elles avaient du poil
aux aisselles et cela me faisait bander. Je me branlais jusqu'à jouir en les regardant et j'aimais voir mon sperme éclabousser leurs touffes noires sous les bras...
Par contre, je détestais Paris-Hollywwod parce que les photos étaient retouchées pour effacer toute trace de poil pubien. Ces filles ressemblaient à des
nymphes ou des naïades de Ingres. Depuis, j'ai acheté des livres où l'on peut enfin voir ces photos non retouchées. Certains modèles avaient des touffes superbes.
Sur internet, il y a à ce jour plus de 400.000 sites où sont répertoriés les mots-clefs : "hairy cunt"ou "hairy pussy" (photos de Serge Jacques,
première retouchée pour la censure, la seconde "naturelle")
17 août. Barcelone. Tout près de la colonne de Christophe Colomb, au bas des Ramblas. Vu, à un feu rouge, parmi le groupe de piétons qui attend de pouvoir traverser, il y a un jeune
couple. Elle est appuyée sur un petit caddie à provisions, debout, les jambes très écartées, le tête reposant sur ses bras repliés sur le caddie... Elle est brune et encore jeune. Le gars est à
genoux en face d'elle, la tête sous sa jupe relevée à mi-cuisses, il est en train de lui lécher la chatte. De sa main droite passée derrière les fesses de la fille, il lui écarte le slip. Les
passants les observent, médusés. Quand c'est terminé, la fille sort un billet de 10 euros de son porte-monnaie et le donne au gars. Ils se remettent en route ensemble. Qu'est-ce que c'était ? une
passe, un pari ? On ne saura jamais...
C'était la troisième fois que je voyais des couples se livrer à des jeux de bouche en public. La première fois, c'était en décembre 1992 à la
Réunion, une fille qui taillait une pipe à un mec, sur un banc, dans l'ombre des arbres d'un petit parc public. La seconde fois, c'était à Paris, en août 2002, dans une allée proche de
l'entrée du jardin des Plantes. Sur un banc, il y avait un couple d'homosexuels. Celui qui était le plus jeune, la tête posée sur les cuisses de son compagnon, était en train de le sucer
doucement. L'autre, la main posée sur ses cheveux, accompagnait du bassin, les mouvements de va-et-vient de sa tête.
8 octobre.La chimie des arômes, l'alchimie du désir... Les phéronomes frénétisent ses sens. Elle se rapproche, elle recherche les frôlements furtifs, les attouchements
anodins.
Vieillesse. Inexorablement les traits s'affaissent, comme une lente putréfaction sans odeur.
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