Mercredi 4 septembre 2013
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Le saviez-vous n° 63
« À la ménopause, nombre de femmes manifestent des penchants saphiques. Cette homosexualité se manifeste d’abord dans les rêves. Entre 40 et 50 ans, les rêves féminins à motifs
lesbiens doublent de fréquence, parfois ils surviennent pour la première fois. En effet, lors de la ménopause, le taux des hormones féminines sécrétées par les ovaires chute davantage que celui
des hormones masculines fabriquées par les capsules surrénales ; d’où une certaine masculinisation qui se peut se manifester par une hypertrophie du clitoris, une voix plus grave…
Ainsi, la ménopausée virilisée ne subit plus l’amour mais le provoque, et au besoin s’aide d’histoires égrillardes ou de quelques verres d’alcool. Et à défaut de relations sexuelles, des
habitudes de masturbation réapparaissent.
L’homosexualité latente des femmes ménopausées peut se manifester ouvertement, et a parfois défrayé la presse à scandale ou la
chronique judiciaire. Le cas le plus mémorable fut celui de Mme de Rute, petite-fille de Lucien Bonaparte, qui à la cinquantaine, s’était prise d’une folle passion pour sa secrétaire qu’elle mit
dans son lit. Pour éviter que le scandale éclate, elle lui fit contracter un mariage blanc, mais la jeune secrétaire s’amouracha d’un ancien séminariste avec lequel elle s’enfuit. Le mari de
paille, averti par Mme de Rute tua les deux fuyards. » (Docteur Georges Valensin, « La femme révélée », Editions de la Table Ronde, 1969)
Par michel koppera
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Mercredi 28 août 2013
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Le saviez-vous n° 62
« La femme
ménopausée est volontiers attirée par de jeunes adultes ou adolescents. On a voulu voir là le report de son instinct pouponnier disponible avec ses propres enfants devenus grands et partis au
loin. Des femmes mûres rajeunissent d’autant plus leurs amants qu’elles avancent en âge ; parfois leur prestige social ou leur expérience amoureuse les sert. Les amants de Ninon de Lenclos,
éblouis par sa renommée, devenaient fort jeunes alors que l’illustre courtisane vieillissait. Madame de Staël, à 44 ans, velue, opulente et rubiconde, provoqua dans toute sa gloire littéraire,
une folle passion chez le comte de Rocca dit Caliban : à 22 ans, de moitié plus jeune, il la mit enceinte, à l’étonnement de son médecin qui, à son abdomen proéminent, ne crut d’abord
possible qu’une hydropisie. Léonide Leblanc, demi-mondaine fameuse de la Belle Epoque, après avoir été la maîtresse du duc d’Aumale et autres célébrités, fut prise à la quarantaine d’une fringale
de jeunes amants ; elle les trouva facilement, flattés par leurs illustres prédécesseurs.
Par commodité, la femme ménopausée peut aussi choisir son jeune amant à proximité et même dans le cercle de famille. Le
sexologue M. Eck a relaté comment une mère dont la fille s’était mariée trois fois, devint la maîtresse de ses trois gendres. Certaines mères guident le choix du mari de leur fille comme s’il
leur était idéalement destiné » ( Dr Georges Valensin, « La femme révélée », Editions de la Table Ronde, 1969)
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Mardi 6 août 2013
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/2013 11:41
Le saviez-vous n° 61
Au fil des siècles, d’innombrables femmes ont
témoigné être extrêmement sensibles à un organe mâle « opulent ». Certains cas historiques sont même restés célèbres. Ainsi, selon la chronique scandaleuse, la petite sœur de
l’empereur, Pauline Bonaparte (1780-1825) appréciait particulièrement le gigantisme.
Pauline Bonaparte en Vénus
Marmontel (1723-1799) était pourvu d’un organe aux dimensions exceptionnelles dont le félicitait Voltaire, lui-même si mal
appareillé ; selon Stendhal, cet avantage naturel « fit les succès de Marmontel dans le monde et la plus grande partie de sa réputation en littérature ». Dans ses Mémoires d’un
père pour servir à l’éducation de ses enfants, Marmontel évoque de très nombreuses bonnes fortunes directement liées à la taille de son sexe.
Portrait de Marmontel
Par michel koppera
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Jeudi 20 juin 2013
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/2013 07:32
Le saviez-vous n° 60
Dans les années 1960, au Japon, le docteur Shakokken reproduisait dans un ouvrage d’information sexuelle des
photographies de poupées articulées dans toutes les positions du coït. Autrefois, les jeunes mariés japonais et chinois recevaient dans un étui de soie, des livres d’estampes sur les techniques
sexuelles ; toutes les postures courantes y étaient dessinées, souvent une pour chaque mois. Cependant le mari japonais par crainte de perdre la face, avait souvent recours aux prostituées
pour s’exercer. Dans la plupart des pays occidentaux, les couples usent de nombreuses positions amoureuses. Déjà, un papyrus égyptien vieux de 3300 ans et conservé à Turin, mentionnait une
douzaine de positions différentes.
