Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Vers 1740, parurent "Les mémoires de Fanny Hill, femme de plaisir", ouvrage signé d'un certain
John Cleland qui raconte les aventures amoureuses d'une jeune femme, courtisane au royaune d'Angleterre. L'auteur écrivit le texte en prison où il était incarcéré pour dettes. À la
parution en 1747, il fut poursuivi pour atteinte aux bonnes moeurs. Devant le tribunal, il allégua sa pauvreté comme excuse. Tant et si bien que le président du tribunal lui alloua une pension
annuelle de 100 Livres Sterling. ( Les Anglais ont vraiment un sens de l'humour qui nous étonnera toujours !) Voici donc un court extrait des mémoires de Fanny Hill, tiré d'une réédition
française parue en 1980 chez Albin Michel dans la collection Les Classiques interdits, avec une préface de Jacques Suffel.
" Le grenadier posa sans
cérémonie ses larges mains sur les effroyables mamelles, ou plutôt sur les longues et pesantes calebasses de la mère Brown. Après les avoir patinées quelques instants avec autant d'ardeur
que si elles en avaient valu la peine, il la jeta brusquement à la renverse et couvrit de ses cotillons sa face bourgeonnée par le brandy. Tandis que le drôle se débraillait, mes yeux eurent le
loisir de faire la revue des plus énormes choses qu'il soit possible de voir et qu'il n'est pas aisé de définir. Qu'on se représente une paire de cuisses courtes et grosses, d'un volume
inconcevable, terminées en haut par une horrible échancrure, hérissée d'un buisson épais de crin noir et blanc, on n'en aura qu'une idée imparfairte. [...] Au-dessous se profilait la
délicieuse région du ventre de Polly, terminée par une section à peine perceptible qui semblait fuir par modestie et se cachait entre deux cuisses potelées et charnues ; une riche fourrure de
zibeline la recouvrait..."
Aucun commentaire pour cet article
Derniers Commentaires