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Dimanche 2 juin 2013
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/2013 12:00
60 000 ! C'était il y a quelques années le nombre estimé de poils qui composaient cette toison pubienne hors-norme, ce
qui faisait quand même une très haute densité. Je suppose qu'on avait compté avec les poils de cul !
Par michel koppera
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Lundi 20 mai 2013
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/2013 11:31
Le saviez-vous n° 58
Le pénis artificiel a été employé de tous temps et en tous pays pour remplacer l’organe mâle. Déjà au XIIIème siècle, le fameux médecin provençal Arnault
de Villeneuve conseillait aux veuves et aux nonnes des « objets mobiles dans leur filière génitale » pour suppléer à l’absence du mari. En Europe, dès le début du XXème
siècle, bien des sexologues et conseillers conjugaux étaient déjà consultés par des femmes sevrées de rapports qui bravaient le ridicule ou leur gêne pour savoir s’il était possible d’obtenir une
reproduction de l’organe mâle en érection. À l’époque, en Occident, ces reproductions n’étaient pas courantes ; par contre, elles étaient fréquentes et vendues couramment en Extrême-Orient.
Les Occidentales en étaient alors réduites à des confections artisanales ou à l’emploi de légumes ou d’objets oblongs détournés de leur usage premier.
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Samedi 4 mai 2013
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Le saviez-vous n° 57
Souvent après plusieurs années de vie conjugale, une certaine routine s’installe dans le couple qui ne varie guère les positions
de l’amour. Un heureux hasard permet parfois de rompre cette monotonie.
Ainsi, l’écrivain Brantôme rapporta qu’un jour, à travers un trou de
plafond, Catherine de Médicis observa son époux, le roi Henri II, en train de posséder une de ses maîtresses en levrette. Elle en fut jalouse et obtint du roi d’être traitée de la même façon et
en éprouva beaucoup de plaisir.
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Dimanche 21 avril 2013
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/2013 15:52
Le saviez-vous n° 56
« Des ouvrages de sexologie érotique détaillent les exhalaisons qui peuvent émouvoir le partenaire : l’odeur fauve du
mont de Vénus, celle légèrement aigrelette du vagin par l’acide lactique, celle fade ou urinaire du clitoris… Des mâles olfactivement émotionnables recherchent ces émanations dans le
cunnilingus ; Steckel témoigne avoir connu un Autrichien qui le pratiquait « pour se réjouir quelques heures de l’odeur vaginale qui demeurait dans ses épaisses moustaches ».
Henri IV, coutumier du baiser sexuel selon la chronique galante, écrivait à une de ses maîtresses de demeurer plusieurs jours couchée pour qu’il la trouve embaumée d’odeurs fortes. Edouard Degas,
le peintre des tutus d’Opéra, aimait répéter que l’amour n’est pas une question de peau mais d’odeurs ; à un interlocuteur qui exprimait son dégoût du baiser génital, il
répliqua : « Quelle triste vieillesse vous vous préparez ! » ( Ibid : La femme révélée, 1969)
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Jeudi 4 avril 2013
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/2013 13:41
Le saviez-vous n° 55
«Le chirurgien militaire français Jacobus Sutor qui vécut longtemps en Afrique du Nord et parcourut l’Asie dans les années 1880, a laissé de nombreuses relations sur
leurs mœurs sexuelles. Entre autres, existaient à Marrakech dans le mellah (quartier juif), des établissements de tolérance pour juifs comme l’indiquait le mot «casher» sur la porte ; des
fillettes y pratiquaient gratuitement la fellation, pour appâter le client et lui faire louer les services ordinaires d’une prostituée. Cette spécialisation des fillettes à côté de
professionnelles chevronnées, s’est retrouvée ailleurs ; au Yoshiwara, le quartier réservé de Tokyo, les prostituées ordinaires et les geishas n’acceptaient que le coït, la fellation étant
confiée aux apprenties, rétribuées par un simple pourboire. » (ibidem « la femme révélée », 1969)
Par michel koppera
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Mardi 19 mars 2013
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/2013 10:45
Le saviez-vous n° 54
"Chez les humains, la fellation a été commercialisée dès l’Antiquité ; des prostituées égyptiennes et phéniciennes
maquillaient leurs lèvres buccales pour leur donner l’apparence et le coloris des petites lèvres vulvaires ; c’était indiquer leur étroite spécialisation dans leur profession et peut-être
stimuler le mâle en affichant au visage une réplique de leur vulve. Le procédé est déjà amorcé chez les Galadas, espèce de guenons qui se tiennent habituellement verticales : elles
reproduisent sur la fourrure de leur poitrine le dessin et la couleur variable de leur vulve, ce qui leur évite de l’exhiber pour tenter le mâle.
Le colonel anglais H. Dickson (ce nom est prédestiné ? dickson, en anglais, "fils de bite"!) qui séjourna longtemps au Koweit et en Arabie, a signalé que les fellatrices étaient très
appréciées des Arabes du désert : leurs bouches colorées au henné, à la manière des lointaines aïeules de l’Antiquité, elles aspiraient frénétiquement l’organe mâle qui finissait par se
farder au contact du colorant. " ( in « la femme révélée », 1969)
Par michel koppera
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